Le bonheur n’’est pas une fatalité

Y a des fois où je m’exaspère toute seule. Pourquoi ? Tout simplement parce que je me rends compte que j’ai une phobie du bonheur. Ca peut paraître curieux dis comme ça mais je vais vous expliquer.

 peur-du-bonheur

Mois de mai. Le soleil revient dans ma vie : en plus d’avoir trouvé du boulot, je me trouve un compagnon charmant et le tout sans avoir cherché (enfin le boulot, si, quand même, mais j’avais pas postulé chez eux). Donc forcément, ça va couiller dans le potage. En plus, j’ai à peine fini mon contrat que paf, on me propose un stage et que je suis prise. Va forcément y avoir une merde. Et hop, alors que ma vie professionnelle s’envole, je subis une rupture amoureuse. Bon, ça n’avait rien à voir avec mon état d’esprit de « va y avoir une merde », je vous rassure, je ne suis pas le genre de filles à dire à mon mec : « non mais de toute façon, tu vas me quitter parce que j’ai trouvé du boulot ». Parce que là, je pourrais comprendre que le mec se barre en courant !

Par moment, je me désespère quand je pense à mon mode de pensée : mais pourquoi ce fatalisme ? Bon, ça vient sans doute de ma mère, on sait très bien que quand tout va bien, ça va mal aller quelque part. La semaine où j’ai appris que j’avais mon boulot, qu’Anthony était pris aux pompiers de Paris et que ma sœur avait une prime, on a limite sabré le champagne quand quelqu’un a essayé de piquer la voiture de ma sœur. Bon, super, la cata a eu lieu, on peut desserrer les fesses. Optimisme, quand tu nous tiens.

En ce moment, dans ma vie, tout va insolemment bien : après mon stage qui finit en septembre, je devrais direct enchaîner sur un nouveau contrat qui va me tenir au moins jusqu’en janvier, un vrai boulot, cette fois-ci mais je n’en dirai pas plus. Mon avenir professionnel a soudain un horizon tellement éclairci que je me dis que c’est même pas la peine que j’envisage une vie privée épanouie. Et je me dis que ce genre de raisonnement est stupide. Quand je regarde en arrière, il y a bien des périodes dans ma vie où tout me réussissait. Pendant mes quatre ans et demi avec Guillaume 1er, j’ai validé trois diplômes (presque quatre), j’ai réussi pas mal de choses. Mais je ne parviens pas à croire que la vie peut être parfaitement rose.

J’en parlais l’autre jour sur MSN avec un gars qui a attribué ma façon de penser à mon éducation catho. L’idée est que, en gros, pour mériter le bonheur, il faut subir des épreuves. Que le bonheur, ça se partage, une personne ne peut pas tout focaliser sur elle. Si je regarde ma vie ces six derniers mois, je dirais qu’il y a eu vraiment une sale période entre janvier et mars, à peu près, puis tout à coup, un formidable mieux : un boulot puis un stage et c’est pas fini ! Dois-je en conclure que ma période de chômage m’a servi à apprécier ma nouvelle vie active ? En gros, l’ivresse des sommets ne vaut-elle qu’après une ascension pénible et périlleuse ? C’est vrai que jusqu’à présent, j’avais eu une chance insolente dans ma vie étudiante et professionnelle. Je voulais un stage ? J’envoyais deux lettres et je l’avais. Je voulais un mec ? Ah ben non, j’étais avec Guillaume donc pas de soucis de ce côté. La santé ? Aucun souci ! Un partiel mal révisé ? Pas grave, je savais toujours sur quoi ça allait tomber, toujours sur ce que je savais le mieux. Une dose de chance, une dose de démarches au bon endroit au bon moment et tout allait pour le mieux. Jamais peur de rien, tout finissait toujours par me sourire.

Aujourd’hui, après une période de galère, ma vie professionnelle s’arrange au-delà de toutes mes espérances. Donc si, demain, je trouvais un mec tout parfait et tout (ce qui m’étonnerait, vu ce que je peux m’occuper de ma vie privée en ce moment), je vais serrer les fesses en attendant la cata. Rupture de contrat ? Rupture amoureuse ? Décès ? Accident ? Limite, je vais aller faire du roller pour me casser un bras toute seule comme une grande.

