Faut-il intellectualiser les merdes télévisuelles ?

J’ai des vices dans la vie et en tête de liste la merdassent télévisuelle. Je me délecte de certaines émissions télé dans un but pervers : mater puis m’en moquer. Soap operas, sitcom, telenovelas et parfois même téléréalité, je touille, j’avale et j’en fais un joli étron que j’expose avec fierté ici. J’ai pas dû bien gérer ma phase anale, moi. Faut dire que c’est jouissif. L’éternelle lutte des classes telenovelienne saupoudrée de crises d’hystérie proches du delirium tremens, tirages de cheveux des furies manucurées défendant bec et ongles en résine leur couple. Et avouons que y a des latinos, … Continuer de lire Faut-il intellectualiser les merdes télévisuelles ?

Mademoiselle princesse

Par Pink Lady Ah,les magazines féminins, ils ne cessent de m’épater. Parfois, j’ai un espoir, un espoir fol, celui de vor un engagement, un réel engagement pour la cause des femmes et pas de belles intentions « ohlala, être une femme, c’est pas facile facile ». Cette semaine, le poing fut relevé par Alix Girod de l’Ain, fameuse Dr Aga pour ceux qui lisent Elle. Aga a décidé de s’exprimer sur le débat sur le « mademoiselle ». Petit point avant de continuer sur cette histoire d’Aga. Osez le féminisme et les chiennes de garde ont décidé de lancer un débat sur la suppression … Continuer de lire Mademoiselle princesse

L’’amour, c’’est comme le travail

Comme je suis une intellectuelle qui cogite tout le temps, je ponds régulièrement de nouvelles théories qui ne servent à rien, si ce n’est à me rassurer. Samedi, en plein délirium tremens avec le Gauthier, j’ai donc eu une révélation. Pas un triptyque, non, non, une théorie que j’ai sortie à Gauthier d’une voix pâteuse avec un vocabulaire approximatif. Maintenant que j’ai décuvé, je développe. Bon, pour commencer, petit retour sur ma vie professionnelle. En octobre, me voilà diplômée de mon master 2 de journalisme avec une mention « assez bien », ce qui me fait chier, j’aurais mérité la mention supérieure … Continuer de lire L’’amour, c’’est comme le travail