Un jour, mon prince viendra

(nouveau sketch de mon one woman show, merci d’être indulgents sur la version audio, j’ai pas répété)

Un jour, mon prince viendra, un jour, il m’aimera nananananananananaaaaaaaaaaaaaaa ! Un jour mon prince viendra… un jour, il m’aimera…

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Tu parles ! Dès le départ, ça puait l’arnaque ces contes de fées. Non mais regardons : Cendrillon, elle passe sa journée à faire le ménage, aidée par des souris. Blanche Neige,
encore mieux. Elle manque de se faire tuer, elle court dans la forêt et quand elle trouve enfin une petite maison pour s’abriter, qu’est-ce qu’elle fait ? Le ménage ! J’imagine tout à fait le truc : « Oh mon Dieu, on cherche à me tuer, au secours, aidez-moi… Oh, tiens un balai, si je m’en servais ? ». Et cette couillasse de Belle au bois dormant ? La nana, elle voit un rouet, faut à tout prix qu’elle s’en serve ! Moi, je vois un rouet, je sais même pas comment ça marche alors je vais le laisser où il est. Donc voilà, dès le départ, les princesses font le ménage et aiment ça.

Face à elles, le prince charmant, celui sur qui on doit fantasmer. Alors excusez-moi mais dans le genre « je me foule pas », on fait fort. Genre le mec de Blanche Neige. Elle, elle
échappe à la mort, aux dangers de la forêt, elle se tape le ménage de non pas un mais sept nains, elle affronte une sorcière. Et là, le Prince, il arrive, il lui roule une pelle et c’est un héros ? Merde, je savais pas qu’il y avait un nid de princes charmants dans toutes les boîtes de France. Et celui de Cendrillon ? Elle, elle est limite esclave, l’autre, il essaie des chaussures aux filles et ça nous fait un héros, ça ? Ah ben bravo ! Au lieu de chercher le prince charmant partout, je vais aller chez Bata !

Je me moque mais tous ces dessins animés qu’on nous a fait avaler, petites, c’est un vrai drame pour la femme indépendante des années 2000. Si, si. Petites, on nous a appris que
pour une femme soit accomplie, elle doit trouver son prince charmant. Donc nous, qu’est-ce qu’on fait ? On le cherche, évidemment. Et là, c’est le début des emmerdes. Non parce que les garçons, ils ont appris qu’une chaussure, un baiser et hop, on est emballées alors voilà, c’est à nous de tout faire. Non parce qu’on ne dira jamais à un mec « 30 ans et toujours célibataire ? C’est quand que tu nous ramènes une femme ? ». Et puis, eux, ils s’en foutent des princesses et tout ça alors que nous, c’est tellement ancré en nous qu’à 30 ans, si on n’a pas un mec qui veut nous faire des bébés, on est périmées. Pé-ri-mées, oui ! Déjà qu’on vous dit l’air de rien : « et après 25 ans, les ovules se dégradent ». Hé, c’est pas la faute si la nature m’a fait féconde dès 13 ans ! Si elle avait attendu que je sois prête, mes ovules seraient en parfait état quand je déciderais de faire un bébé.

Ah oui parce que le conte de fée, il se termine toujours par « et ils se marièrent, ils furent heureux et eurent beaucoup d’enfants ». Alors moi, je veux bien mais j’aimerais bien
voir la gueule de Blanche Neige après ses « beaucoup d’enfants ! ». Alors moi, je suis une femme indépendante des années 2000 et je n’ai pas envie que mon utérus serve de refuge à une colonie scout ! Déjà un gosse, je saurais pas quoi en faire entre mon boulot, mes cours de yoga, de stretching, mon coiffeur, mon esthéticienne, mon chirurgien esthétique… Non parce que les Blanche Neige, Cendrillon et tout ça, elles pouvaient en faire 50 de gosses, le prince allait pas les larguer à 50 ans pour se taper une bimbo blondasse siliconée. Nan, elles, elles vivaient dans leur château avec leur prince charmant et ils furent très heureux. Bon, on se doute qu’il tripotait une ou deux servantes par ci par là mais il restait. Alors que nous, femmes indépendantes des années 2000 que nous sommes, on ne doit jamais baisser la garde. A 30 ans, faut avoir l’air d’avoir 20 ans, à 40, toujours 20, à 50, faudrait tenter un petit 18 ans…