Donc je parlais de ça au gars sur MSN et il me fait une remarque extrêmement judicieuse. Je ne prends pas le problème dans le bon sens. Quand je suis en période de lose, je vois tout en noir et je me demande quelle catastrophe il va encore m’arriver car la lose attire la lose. Donc, réciproquement, le bonheur doit attirer le bonheur. C’est tellement logique en plus. En ce moment, je suis très heureuse de ce qu’il m’arrive niveau professionnel donc je suis épanouie, donc je suis jolie donc je pourrais même trouver une moitié (même si en fait, j’ai pas du tout envie de tomber amoureuse pour le moment). Dans l’autre sens : quand on est amoureuse, on se sent indestructible donc on va se défoncer au boulot et réussir. On sera de bonne humeur et nos amis nous trouveront de bonne compagnie, notre famille nous trouvera bonne mine… Le bonheur attire le bonheur, c’est mathématique.

En plus, encore une bonne nouvelle hier : les résultats sanguins de ma mère sont très bons. Donc on ne sait toujours pas si elle a un lupus ou pas mais il semblerait que la menace s’écarte, même si le médecin lui a expliqué qu’elle avait un terrain favorable. C’est génétique. Et j’ai appris que, du coup, je pouvais l’avoir aussi vu que je souffre aussi d’une allergie au soleil. Me demandez pas le rapport, j’ai rien compris non plus. Mais bon, les nuages se dissipent aussi de ce côté-là.

Donc j’ai tout pour être heureuse en ce moment, alors pourquoi guetter le nuage qui pourrait pointer le bout de son nez ? Forcément, à un moment, il m’arrivera une tuile, comme à tout le monde, c’est inévitable. Mais pour le moment, tout va bien alors pourquoi s’en faire ? Je dois profiter de ma bonne période. Après tout, moi aussi, j’ai droit au bonheur, je dirais même que j’ai pas mal d’atouts dans ma manche pour y arriver. Tout le monde me dit que je suis une fille bien et talentueuse et en plus, paraît que je suis miaou miaou (c’est pas moi qui le dit, hein !). Alors pourquoi faut-il toujours que je doute, que je pense que les choses biens m’arrivent en prémisse d’une grosse claque ?

Allez, on se détend, et on profite. Demain, je joue au loto

44 réflexions sur “Le bonheur n’’est pas une fatalité

  1. Preummssss et en plus j’ai lu avant avant de commenter. Bon effectivement c’est une façon con de voir les choses.. Moi c’est tout l’inverse quand il m’arrive un tuile je suis toujours surpris et je me dis yes il va arrivé un truc trop bien derriere. En galere de stage … Paf je pars a HK, une rupture et et bon c’est pas encore la mais ca va venir je le sens 😉

  2. c’est quoi « le bonheur »..je ne sais toujours pas , je crois simplement qu’il existe plein de petits moment de satisfactions, quelques moment d’harmonie et très peu de grand moment d’exhaltation. On est pas sur terre pour être heureux et cette quête obstinée du bonheur est un leurre…par contre on peut simplement « être bien » gouter l’instant présent, se sentir en mouvement, en accord avec sois même…J’ai trouvé ton billet bizarre car tu me parait une fille mure et censée et celui ci frise la supersition bébête ;-)…..et puis tu n’as même pas 25 ans !!!! et tu cherches une espèce d’impossible perfection dans ta vie quotidienne ….en tout état de cause le bonheur ça ne se trouve pas, ça se construit et tu me semble avoir tout les matériaux pour alors lache un peu ce genre de leitmotiv- cliché « le bonheur attire le bonheur » ou « cela va trop bien , il va y avoir un bug » ..bah oui, c’est logique, les choses ne sont pas figées et il ya des trucs qui marchent et d’autre non et tout cela se succède ..de mon temps on disait « après la pluie le beau temps » et donc après le beau temps, la pluie..et ça n’a rien de mathématique…

    bah dis donc la nina , je t’ai connu moins « passive »…allez, roule jeunesse et stop de te prendre le chou…;-)

  3. Merdouille j’arrive à la bourre 🙁
    J’étais toute excitée de lire cet article qui me concernait et je voulais être la preum’s … je n’y arriverai donc jamais ;-(
    Aller je vais lire je re après 🙂

