Telegramme

Vie sociale intense – stop – vie professionnelle aussi – stop – réunion générale dans quelques minutes (en fait, elle aurait dû commencer à 10h) – stop – des idées d’articles mais pas le temps de les écrire – stop – et en plus, je vais au sport. Bref, en un mot, je n’écris pas juste par gros manque de temps, ce blog passant après le travail, la vie sociale, le sport et des projets persos qui s’annoncent bien. Bref, j’ai pas le temps mais c’est plutôt une bonne nouvelle en fait. Et la semaine prochaine, il me reste plus que mercredi … Continuer de lire Telegramme

Dimanche pluvieux, dimanche foireux

J’avais déjà expliqué il y a quelques années que je n’aimais pas le dimanche, un non jour. Petite, c’était le jour des devoirs (oui, je suis de celles qui bossent toujours dans l’urgence). Adulte, c’est le jour du ménage vu qu’en temps normal, je ne suis jamais chez moi avant 20h ou plus tard et j’ose plus passer l’aspi après. Bref, dimanche, ça a toujours été corvée et déprime à l’idée que le week-end est fini. Le pire étant quand je suis en week-end chez mes parents (ce qui n’arrive plus beaucoup, merci la SNCF qui me coûte un bras), … Continuer de lire Dimanche pluvieux, dimanche foireux

Résolution 385 : équilibrer ma vie

Si je liste tous les moments de ma vie où je prends des résolutions, il y en a au moins 3 : le nouvel an, mon anniversaire et la rentrée. Mais en fait, y en a en moyenne 52, ça s’appelle le dimanche soir, là où je me dis « demain, je reprends ma vie en main ». Ce que je fais très rarement. Pour preuve : avant-hier soir. Depuis 6 mois maintenant, j’ai changé de boulot et depuis tout ce temps, je cours après le temps et l’équilibre entre vie professionnelle et vie privée. Le problème de la vie en agence, c’est qu’on … Continuer de lire Résolution 385 : équilibrer ma vie

Tes gosses, c’est ton seul avenir

L’autre jour, je vous parlais donc de mon été dissolu, mon dernier été avant la trentaine, donc. Je le poste en lien sur Facebook et là, je reçois ce commentaire-ci « faire la fête c’est bien mais pense à faire des enfants sinon, à 60 ans, tu regretteras de n’avoir rien fait de ta vie », en substance. Hein ? Ca veut dire que la seule chose que je puisse faire de ma vie, ce sont des enfants ? Bon passons sur le côté potentiellement machiste de ce commentaire, je ne pense pas que cette personne m’ait dit ça parce que je suis une femme, … Continuer de lire Tes gosses, c’est ton seul avenir

Génération blasée ?

Par Tatiana Cher lecteur voici mon 1er article écrit sur mon magnifique ordi portable qu’il est trop beau et dont je suis amoureuse. Aujourd’hui je te propose de me suivre dans mes réflexions persos, donc peut être que ça n’aura pas forcément toute la cohérence voulue. En résumé on parlera de ma vie professionnelle avec un fond de questionnements sur notre génération. Cet article est né d’une réflexion que m’a faite un jour Pierre (un mec de mon ex boulot). La semaine dernière donc j’étais à mon ex boulot (vu que j’ai arrêté samedi) et on parlait musique, et plus … Continuer de lire Génération blasée ?

La schizophrénie du blogueur

Deux ans et demi  que je blogue, j’en ai vu et lu des choses. Maintenant, c’est même mon métier les blogs, c’est dingue. Mais je ne vais pas faire un bilan bloguesque, ça, je le ferai quand ce sera l’annif du blog. Non, je veux parler du comportement étrange de certains blogueurs. A savoir vivre sa vie pour son blog. Il y a quelques temps, je discutais sur MSN avec une grande consommatrice de blogs et on en vient à parler d’un blogueur que j’analyse en 2 mn de la façon suivante : « ce qui est triste, c’est que maintenant, il … Continuer de lire La schizophrénie du blogueur

La vie ordinaire d’une desperate jobless

En ce moment, vous aurez noté que je parle peu de moi. Sauf pour dire que je prends le métro et que je mate les gens. Sauf pour vous montrer mon sac. Sauf pour vous dire que les bonnes idées naissent sous la douche. Bref, que des choses pas très importantes. Mais que fait la Nina de ses jours (et de ses nuits). Bah pas grand-chose. Enfin, si, mais rien d’exaltant. Comme je n’arrête pas de le répéter depuis un an et demi, j’aime pas l’hiver. Pas du tout, c’est moche, ça pèle et ça pue. Et même pas il … Continuer de lire La vie ordinaire d’une desperate jobless

The interview (part 1)

Voici la première partie de l’interview (c’était trop long pour le mettre en une fois) . La suite samedi prochain. Si vous avez d’autres questions, n’hésitez pas ! Pourquoi as-tu choisi Nina comme pseudo ? (Dragoon, Lunelô, Rem) Alors, c’est très simple. Juste avant d’arriver sur Paris, j’ai lu « Hygiène de l’assassin » d’Amélie Nothomb dans lequel l’héroïne, journaliste, s’appelait Nina. Or elle affrontait un écrivain obèse particulièrement odieux qui m’a fait penser à ma grand-mère. Donc, je me suis un peu identifiée, Nina a fait ce que je ne pourrai jamais faire (ouais, le respect des aïeux). Donc quand j’ai … Continuer de lire The interview (part 1)

Le bonheur n’’est pas une fatalité

Y a des fois où je m’exaspère toute seule. Pourquoi ? Tout simplement parce que je me rends compte que j’ai une phobie du bonheur. Ca peut paraître curieux dis comme ça mais je vais vous expliquer.   Mois de mai. Le soleil revient dans ma vie : en plus d’avoir trouvé du boulot, je me trouve un compagnon charmant et le tout sans avoir cherché (enfin le boulot, si, quand même, mais j’avais pas postulé chez eux). Donc forcément, ça va couiller dans le potage. En plus, j’ai à peine fini mon contrat que paf, on me propose un stage et … Continuer de lire Le bonheur n’’est pas une fatalité

L’’amour, c’’est comme le travail

Comme je suis une intellectuelle qui cogite tout le temps, je ponds régulièrement de nouvelles théories qui ne servent à rien, si ce n’est à me rassurer. Samedi, en plein délirium tremens avec le Gauthier, j’ai donc eu une révélation. Pas un triptyque, non, non, une théorie que j’ai sortie à Gauthier d’une voix pâteuse avec un vocabulaire approximatif. Maintenant que j’ai décuvé, je développe. Bon, pour commencer, petit retour sur ma vie professionnelle. En octobre, me voilà diplômée de mon master 2 de journalisme avec une mention « assez bien », ce qui me fait chier, j’aurais mérité la mention supérieure … Continuer de lire L’’amour, c’’est comme le travail