Alors moi, je dis non. Non aux contes pour enfants où la princesse se tape toutes les horreurs en attendant qu’un pauvre type à cheval vienne lui rouler une pelle pour l’embarquer et lui faire 36 moutards. Le prince charmant, ça n’existe pas. Ils épousent Blanche Neige mais à la crise de la quarantaine, ils se cassent avec Barbie.

27 réflexions sur “Un jour, mon prince viendra

  1. « Un jour mon prince viendra… »

    Trés bon les aigus !

    Pas mal mais pour un scketch, cela manque d’effet dans une interpretation un poil trop rapide.

    Le texte est prometteur 🙂

  2. On bourre le crâne des petites filles avec des contes de fées. On bourre le crâne des grandes filles avec des magazines féminins. Femmes indépendantes des années 2000 qui cherchent quand même le prince charmant. Quelle belle farce !

  3. Malheureusement, ce n’est pas seulement le crâne des petites filles que l’on gave comme des oies dans le sud-ouest à l’approche des fêtes (suivez mon regard, vers le haut de la page).

    Encore un sale coup de la page de commentaire facétieuse je présume.

    Moi, en tant que victime désignée de cet article, je souhaite user ici d’un droit de réponse que tu dois à tes lecteurs, en raison de ton impartialité légendaire.

    « Amis princes charmants, ne prêtons plus le flanc aux critiques de nos belles, une fois le ménage terminé par Cendrillon, Blanche-neige et la Belle au bois dormant, un fois les nombreux enfants élevés et disséminés dans la forêt – oui, il faut ici ouvrir une parenthèse, comment croyez-vous que sont peuplés les décors des contes, voyez les 7 nains sus-mentionnés, les frères et soeurs du petit poucet et j’en passe, tous sont des rejetons de prince charmants, placés dans des familles de complaisance- nous cédons parfois à la facilité en quittant le domicile conjugal avec la première poupée venue.

    Non, au prix d’un petit effort, nous pouvons faire taire ces critiques et redorer notre blason rouillé par l’inaction.

    Parce qu’à vaincre sans péril on triomphe sans gloire, cherchons l’exploit !

    Laissons Barbie à Ken, qui sera d’ailleurs bien attrapé lorsqu’il soulévera son jupon, et courrons sus à des pensionnats de jeunes filles, toutes princesses en puissance.

    A ce que je me suis laissé dire, elles savent toutes manier le balai avec une grande dextérité, et prêtes pour une longue vie heureuse avec de nombreux enfants »

    Nina, merci encore pour la place que tu m’as octroyée dans tes colonnes.

    Ps : j’ai confiance, je ne re-poste pas.

  4. De toute façon, le prince charment, vivant dans un chateau, et avec les habits de bourges qu’il a, c’est sur qu’il vote Sarko !!

    Alors quand à faire, autant se perdre dans la forêt les petites !

    Meuh !!

  5. C’est marrant c’était ma conversation d’hier soir, les princes charmant de Walt Disney. Je les trouve niais, et inutile car ils apparaisent 2 min en tout et pour tout dans chaque film. Par contre les mangas me faisais plus réver, j’étais amoureuse du brun des « chevaliers du zodiaque », un peu plus héroïque et plus beau.

  6. La cause à ce bourrage de crâne, tv et presse feminine. Tien

    Tiens nina as-tu lu « à bout de couple » de catherine castro? Cela devrait te plaire meme si sa position est tres extrémiste. J’en parlerais plus tard sur mon blog, interessant.