  4. Je passe mon temps à me demander « c’est quand le bonheur » et quand il arrive jme dit aie aie, les états de grace ça ne dure pas…
    Meme spirale que toi ?
    Mais qui m’a volé mon manuel « comment etre heureux en 10 leçons » 😉

  5. Beebop tu es très terre à terre ^^ Je n’arrive pas à penser comme toi, c’est bien, pas bien je ne sais pas.

    Nina, oui je suis comme toi, bon sauf que je ne cherchais pas ma moitié et que boom il est arrivé (enfin moitié c’est un grand mot, en plus j’aime pas ce mot d’abord ^^).
    J’essaye et vraiment en plus (lol) d’apprécier mon petit bonheur actuel, le temps me confortera dans cette position ou le contraire, mais je me dis qu’il faut simplement en « profiter », profiter de ce que je vis et puis « après » on verra ….. mais j’ai quand même du mal ^^
    Je sais j’uis nulle :-p

  6. Le bonheur attire le bonheur, la loi inverse de celle de murphy, sympa le concept. Pas mal vrai en plus. T’es heureux, disons souriant, tu attires des gens qui sourient à la vie avec qui tu vas vivre des expériences heureuses et patati et patata.
    Sinon, il fait beau aujourd’hui, on va avoir un chouette week end ! Moyen d’écouter du classique pour 3 euros au parc floral (en amoureux :P) ou de faire un plongée au musée (jacques?) Maillol sur les balconnets de Marilyn (ah non, elle est nu en fait :D).

  7. Bonheur:

    1 / Chance: Nina est célibataire. Elle ne connait pas son bonheur (sa chance) !

    2 / Etat de la conscience, pleinement satisfaite (c’est pas gagné…).

    =======

    Cynique : le malheur des uns fait le bonheur des autres .

    Pragmatique : le bonheur est une aptitude (M du Gard).

    Naturel : cet enfant fait le bonheur de ses parents.

    Joyeux : Ah ! mon vieux ami, quel bonheur de se promener ensemble par ce beau temps ! (Proust).

    (Merci au dictionnaire le petit Robert…Vive Alain Rey).

  8. Beebop> Heu…Nina a déjà ses 25 ans, elle en a même 26…Bouhhhhh la vieille ;p

    Nous sommes tous à la recherche du bonheur et je crois que nous nous mettons une pression monstre avec ça! Nous l’attendons tellement que quand il arrive, on a du mal à le croire et nous sommes persuadés que ça ne va pas durer. Est-ce que, le simple fait de penser ça, ne ternis déjà pas notre bonheur? Croire que quelque chose de mauvais va arriver ne nous empêche t’il pas de vivre pleinement l’instant présent? Hé pis, le bonheur ne se définit pas de la même manière pour tout le monde, nous avons tous des exigeances différentes. Ce qui va me faire dire que je suis heureuse et que je peus me contenter de ça ne sera pas la même chose pour toi.
    Je pense que nous nous mettons trop de barrières, que nous sommes trop exigeants avec nous, ce qui nous empêche parfois de profiter réellement de ce qu’on a… Finallement, si je regarde autour de moi, je me rends compte qu’il me manque des choses importantes, que je me pose beaucoup de questions mais que comparé à d’autres, ma vie n’est pas si pourrie que ça!

  9. Heuresement que t’as pas des gènes corses, sinon tu ne dirais même plus que ça va pour ton boulot car une des fondamentales de la mentalité corse est :
    « Il ne faut surtout pas dire que quelque chose va bien, parceque ça porte malheur » 😀

  10. ça m’rappelle des trucs cet article…. Moi c’est terrible je ternis toujours le bonheur pour pas qu’il brille trop de peur de me manger trop quand ça tournera.. quand on me demande si ça va, je dis que ‘on fait aller’ et je trouve toujours quelque chose a redire mais bon je crois que je suis un peu ronchon comme gars en fait. (en fait c’est pire que ça , je suis en constante opposition avec l’atmosphére générale)

  11. Nina : Oui sauf que j’aurais pu recopier correctement celle de Proust

    (Ah ! mon vieil ami, quel bonheur de se promener ensemble par ce beau temps! … C’est tout simple mais l’amitié, l’absence de souci majeur, la nature et voila mine de rien une définition complète !)

