Quand t’es dans le désert

Déjà de retour d’Egypte, une semaine passée dans un souffle. C’est fou ce que le temps passe vite quand on s’amuse. Petite remise en contexte : samedi dernier, j’ai calé mes fesses sur le siège dur d’un vol charter, direction Marsa Alam en Égypte. Je partais avec mon club de plongée, celui où je ne connais à peu près personne. Mais j’ai pris de quoi lire, tout va bien. Après un vol de 5h30 sans histoire (je n’ai vraiment plus du tout peur de l’avion, j’aimerais comprendre comment m’est passé cette phobie, ça pourrait m’être utile), nous voici en Égypte, … Continuer de lire Quand t’es dans le désert

Nina face à sa peur

Je disais donc, j’ai pris l’avion, 16h en une semaine et l’avion, c’est pas mon copain. Pourtant, cette fois-ci, je n’ai pas fait de cauchemar de crash d’avions alors que quand j’étais partie en Suède (via Paris et Amsterdam, 3 décollages et 3 atterrissages), toutes les nuits, je rêvais que j’étais dans un avion qui se crashait. Fatigant. Là, rien. Bon, intéressant. Jour J, me voici à l’aéroport, je suis un peu nerveuse, 9h, c’est trop le bout du monde. Mais bon, je ne peux plus reculer. J’embarque avec Alice et Anthony (mes parents sont quelques rangs devant et n’ont pas été appelés … Continuer de lire Nina face à sa peur

La terreur de la maternité

Dans la vie, j’ai des phobies, comme tout le monde. J’ai peur de l’avion, des serpents, de finir seule et aigrie comme ma grand-mère paternelle (parce que curieusement, plus t’es aigrie, plus t’es méchante et plus t’es seule), de la mort des gens que j’aime… et de la maternité. Ouais, avoir un bébé, ça me fout la trouille et grave. Première trouille : le déni de grossesse. Etre enceinte sans m’en rendre compte et arriver un jour à l’hôpital avec de supers crampes au bide « Aaaaaaaah, je crois que j’ai l’appendicite ! – Non, mademoiselle, vous êtes en train d’accoucher. – Mais, … Continuer de lire La terreur de la maternité

Le bonheur n’’est pas une fatalité

Y a des fois où je m’exaspère toute seule. Pourquoi ? Tout simplement parce que je me rends compte que j’ai une phobie du bonheur. Ca peut paraître curieux dis comme ça mais je vais vous expliquer.   Mois de mai. Le soleil revient dans ma vie : en plus d’avoir trouvé du boulot, je me trouve un compagnon charmant et le tout sans avoir cherché (enfin le boulot, si, quand même, mais j’avais pas postulé chez eux). Donc forcément, ça va couiller dans le potage. En plus, j’ai à peine fini mon contrat que paf, on me propose un stage et … Continuer de lire Le bonheur n’’est pas une fatalité