La Bretagne, l’’autre pays de la brouette

Vendredi, 8h30, je bondis de mon lit. Les gens qui me connaissent applaudiront l’effort surhumain : moi, me lever si tôt en période de chômage, ouah ! Hop ! hop ! Valise faite ! Hop ! hop ! revue de presse imprimée pour bosser dans le train. Hop ! hop ! Croquettes et pâtés achetés pour Kenya. Je m’en vais !
brouette bretonne
 
Valise à la main, sandwich dans l’autre, je cours, je bondis dans mon TGV direction : la Bretagne ! Bon, il semblerait que j’ai couché sans le savoir avec le responsable du placement dans les trains : je n’ai personne à mes côtés durant les 3h et quelques que dure le trajet. Première heure, je me plonge avec délice dans la lecture de mon roman : « Le diable s’habille en Prada » (ça mérite un article du dimanche tellement ce roman est jouissif). Deuxième heure, je dors (je vous rappelle qu’il n’y a personne à côté de moi donc je m’étale). Troisième heure : re-lecture, entrecoupée de regards fréquents par la fenêtre : elle est où la mer ? Et bien le train passe trop à l’intérieur des terres pour la voir, bouh ! Evidemment à peine partie, le téléphone sonne : Alice, ma sœur. Comme je suis un peu tordue, j’ai omis de dire à ma famille que je partais en Bretagne ce week-end… Et, évidemment, elle veut à tout prix me voir ce week-end ! Donc je lui sors une histoire débile de week-end chez une copine dans les Yvelines…
 
Loin de la métropole
Arrivée dans une première gare, je saute dans une vieille micheline bien plus âgée que moi pour rejoindre Guillaume. Vingt minutes plus tard, on arrive au terminus et je le vois sur le quai de la gare. Après les embrassades de rigueur, nous fonçons à sa voiture pour… une petite balade (ceux qui ont pensé de suite à la brouette, vous n’êtes qu’une bande de pervers !). Il me montre un peu le coin et je vois enfin la mer (à marée basse, certes, mais quand même). Il faut savoir que j’ai une sainte adoration pour la Bretagne, là où mon grand-père maternel que je n’ai jamais connu est né. Bon, c’était pas dans ce coin-là mais faisons fi des détails. J’y avais passé des vacances magiques, adolescente, j’étais tombée folle amoureuse de ce pays aux falaises majestueuses. Plus tard, j’ai postulé pour un IUT tout proche de chez Guillaume (je ne le connaissais pas du tout, à l’époque) mais j’étais trop âgée, refusée. J’ai eu l’occasion de passer devant les bâtiments de l’IUT en question et…euh… j’ai très peu de regrets, finalement.
 
Il y a le ciel, le soleil et la mer, tout pour un week-end réussi. On se tient gentiment la main avec Guillaume, il me montre pas mal de choses, je suis aux anges. C’est beau la Bretagne, l’herbe est super verte, les maisons sont toutes jolies, avec leur toit en ardoise. Comme je me sens bien dans ce pays qui n’est pas le mien ! Bon, on arrive finalement chez lui, c’est une jolie ferme rénovée qui comporte trois appartements : le sien, un où vit une infirmière et le troisième, vide. Le problème, c’est qu’on entend tout ce qu’il se passe d’un appart à l’autre alors les brouettes risquent d’être compromises si l’infirmière reste là… Bref, je m’installe, bisous, bisous, le voilà qui repart travailler (oui, il avait pris une pause rien que pour venir me chercher). Du coup, je vais fumer dehors et là arrive un chien qui fonce vers moi en aboyant et qui grimpe les escaliers quatre à quatre. Il faut savoir que les chiens, c’est comme les enfants : je ne suis pas habituée. Sauf que les enfants, personne ne les a dressé pour être méchants alors que les chiens, on ne sait jamais… Mais non, celui-là est sympa, il me fait la fête. Bon, j’avoue, il n’était pas très effrayant : il était assez petit et pas bien plus jeune que moi. Puis quand je fais mine de rentrer dans l’appartement, il repart sans demander son reste.
 
Guillaume rentre enfin du boulot et nous fêtons dignement nos retrouvailles. Pour fêter ma présence, il m’emmène dans LE resto classe du coin, un manoir trois étoiles. Ambiance feutrée, le maître d’hôtel est tout sourire (et se brosse les dents avec Colgate, ça brille). A côté de nous, un couple d’un certain âge avec…un chien ! Youpi. Bon, on s’installe, petit apéritif et je sens une douce caresse contre mon pied. Oh, c’est trop mignon, Guillaume me fait du pied ! Ah, non, raté, c’est le chien de la table voisine ! Celui-ci, qui répond au doux nom de Kenny (si, chéri, je te jure que c’était ça !), est rapatrié sous la table de sa propriétaire mais non, il revient ! Du coup, sa maîtresse nous dit en souriant : « Il se met là  parce qu’il y a tellement d’amour entre vous ! ». Heu…
 
Bon, le couple s’en va, tout le monde s’en va, en fait, je me retourne de temps en temps regarder la lune se refléter dans la mer et découvrir petit à petit des rochers qui forment une petite crique au pied de l’hôtel. C’est magnifique, je suis aux anges. Les plats défilent à une vitesse hallucinante : nous sommes les derniers, je suppose que les cuistots n’avaient pas envie de passer la nuit à attendre que nous ayons fini. Au moment du dessert, le maître d’hôtel nous demande si nous sommes de la région, Guillaume lui répond qu’il vient de s’installer, j’indique que je suis une Toulousaine exilée à Paris. Du coup, le monsieur s’extasie (il faut avouer que, très aimable, ce monsieur fut extatique toute la soirée) : « Oh ! Et vous attendez qu’il soit installé pour le rejoindre ? » Heu… C’est pas trop ce qui est prévu mais c’est gentil de poser la question ! Retour à l’appartement, la voisine n’est pas là : hmmmmm ! Comme il fait froid, on se réchauffe.
 
Week-end chargé…
Le lendemain, programme chargé : courses, journée au forum « je-sais-plus-quoi » où y a une piscine, hammam, sauna… puis à 18 heures, rendez-vous dans un bar avec certains de ses amis. Bon, comme d’habitude, on traîne au lit : on ne se lève pas très tôt, on câline, on déjeune, on câline, on câline… Bon, il est trop tard pour aller au forum, il faut aller se doucher là, on va être en retard au rendez-vous… Du coup, comme on aime être en avance, on se re-câline un petit coup et hop, sous la douche ! Forcément, nous arrivons au café où nous avions rendez-vous avec une petite heure de retard… Hum ! Il y a une jolie blonde et deux garçons aux cheveux plus ou moins longs qui jouent dans un groupe où joue Guillaume. Ouais parce que Guillaume est musicien (et hop, un fantasme de plus réalisé !). Il m’a joué de la guitare et m’a interprété sa chanson que j’aime beaucoup c’est un futur tube (comme ça, s’il devient célèbre, ça fera un fantasme réalisé de plus : avoir partagé la couche d’une rock star). On discute, la demoiselle blonde est très sympathique, elle me demande un peu qui je suis, s’intéresse à ma vie et m’explique où nous allons nous rendre. Après avoir avalé un « Breizh cola » (c’est pas mauvais !), nous voici de retour dans la voiture, direction un bled dont j’ai oublié le nom mais c’est pas grave. Une heure de voiture plus tard pendant laquelle on se tripote indécemment les mains (oui, il conduisait). On arrive chez une gentille femme qui nous accueille dans sa demeure, on mange, on boit, on parle, charmante soirée. Mais on ne tarde pas trop, Guillaume est fatigué. