The art of the brick ou l’éternelle insatisfaction

Ou comment je vais vous parler d’une expo et de la réflexion qui en a découlé. Samedi, Porte de Versailles. Entre deux gouttes de pluie, Anaïs et moi empruntons l’incroyablement lent tapis roulant du Parc des Expositions pour nous rendre à l’exposition “The art of the brick” de Nathan Sawaya. Il faut savoir que j’ai pas tout à fait guéri ma nostalgie de l’enfance et que tout ce qui est “un jouet détourné pour faire de l’art” me fait pétiller les yeux. C’est donc avec plaisir et impatience que je vais voir cette expo. Alors je vais pas tout vous … Continuer de lire The art of the brick ou l’éternelle insatisfaction

Le mec de la tombe d’à côté de Katarina Mazetti

Je suis une fille paradoxale : si un film ou une série fait l’unanimité, j’ai juste pas envie de le voir alors que si c’est un livre, je cours l’acheter. Enfin, ça dépend, je me précipite pas acheter les best sellers de type Musso, Lévy ou la saga Twilight (même par curiosité, j’ai pas réussi à m’y mettre à celui là). J’ai donc piqué « Le mec de la tombe d’à côté » à ma maman qui m’avait prévenue « j’ai pas aimé, j’ai trouvé ça vulgaire ». Bien, bien, bien… Bon, avec maman, on a un peu les mêmes goûts en matière de … Continuer de lire Le mec de la tombe d’à côté de Katarina Mazetti

Les succubes de l’énergie

Je poursuis mon exposé sur les amitiés malsaines, tant qu’à y être… Je vous parlais donc de ces personnes qui vous pompent l’air, des parasites de la good vibe qui n’attendent de votre amitié qu’une chose : que vous soyez là pour lui. Tu peux te brosser pour la réciproque. A la base, je suis plutôt une gentille, l’éternelle pompom girl de mes amis qui positive autant que faire se peut. Comme disait ma naturopathe, je suis faite pour être heureuse. Donc quand je rencontre une personne, je ne mets pas de barrière et je me retrouve parfois très vite … Continuer de lire Les succubes de l’énergie

Douce enfance, dure adolescence

Y a pas à dire, j’ai beau n’avoir que 31 ans, les ados d’aujourd’hui, ils vivent pas la même vie que moi. Ou du moins, ils n’ont pas les mêmes référents et je m’inquiète un peu pour eux, j’ai peur qu’on en fasse des… des dépressifs. Tadam !   En fait, il y a quelques temps, je me disais que les enfants d’aujourd’hui avaient une enfance plus douce que la nôtre. Je ne parle pas de jouets, de couches anti-fuite avec un talc tout doux (depuis ma rééducation, je développe une sorte de fétichisme du talc, ne faites pas attention), non, non, … Continuer de lire Douce enfance, dure adolescence

Les vacances de l’amour

Lecteur, tu l’auras remarqué, plus une série est pourrie, plus je la kiffe. Pourquoi ? Masochisme télévisuel ? Non, c’est pas tant ça, c’est juste que j’adore parler de ce genre de séries, surtout qu’on remarque vite qu’on n’est pas la seule à les regarder. Et ce que j’adore encore plus, c’est de les disséquer pour en faire sortir les grandes lignes.   Donc les Vacances de l’amour, c’est quoi ? C’est la suite (et à priori la fin) d’Hélène et les garçons. Avant, Hélène et ses potes étaient étudiants (Hélène et les Garçons) puis y en a un qui a hérité d’une … Continuer de lire Les vacances de l’amour

Marine teste pour vous : le thésard en sciences sociales

Par Marine Qui dit TSS (Thésard en Sciences Sociales, donc) dit pauvre et savant. L’exact opposé du Golden Boy. Pourquoi en Sciences Sociales? Parce que… depuis quand les rats de laboratoire ont-ils une vie sexuelle? Non franchement, ça se saurait. (Pardon pour nos amis mathématiciens qui nous lisent, ils sont, j’en suis sûre, très nombreux, des bisous) La mise en bouche. Le TSS étant un crevard, tu peux un peu le trouver n’importe où, et pas seulement aux soirées étudiantes (dieu merci). Alors : vernissage d’expo, magasin de fringues, resto japonais entre potes, pub, boîte, soirées privées chez des amis (le TSS est … Continuer de lire Marine teste pour vous : le thésard en sciences sociales

La musique, oui, la musique !

Ah, l’industrie du disque, en voilà une qui nous prend pour des cons et des vaches à lait. Je sens que je vais me faire allumer suite à la rédaction de cet article mais tant pis, je l’écris quand même, même pas peur.     Ce que j’aime sur M6, ce sont les mini-émissions comme « lumière sur » ou « s comme son ». Bon, très honnêtement, je n’ai jamais compris la différence entre les deux, peu importe. En général, ces émissions d’un couple de minutes montre un artiste qui chante une daube fantastique et un monsieur le présente d’une voix extatique : « Pingoo … Continuer de lire La musique, oui, la musique !

Va, je ne te hais point

Suis-je quelqu’un d’indifférent ? On pourrait le penser vu la vitesse à laquelle j’ai tourné la page Arnaud mais ce n’est dû qu’à une philosophie de vie, une phrase qui dégonfle tout de suite les sentiments les plus négatifs : « tu n’es pas digne de ma haine ».   Cette phrase, ce fut un copain de lycée qui me la sortit un jour où il me taquinait et que je lui fis (en plaisantant) : « je te hais ! » Et, là, il me répondit, sérieux : « mais je ne suis pas digne de ta haine, garde-la pour quelqu’un d’autre ». Je suis restée silencieuse, méditant sur cette … Continuer de lire Va, je ne te hais point