  7. Tiens , c’est marrant , c’était aussi ma discution d’hier soir …

    Le brun des chevaliers du zodiaque ?
    Seiya ?

    Mmm . Je vois .

    Nina , j’adore tellement plus tes posts comme ca coup de gueule , dans le fond , n’est ce pas ce qu’on attend de nous ?

    Bisous .

  8. « 30 ans et toujours célibataire ? C’est quand que tu nous ramènes une femme ?  »

    A 3à je sais pas, mais a 18 on me le dit xD

    Puis je ne m’y connais pas trop trop en contes mais le princce il a jamais des epreuves avant d’arriver a la princesse ? Genre un dragon a tabasser, un pays a sauver, des conneries de ce genre. Car si on, en effet c’est vraiment qu’une couille molle !

    Mais pour prendre le coté serieux du truc, nous les petits garcons on nous a mattraqué a coup de preux chevalier, de vertueux bonhomme et tout, ce qui etait tres lourd (pas sur le moment mais apres).

    Dommage que les seuls princes qui existent soient a usage unique.

  9. Eh Nina, tu es restée accrochée à tes souvenirs Wlatdisneysques ? tu devrais aller voir « Shrek », c’est tellement régressif et salutaire, j’adore ce prince charmant, pétant, rotant et ralant, à tout bout d’champ. Et pis, il l’aime sa Fiona, il se torché le dragon avant de la libérer et se bastonne avec toute l’armée du roi avant de mériter sa belle !

    Sinon, je te propose d’aller voir « Blanche Niege ou comment le savoir vient aux jeunes filles » (http://www.tnba.org/event.php?id=20)…
    Les contes de fées, c’est tout sauf gentil, édulcoré et bien pensant.

    Bon courage les princesses !

  10. Dans un voyage en absurdie
    Que je fais lorsque je m’ennuie,
    J’ai imaginé sans complexe
    Qu’un matin je changeais de sexe,
    Que je vivais l’étrange drame
    D’être une femme.

    Femme des années 80,
    Mais femme jusqu’au bout des seins,
    Ayant réussi l’amalgame
    De l’autorité et du charme.

    Femme des années 80,
    Moins Colombine qu’Arlequin,
    Sachant pianoter sur la gamme
    Qui va du grand sourire aux larmes.

    Être un P.D.G. en bas noirs,
    Sexy comm’autrefois les stars,
    Être un général d’infanterie
    Rouler des patins aux conscrits.

    Enceinte jusqu’au fond des yeux,
    Qu’on a envie d’app’ler monsieur,
    Être un flic ou pompier d’service
    Et donner le sein à mon fils.

    Femme cinéaste, écrivain,
    A la fois poète et mannequin,
    Femme panthère sous sa pelisse
    Et femme banquière planquée en Suisse.

    Femme dévoreuse de minets,
    Femme directeur de cabinet,
    A la fois sensuelle et pudique
    Et femme chirurgien-esthétique.

    Une maîtresse Messaline
    Et contremaîtresse à l’usine,
    Faire le matin les abattoirs
    Et dans la soirée le trottoir.

    Femme et gardien de la paix,
    Chauffeur de car, agent-secret,
    Femme général d’aviation,
    Rouler des gamelles aux plantons.

    Être un major de promotion,
    Parler six langues, ceinture marron,
    Championne du monde des culturistes,
    Aimer Sissi impératrice.

    Enceinte jusqu’au fond des yeux,
    Qu’on a envie d’app’ler monsieur,
    En robe du soir, à talons plats,
    Qu’on voudrait bien app’ler papa.

    Femme pilote de long-courriers
    Mais femme à la tour contrôlée,
    Galonnée jusqu’au porte-jarretelles
    Et au steward rouler des pelles.

    Maîtriser à fond le système,
    Accéder au pouvoir suprême :
    S’installer à la Présidence
    Et de là faire bander la France.

    Femme et gardienne de prison,
    Chanteuse d’orchestre et franc-maçon,
    Une strip-teaseuse à corps perdu,
    Emmerdeuse comme on en fait plus.

