Comment se déconstruire ?

Bonne année tout le monde ! On continue 2018 comme j’avais fini 2017 : en étant la reloue qui disserte sur les oppressions et plus spécifiquement sur le féminisme. Seulement, je me rends compte que peu importe comment j’emballe le paquet, c’est souvent ressenti comme une agression, t’as beau écrire en toutes lettres “arrêtez avec vos not all men”, des hommes débarquent à CHAQUE fois m’expliquer que eux ne sont pas comme ça, pia pia pia. On finit même par me dire que je suis extrême… Je pense que vous ne savez pas ce que c’est l’extrême (comme quand vous … Continuer de lire Comment se déconstruire ?

Le jeu de l’’interview

Quand on est journaliste, il est un exercice auquel on ne peut couper : l’interview. Il y a bien sûr l’interview classique qu’on reproduit telle quelle dans le journal mais aussi l’interview qui sert de base pour écrire un article, avec citation à l’appui. Par exemple, quand je bossais dans le milieu du rugby, j’interviewais les joueurs à la fin du match mais je les intégrais dans l’article de résumé du match.   J’avoue que l’interview est, de très loin, mon exercice préféré. La raison est très simple : ça permet de rencontrer des gens et discuter avec eux. Evidemment, rien ne … Continuer de lire Le jeu de l’’interview

Mexique suite et fin

Par Tatiana je vous ai gardé le meilleur pour la fin !   Ca fait tellement longtemps que je ne sais plus où j’en étais. Ah oui ! les Caraïbes. Rien que le nom ça laisse rêveur. Les plages de sable fin et blanc, les palmiers, la mer bleu turquoise. Et bien oui, chers webolecteurs c’est bien comme ça les Caraïbes. Avec en prime une eau bien chaude, c’est à dire assez chaude pour qu’il n’y ait pas de choc thermique en rentrant dedans, et assez froide pour vous rafraîchir de l’horrible chaleur extérieure. L’île est vraiment belle, même s’il n’y a … Continuer de lire Mexique suite et fin

L’’amour, c’’est comme le travail

Comme je suis une intellectuelle qui cogite tout le temps, je ponds régulièrement de nouvelles théories qui ne servent à rien, si ce n’est à me rassurer. Samedi, en plein délirium tremens avec le Gauthier, j’ai donc eu une révélation. Pas un triptyque, non, non, une théorie que j’ai sortie à Gauthier d’une voix pâteuse avec un vocabulaire approximatif. Maintenant que j’ai décuvé, je développe. Bon, pour commencer, petit retour sur ma vie professionnelle. En octobre, me voilà diplômée de mon master 2 de journalisme avec une mention « assez bien », ce qui me fait chier, j’aurais mérité la mention supérieure … Continuer de lire L’’amour, c’’est comme le travail