    Il n’y a pas de fatalité du bonheur. Il y a la fatalité (et c’est bien le problème…) et par ailleurs le bonheur dont finalement on se fout royalement quand on est plus malheureux c’est à dire satisfait.

    Le vrai enjeu, c’est la fatalité…La chance…la malchance…le destin…Etre né pour être heureux ou malheureux ? Et surtout la capacité éventuelle à changer son destin…Il parait que c’est possible…

    Moi je pense qu’il faut surtout être en accord avec son destin. Là réside le bonheur. Se connaitre et ne pas se mentir.

  12. TOCK : Oui, le bonheur, c’est simple comme une balade en forêt.

    C’est vrai que finalement, le bonheur, on y pense quand ça va pas et qu’on aimerait améliorer les choses. Quand tout va bien, on savoure, c’est tout.

    Par contre, le destin… Moi, je suis confiante pour l’avenir, je sais que je serai heureuse mais y a des jours où on a du mal à voir le bout du tunnel…

  13. Nina -> Je monte aussi très très haut alors quand je m’écroule c’est comme une m …

    « …je vais serrer les fesses en attendant la cata. » :
    J’ai une rage de dents alors c’est peut être ça mon malheur dans mon bonheur ? Si c’est ça j’assumeeeeee (heureusement que dans 1h je vais chez mon dentiste).

  14. Pourquoi cette confiance en toi ?
    pourquoi cette difficulté à sortir du tunnel ?
    Il y a forcémment des raisons.

    D’une part on est déterminé, totalement. Né pour être heureux..malheureux…riche … pauvre…

    Après on peut essayer de se battre…parfois contre des moulins à vents…chercher LE mec, par exemple…

    Et puis, souvent quand ca marche pas, on commence par se poser des questions sur soi. Sur ce qu’on est réellement.

    Et des lors qu’on a compris, on se calme et on accepte. Tout.

    On ne perd plus sont temps et son énergie à changer/chercher/modifier les choses. On agit en fonction de ce qu’on est, de soi.
    C’est extrêmement confortable. Un bonheur !

    Mais tout l’enjeu est de ne pas se tromper sur soi… Sinon, on s’oppose à son destin et on crée son malheur.

    J’ai longtemps cherché un idéal féminin…Je viens de comprendre que cet idéal là avait toute les qualités pour me rendre malheureux à vie.
    Ca fait un choc. Faut tout reprendre à zéro…

  15. Hey Nina, je sais que j’ai déjà laissé un comm pour cet article mais ct juste pour te prévenir (ainsi que les autres vingtenaires) que j’avais mis votre blog dans mes favoris sur le mien.
    J’espère que vous etes ok pour le lien que j’ai mis qui envoie vers votre blog.

  16. Je visite souvent le blog, et je me régale de vos histoires (non, ce n’est pas du voyeurisme, car comme le disait le grand Desproges : « et un voyeur qui regarde un exhibitioniste, c’est petit … »).

    Je me lance donc pour un premier post.

    Juste une piste de lecture pour l’idée d’équilibre entre la chance et la malchance : « la dimension des miracles » de R.Sheckley, de plus c’est loufoque, un bon moment et un grand sourire garanti (j’espère).

    Au fil de ton commentaire je lis que tu souffres d’une allergie au soleil, et ailleurs que les nuages se dissipent, un peit conseil, fait attention …

    Et une blague minable, une.

  17. Ou que voila une citation de Desproges qui tombe pil poil…

    C’est intéressant ce livre ? tu peux pas nous en parler pour qu’on ai pas à le lire… c’est mon style de parler d’un bouquin que j’ai pas lu…(j’ai pas lu la moitié de ma bibli je pense…).

    Pfff s’il fallait tout lire…

    Pis comme c’est un auteur inconnu, on peut frimer pas mal…

    (N’y a t il pas beaucoup de « … » dans ce com ? Je des doutes…).

