Divergente de Neil Burger

Ou “regarder un film dont tu n’es pas le public cible était une mauvaise idée” Parfois, un titre de film m’évoque une histoire. Par exemple, j’ai regardé avec mon Victor le Dernier pub avant la fin du monde, je m’attendais à un film de type art et essai sur des personnes qui se réunissent une dernière fois dans un pub, sachant la fin du monde proche. Pour ceux qui ont vu le film, vous pouvez imaginer mon choc… Et bien Divergente, c’est un peu pareil. Je n’avais pas la moindre idée du sujet mais je trouvais le titre cool alors… … Continuer de lire Divergente de Neil Burger

The Amazing Spider-Man de Marc Webb

Des fois dans la vie, t’es un peu claquée mentalement parlant et quand on te propose d’aller mater un bon blockbuster bien crétin, tu dis « ouiiiiiiii ! ». Nous voici donc posés devant the Amazing Spider-man, numéro 2 d’une trilogie dont je n’avais pas vu le 1 mais c’est pas grave, j’avais vu que le 1er de la trilogie avec Tobey McGuire donc l’un dans l’autre, je devrais m’en sortir. Victor m’ayant prévenu de la relative qualité du premier et le charisme d’huître d’Andrew Garfield, j’étais prête… enfin, le croyais-je. Du coup, je vous spoile le barda, histoire de vous faire … Continuer de lire The Amazing Spider-Man de Marc Webb

La fine limite entre le cynisme et l’aigreur

Si je devais me comparer à un personnage de fiction, ce serait sans hésitation Miranda de Sex and the city : carriériste, décomplexée, directe et cynique. Sauf que parfois, force est de constater que le cynisme de Miranda a des odeurs un peu aigres parfois et que sous sa volonté de sarcasme se cache un vrai sujet de frustration. Mince, est-ce que c’est pareil pour moi ? Puis-je déjà être aigrie avant 30 ans ? Prenons un cas : les amoureux qui se bécotent en public. Les réactions cyniques fusent toujours sur ce genre de comportements : « roh, mais non, ça devrait être interdit en public ! ». Mais souvent, … Continuer de lire La fine limite entre le cynisme et l’aigreur

Le tampon rend con

Il y a un mois ou deux, avec LilVirgo, on a lancé le concept d’un one woman show. Comme c’est ferié aujourd’hui, en cadeau bonus, voici le premier sketch : le tampon rend con (regarde son agenda) 26, 27, 28… Bon, ben, mercredi, j’ai mes règles. Ca tombe mal, j’ai une réunion super importante où je dois démontrer que je mérite mon salaire et que je ne passe pas mes journées à devenir une championne au solitaire. Non parce que je sais pas si vous avez remarqué mais, souvent, les règles, ça nous rend con. Est-ce dû au fait que … Continuer de lire Le tampon rend con

La drague en boîte

Deuxième volet de « la drague vue par une fille qui n’aime pas ça ». Après la rue, voici un haut lieu de drague : la boîte de nuit. Des hommes et des femmes parés pour l’occasion et gigotent sur des musiques endiablées. Toute cette sueur active fortement les phéromones, on espère ramener un(e) partenaire de brouette pour terminer la nuit. Après tout, la pénombre, des mouvements en rythme tel un prélude à l’amour, l’alcool, les strass… Tous les ingrédients sont réunis ! Sauf que c’est pas une raison pour nous croire forcément consentantes.   En boîte, les discussions sont impossibles, il faut l’admettre donc … Continuer de lire La drague en boîte

Les gens heureux sont chiants

Pour changer un peu le ton de ce blog trop plein de fleurs, de petits oiseaux et de cœur en ce moment, crachons un peu de fiel, je sais que c’est comme ça que tu m’aimes lecteur. A se demander si certains d’entre vous ne m’imaginent pas volontiers en maîtresse SM ! (qu’ils seraient déçus).   Août 2005. Gauthier et moi sommes affalés devant la télé en attendant des gens pour faire la fête, nous regardons le best of de « tout le monde en parle », émission que je ne regarde jamais, n’ayant pas une passion particulière pour ces talk show où Agathe Mange-moi-la-fouffe, … Continuer de lire Les gens heureux sont chiants

De la nécessité (ou non) de ne pas coucher le premier soir

En feuilletant mon magazine féminin d’un œil morne, commençant à glisser vers une agréable sieste, je découvris la phrase suivante : « si vous voulez que votre relation dure, ne couchez pas le premier soir ». Pourquoi donc ? Cette phrase mérite réflexion et j’ai cherché à comprendre en quoi c’était mal de s’adonner au plaisir physique dès le premier soir. Flash back : 2 février 2000. Après une semaine à essayer de se trouver un moment tranquille, je ramène ce jeune homme chez moi. Au bout de 10 minutes, nos langues font connaissances et c’est parti pour une séance de pelotage … Continuer de lire De la nécessité (ou non) de ne pas coucher le premier soir