    Femme conducteur d’autobus,
    Porte des halles, vendeuse aux puces,
    Qu’on a envie d’appeler Georges
    Mais qu’on aime bien sans soutien-gorge.

    Femme des années 80,
    Mais femme jusqu’au bout des seins,
    Ayant réussi l’amalgame
    De l’autorité et du charme.

    Femme des années 80,
    Moins Colombine qu’Arlequin,
    Sachant pianoter sur la gamme
    Qui va du grand sourire aux larmes.

    Être un P.D.G. en bas noirs,
    Sexy comm’autrefois les stars,
    Être un général d’infanterie,
    Rouler des patins aux conscrits.

    Femme cinéaste, écrivain,
    A la fois poète et mannequin,
    Femme panthère sous sa pelisse
    Et femme banquière planquée en Suisse.

    Femme dévoreuse de minets,
    Femme directeur de cabinet,
    A la fois sensuelle et pudique
    Et femme chirurgien-esthétique.

    Être un major de promotion,
    Parler six langues, ceinture marron,
    Championne du monde des culturistes,
    Aimer Sissi impératrice.

    Femme et gardien de la paix,
    Chauffeur de car, agent-secret,
    Femme général d’aviation,
    Rouler des gamelles aux plantons.

    Femme pilote de long-courriers
    Mais femme à la tour contrôlée,
    Galonnée jusqu’au porte-jarretelles
    Et au steward rouler des pelles.

    Maîtriser à fond le système,
    Accéder au pouvoir suprême :
    S’installer à la Présidence
    Et de là faire bander la France.

    Femme des années 80,
    Moins Colombine qu’Arlequin,
    Sachant pianoter sur la gamme
    Qui va du grand sourire aux larmes.

    oups…lol

  11. je m’en doute bien Nina !
    et encore t’as échappé à la version audio
    je voulais la mettre en dewplayer mais t’as enlever le HTML !

    sinon pour répondre à l’article, je suis pour le remplacement des contes de fées par des films porno direct lol
    je sors je sais

  12. La famille fou la pression mais elle a quand meme une excuse, ma soeur vient de faire son coming out et ma mere veut etre grand mere. Je te laisse imaginer la suite.

  13. Merci Mr Walt Disney d’avoir tant fait pour la condition de la femme, mais avent, merci à mrs Grimm, Anderson… et tutti quanti !!!

    Celà dit, qui dit que cette Blanche Neige, toute ingénue qu’elle était, s’est pas tapé les nains avec le ménage et la vaiselle ? Parce que… comment dire, dans la foret y’a pas grand chose à faire !
    D’ailleurs, c’est pas Choupi-Tro qui dira le contraire !!

  14. Petites et en pyjama blotties au fond de notre lit, on aimait quand on nous racontait tout les beaux contes de fées à la Walt Disney. Mais, avant même de lire psychanalyse des contes de fées de Bruno Bettelheim, on s’était bien rendues compte qu’il y avait quelque chose qui clochait dans toutes ces histoires.

    Tout d’abord, parce que dans les contes de fées, les gentils sont toujours en blanc et les méchants en noir. C’est si facile de les reconnaître, il suffit de les regarder. Mais dans la réalité, tout n’est pas si simple, les méchants ont rarement des inscriptions sur le font « JE SUIS MECHANT », et les gentils ne sont pas toujours de vrais gentils.

    Ensuite, les héroïnes sont toujours super jolies. Blanche neige : parfaite, Cendrillon : parfaite, La belle qui n’arrête pas de dormir : parfaite.

    Elles sont quand même un peu énervantes parce que ce n’est pas humain d’être gentille, belle et en plus d’être une princesse.

    Et puis, qui croirait que 7 nains peuvent réellement avoir des noms aussi ridicules sans avoir pensé à faire des démarches auprès de la préfecture pour changer de nom ? Et puis 7 nains dans une même maison, ça fait beaucoup je trouve. C’est à la limite du réel.

