Trop beau pour toi

L’amour, ah, l’amour. Qu’est-ce qu’on s’emmerderait sans lui. Un matin, vous vous levez, votre vie est vide de ce doux sentiment, vos fantasmes sont peuplés d’acteurs et de mannequins top bueno parce que dans votre entourage, nul ne fait vibrer votre coeur. Eventuellement, en tirant un peu, vous reconnaissez que le beau mec du pôle du côté peut faire frémir votre culotte mais à force de l’avoir sous le nez toute la journée, vous vous êtes légèrement lassée. En un mot comme en cent : nul n’occupe vos pensées. Alors que vous cheminez ainsi, un homme vient croiser votre destinée. … Continuer de lire Trop beau pour toi

Tour du monde

Depuis quelques années, j’entends ces histoires de gens partis un an faire un tour du monde. Et si je me lançais ? Je fais péter le PEL vu que je refuse de m’endetter sur 30 ans pour un clapier à lapins et en avant l’aventure ! Sauf que je suis pas si convaincue que ce soit une bonne idée. J’ai l’âme vagabonde, j’aime l’ailleurs, je l’aime à la folie. La liste de mes envies voyage s’allonge au fur et à mesure des reportages que je vois, des livres que je lis, des gens que je rencontre. Propose-moi de partir, je … Continuer de lire Tour du monde

Paris a le blues

J’ai le blues de Paris Paris, 7 ans ¾ que j’y vis. Le 28 mars prochain, je soufflerai la 8e bougie de notre vie commune. Et je ne te cache pas que je ressens comme une petite crise existentielle entre nous, je sens que mon amour pour toi s’essouffle un peu. En fait, c’est pas tant toi que la vie parisienne qui commence à me fatiguer. Tu es attirante et tu le sais. Quand je suis venue vivre ici, je m’imaginais une folle vie culturelle, le Louvre deviendrait ma 2e maison, je serai de tous les concerts. Une vie aussi … Continuer de lire Paris a le blues

Remplacer le besoin par l’envie

Est-ce le mauvais temps ? Cette pluie incessante qui nous rince depuis des mois et des mois, ne nous offrant que quelques jours de répit ? Toujours est-il que je ressens comme une tension, une grande envie de rupture entre les salariés et les entreprises. Entre les sphères dirigeantes et les sphères salariales, ça passe plus très bien. Je vous propose donc une petite trilogie d’article sur le sujet, histoire de. Quand on était petit, on nous demandait toujours quel métier on avait envie de faire plus tard. Moi, selon les jours, je répondais écrivain, architecte, archéologue, prof, coiffeuse ou … Continuer de lire Remplacer le besoin par l’envie

Je n’aurai pas le temps

Dimanche,  alors que je dégustais mon petit pamplemousse devant la télé (mon estomac va finir par faire la tête avec tous les agrumes que je m’avale), je tombe sur une pub qui me parle, sur les premières images. Un monsieur prépare un truc pour un anniversaire, il est un peu tendu. Quand arrive sa femme qui lui dit “Ah, Marc a appelé, il sera un peu en retard” et un petit orchestre apparaît sur son épaule pour fêter le fait qu’il a du temps. Bon, la pub n’est pas super bien foutue et c’est pour un organisme de crédit que … Continuer de lire Je n’aurai pas le temps

2010, ce sera mieux quand ce sera fini

Chaque année, à Noël, y a des traditions : le foie gras, le saumon, la bûche, le sapin et le bilan de l’année. A quatre jours de cette fin d’année, j’ai envie de dire : ouf, je vais pouvoir respirer ! Non parce que 2010, y a eu des trucs bien, je ne peux pas dire que ce fut une année pourrie. Non, ce fut une année montagne russe. Mais j’ai pas vomi. 2010 commençait avec une belle ambition : changer de taf pour ne plus jamais prendre de lexomil. Mission réussie après 6 bons mois de recherche pas vraiment intenses. … Continuer de lire 2010, ce sera mieux quand ce sera fini

La coquette et l’intello

Depuis quelques temps, je le confesse, je délaisse toute presse féminine. Lassitude, impression d’avoir déjà tout lu, j’en parlerai une autre fois. Or un petit nouveau qui se positionne différent apparaît dans nos magasins. Vais-je craquer ? Non car en lisant ceci et ceci, j’ai compris que ce nouveau venu, Causette de son nom, n’arrivait toujours pas à dépasser le sempiternel clivage de la presse féminine. Soit t’es coquette et conne, soit t’es intello et négligée. Raaaaah ! Petit point de sémantique avant de poursuivre : je parlerai ici de femmes intellectuelles et non pas intelligentes. Parce qu’on peut très bien être cultivée et avoir … Continuer de lire La coquette et l’intello

De la perpétuelle insatisfaction

Durant mon week-end à Marseille, je me suis adonnée à l’un de mes vices préférés : la lecture de magazines féminins. J’en lis certes moins depuis quelques temps (je plaide coupable, j’ai jamais racheté Grazia), sans doute par lassitude mais dans le train, c’est une tradition : je lis du féminin. ET dans l’un d’entre eux (Biba ou Marie-Claire ?), je découvre un article sur l’insatisfaction chronique : ma vie n’est jamais assez parfaite. Oh bah tiens, ça parle de moi, pour une fois. Oui parce qu’entre les articles sur la durabilité de mon couple et l’éducation de mes enfants, j’ai parfois l’impression qu’on m’oublie un … Continuer de lire De la perpétuelle insatisfaction

Nina et les connards, le retour

Il y a presque 4 ans, j’avais écrit un article indiquant que les femmes préféraient les connards, article m’ayant valu moult insultes par des gars « gentils » qui n’appréciaient pas qu’on les apprécie à leur juste valeur. T’en fais pas, gars, vu comme tu m’insultes,  c’est normal que je n’ai aucune envie de te connaître. Donc j’avais dit ça. Depuis, j’ai vieilli (oui, je vieillis maintenant, je le sais, je vous expliquerai) et finalement, je me rends compte que j’ai totalement changé d’avis. Les connards ne m’attirent plus, ils me lassent et, limite, ils me font pitié. Explication. Connaissez-vous How I met your mother ? … Continuer de lire Nina et les connards, le retour

Bienvenue chez Pubilon

Depuis que j’ai fini mon journal d’une démissionnaire, j’ai oublié de vous raconter mon arrivée chez Pubilon. Déjà trois mois, j’ai fini ma période d’essai, d’ailleurs. Le décalage entre ma vie et mes écrits me déprime, parfois. Donc petit rappel : j’avais passé deux entretiens dans un café n’ayant pas vu les bureaux sauf l’entrée. Certains s’étaient demandé pourquoi, j’ai eu la réponse dès que j’ai découvert mon bureau : les murs sont totalement moisis. Le sol n’est pas droit et à ce moment là, je n’avais pas découvert les toilettes où il devait faire 10° les jours de beau temps. Ah ouais, c’était donc ça. … Continuer de lire Bienvenue chez Pubilon