  18. attends! ce soir il y a l’euromillion! ca fait tout de suite plus de pepette qu’un banal loto!! vu ta chance « insolente » (je plaisante) tu devrais aller jouer!;)

    Moi je dois attendre jusqu’au 12 aout pour savoir si tout me reussi alors, euhhhhhhhhhh joues à ma place?!! 😉

  19. Je ne crois pas à l’équilibre entre bonheur et malheur. Le Yin et le Yang c’est un joli logo, mais ça revient à penser qu’il y a un grand barbu le cul dans les nuages qui veille au merveilleux équilibre de ce monde. Ou un de ses potes, c’est pas le sujet…

    Je mets de côté tout l’aspect religieux, traditionnel et culturel pour finalement me dire qu’une fois ces notions mises à part je ne vois aucune raison de penser qu’il puisse exister une sorte d’équilibre ou de justice.

    J’ai un ami beau comme un dieu et adorable qui est célibataire depuis une éternité, mon ex roucoule avec le presque quadra avec lequel elle est s’est tirée alors que j’ai mis plus d’un an à m’en remettre, des blaireaux sans esprit ni culture gagnent deux fois mon salaire, des pères de famille travailleurs se font dégager de l’usine après 20 ans parce qu’un Chinois coûte moins cher, etc…

    Certains cumulent les emmerdes, d’autres croulent sous les coups de pouce du destin, et ce sans égard pour le fait qu’ils soient ou non des gens bien. La vie est injuste, et contrairement à l’adage on a pas toujours ce que l’on mérite. Alors comme tu le dis, profitons ! Pour demain , on verra ça demain ^^

    PS : Ouh pinaise j’ai été bien inspiré de préparer un éventuel copier/coller suite à mon com fleuve, moi. Ca m’a sauvé…

  20. j’aime beaucoup cet article plein d’espoir, bon mais moi c’est pluôt l apériode tout en noir là, pas d’objectif pro, pas de vie amoureuse. et c’est vrai que dans ces cas là on est pas épanouie du tout et donc on attire rien de positif. mais c’est un peu le cercle vicieux comment s’épanouir si on a rien pour nous le permettre ?
    et par contre c’est tout à fait vrai que quand on est apanoui dans un domaine tout de suite tout va mieux.

  21. Je pense avoir une théorie qui explique pourquoi tes mecs se barrent quand t’as du boulot: tu as trop de boulot tu te laisses pousser les poils car pas l’temps d’penser au gillette et du coup ninayéti ca l’fait pas donc tchao!

  22. mais pourquoi personne ne dit que le bonheur, c`est un état d`esprit !
    …pas de situations parfaites…ca existe pas. Mais, celui qui aime ses problèmes jouit d`une santé morale bien supérieure a la notre !
    NE CHOISIT-ON PAS d`être heureux ?

    le malheur est une hypocrisie si ce n`est pas temporaire.

    PS: Nina, le jour ou tu voudras vraiment d`une relation stable, un mec t`aura déja contacté pour t`inviter quelque part 😉

  23. Oulà Nina, j’avais lu dans ton dernier com « Oui enfin mon dernier mec, ça a duré 15jours DANS les poils, ça n’explique pas tout »
    Je pense qu’il faut que j’aille reposer mes yeux :-p
    Bisous

  24. Tu as oublié de préciser qu’en plus de modeste tu étais fière de l’être et décidée à le rester . (à rester modeste bien sur, sinon ce ne serait plus de la fierté mais de l’orgueil, et ça dénoterait sur ton cv)
    Eh oui ! à chacun son karma. 🙂

  25. Aie! Mal au crane ce matin… Avis à la populace: les vingtenaires ont eu une vie éthylique trés poussée hier soir… ça va ramer aujourd’hui…

  26. Bon hé bien tu ne change pas, magnifique, profite bien de tout c’est marrant de voir un nana qui étale sa vie comme ça, jusqu’au compte en banque et ses petits vices. Je te dis ça en guise de concluision provisoire. Ouais parce que je ne passerai pas pendant plus d’une semaine. Eh tant mieux : internet loin d coeur, bonheur est de rigueur. Je vais vivre quelques expériences télépathiques avec un sage dans le s*Sud. Ouais je gorssis le truc mais il y a tout de même de choses bizarre là où je vaus et c’est pour ça que j’y vais.

