Les succubes de l’énergie

Je poursuis mon exposé sur les amitiés malsaines, tant qu’à y être… Je vous parlais donc de ces personnes qui vous pompent l’air, des parasites de la good vibe qui n’attendent de votre amitié qu’une chose : que vous soyez là pour lui. Tu peux te brosser pour la réciproque. A la base, je suis plutôt une gentille, l’éternelle pompom girl de mes amis qui positive autant que faire se peut. Comme disait ma naturopathe, je suis faite pour être heureuse. Donc quand je rencontre une personne, je ne mets pas de barrière et je me retrouve parfois très vite … Continuer de lire Les succubes de l’énergie

Les amitiés malsaines

Pendant des années, je vous ai parlé ici d’amour et de couple mais en somme assez peu des relations amicales, une forme d’amour, et surtout certaines qui se révèlent assez malsaines. Mais je commence à savoir les détecter (enfin, avec pas mal de temps) En amour, je suis méfiante. On sait tous et toutes que celui ou celle que l’on considère comme notre doux alter ego peut se révéler un jour une arnaque complète plus intéressé par ce qu’il se passe dans notre culotte que dans notre cage thoracique. En amitié par contre, je donne sans parcimonie. Concrètement, je ne … Continuer de lire Les amitiés malsaines

Fantasmer comme des ados, c’’est beau

Jeudi, journée entre filles. Je retrouve LilVirgo à 12h30 à Odéon et on est parties : un déjeuner puis un chocolat chaud au programme. Déjà, en y allant, je feuillette le Cosmo du mois de mars qui m’apprend que la futilité, c’est gai. Ça fait du bien. Ok, ce sera donc ma journée futile. Pendant qu’elle déguste sa salade et moi mon sandwich très bon qui coule partout (Lil m’a expliqué que ce petit resto tuait mais faut pas y aller avec un mec qu’on ambitionne de séduire), on parle mecs. Pas ceux qu’on côtoie dans notre vie de tous les jours, … Continuer de lire Fantasmer comme des ados, c’’est beau

Remplacer le besoin par l’envie?

Par Marine Je voulais vous parler de Perrine. Perrine, je la connais depuis du temps déjà. 16 mars 1992. Dans la cour de ma nouvelle école. Tout le monde s’agglutine autour de moi. Je suis l’attraction. La nouvelle. Tout le monde est gentil. Moi, cette école, je la trouve juste… petite. L’ancienne me paraît immense à côté. Elle me manque. Ces nouveaux gens, je ne sais pas ce qu’ils me veulent. Vers le mois de mai. On a cours d’allemand. Le « maître » n’est pas là. On écrit des mots à la craie, sur le tableau. Elle, elle prend sa craie pour … Continuer de lire Remplacer le besoin par l’envie?