    Parlons un peu de Blanche Neige. Elle aussi a un sacré nom ridicule, même si ça reste plus joli que Noire Boue. Et puis un beau matin, elle voit une vieille bonne femme à sa fenêtre et mange sa pomme… elle n’a pas entendu parlé d’Eve, et n’a toujours pas compris qu’il ne faut pas manger les pommes que nous proposent les inconnus ? Sans compter que les médecins voudraient sans doute parler à son prince charmant (en blanc comme par hasard), parce qu’il la sort d’un coma profond par un baiser ça défi toutes les lois de la nature cette histoire… ou alors faut qu’il nous fournisse des explications.

    Cendrillon quant à elle, n’est pas franchement plus crédible. Après s’être fait écrasée pendant des années sans rien dire par ses demi-soeurs (qu’on me présente la famille où le faible ne se révolte pas…) et bien, elle a forcément une marraine magique qui l’emmène au bal, en citrouille. Le plus incroyable de l’histoire c’est que quand elle perd sa chaussure en vair, elle ne fait même pas demi-tour. Quelle fille censée laisserait une chaussure derrière elle, surtout que je suis certaine que c’était du sur-mesure ? Donc, Cendrillon n’est pas crédible non plus.

    La belle et la bête ce n’est pas mieux. Je veux bien être gentille, mais le coup du baiser qui transforme la bête en mec super canon, je n’y crois pas trop. Moi c’est plutôt l’inverse, à l’origine ils ressemblent à s’y méprendre à des princes charmants, et dès qu’ils passent dans mon lit, je me réveille aux côtés d’une bête à la limite de l’humain… Alors le coup du baiser qui transforme le crapaud en beau gosse, c’est une belle imposture.

  15. juste pour faire mon chieur, ces contes de fées ne sont pas des créations Disney mais des adaptations il me semble, je serai curieux de savoir quelle est la part d’interprétation dans l’histoire, parce que bon Walt était quand même un beau réac puritain…

  16. Oh, t’exagère quand même un chouilla, les Princes avait de rouler des pelles aux endormies ils doivent se battre contre les méchantes maratres transformées en dragons ou en vilaines sorcières ou alors en grosse pieuvre géante (même si Ursula n’est pas la belle-mère de la petite sirène, elle est méchante).
    Non, plus sérieusement je suis d’accord avec toi, le coup du ménage à répétition c’est pas sympa.

  17. Oh toi je t’aime, je n’avais pas lu cet article, heureusement que j’ai rattrappé ce retard! (ceci n’est pas le commentaire lesbien du soir. Merci)

  18. ben la morale c’est que ces princes sont que des connards de parvenus, et que les princesses y gagnerait à aller se faire leur nains, bucherons, paysans ou autre gueux, non? quoi, je politise tout?

  19. Oui la Psychanalyse des Contes de Fées est facile à lire et personnellement j’ai trouvé ça très intéressant et très formateur (pour lutter contre l’image du Prince Charmant justement)

    Excellent sketch, caricatural mais c’est normal c’est la loi du genre.

    Par contre pour répondre à un com sur la Belle et la Bête, comme tout est symbolique mais relié au sexe et édulcoré mais que l’enfant arrive à comprendre le cryptage, cette histoire de bête qui se transforme quand on l’embrasse (ou de crapaud qui se transforme, c’est le même processus) c’était un avertissement pour les jeunes vierges que si la nuit de noces se passait mal, avec un peu de pratique et d’amouuuur ça s’arrangerait.

    Certes de nos jours c’est complètement dépassé (à part pour certains rétrogrades dans mon genre mais c’est une autre histoire) mais il est possible que ça ait aidé quelques gentes demoiselles (je parle d’expérience :p)

  20. J’aime beaucoup! Très drôle, et très pertinente analyse! J’ai toujours trouvé les princes des contes de fée très cruche, mais sans réfléchir pourquoi. Maintenant je comprends mieux!

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