    Ravie de t’avoir « entrevue »

    Anthony

    http://www.paris8philo.com

    Grrrr dire qu’on était 83e avec le site mais que ca va dégringoler.

  27. Humhum…

    Je vais faire un lien super facile (qui a peut-être été déja fait, mais j’avoue que j’ai lu les comm’s en transversal, alors si tel est le cas, ne m’en veuillez pas !) mais je trouve que ce sujet est à rapprocher d’un précédent sujet concernant un certain MUR…

    Quand il est là, on fonce dessus avec conviction tout en sachant qu’on va se rétamer, et quand il n’est pas là, on l’attend et on le recherche « désespérément », au point d’en gâcher son bonheur !
    dans le premier cas, le carnage est certain et dans le second cas, il est hypothétique mais toujours bien présent !

    La maçonnerie, c’est vraiment un métier d’avenir chez les vingtenaires ! Alors tous à vos briques !

  28. prochain bonheur, prochain malheur ..;c’est sur qu’ils alternent (et pour la plus part ca n’a rien à voir avec le mériter ou pas, avoir travailler dur pour ou pas, c’est juste la vie ! ) mais la question est de savoir sur quoi tu passes du temps. Si tu penses au prochain malheur tu y donnes de l’importance. Plus t’y penses plus il prendra d’importance. La seule chose à faire une fois qu’il est là c’est de passer vite à autre chose …. au prochain bonheur (meme un tout p’tit). et inversement de pas penser au pt’i’ malheur avant qu’il n’arrive. Du coup tu gagnes du temps de bonheur. Comme en voiture, en général tu commences à accélérer un peu avant le panneau de fin de lim de vitesse, et tu ralenti un peu après ….

  29. bienvenue au club de celles qui se demandent si le bonheur est a porté de main ou si il ressemble aux papillons, à s’envoler dés qu’on le touche… si il ne s’envole pas, est il réel et peut on lui faire confiance ou alors s’agit il d’une pale copie de ce qu’on appelle la plénitude amoureuse??
    question sur laquelle je me penche depuis un bon moment et surtout intensément depuis quelques mois…
    suite au prochain épisode!
    bizz
    celine (palmito)

  30. Allez 122 articles à lire!! Courage mdr

    En lisant cet article j’ai halluciné!! Sur plusieurs points j’ai l’impression de lire ma vie lol Aurais-tu mis une caméra pour épier mes moindres pensées, mouvements pour ensuite t’en resservir pour ce blog ? =/ lol

  31. Je ne vais pas tout lire!! Je parcours les pages et quand j’accroche sur un titre accrocheur, je lis…

    Ah le titre…Mais c’est bien vrai ce qu’on nous a appris en école de journalisme alors!! Il doit être accrocheur car c’est en partie ce qui donne envie au lecteur de lire ^^

    Une pièce secrète ? Des écrans ? C’est la star ac chez toi ? Tu filmes 24h/24!! Allez tu me chantes une chanson ?

    Et dis moi!! A la star ac quand ils veulent faire des pirouettes à l’abri des regards, toi qui a le même matériel tu fais comment!! Euh ils font comment ? mdr

  32. Depuis que tu as chanté le temps s’est gâté! Il pleut même!! Tu as intérêt à ce que le soleil revienne et la pluie cesse d’ici 40 minutes (je ne veux pas finir mouiller – c’est pas à moi de mouiller mdr – quand je rentre hihi)
    Puis d’ici quelques années la presse n’existera plus selon certaines personnes (2040) au profit du web 🙁 Mais moi je les aiment bien mes journaux, je ne veux pas qu’ils disparaissent!! Je vais travailler pour qui ? sniff (viens on monte le FLJ -Front de Liberation des Journaux hihi)
    Remarque les titres de la presse feminine ça peut être pas mal!! T imagine :
    Arlette Laguiller jeune et jolie, le monde, écrit pas Nina 😀

  33. Je comprends plus rien!! Tu es sur Paris ? Toulouse ? Ailleurs dans le sud!! En lisant je m’en étais arrêté à Toulousaine (qui garde son accent) venue sur Paris et actuellement en stage sur Paris!! Je fais mon blond (je n’ai rien contre les blondes…au cas ou tu le serai j’en sais rien mdr)

    C’est ça de lire un blog avec un an de retard mdr

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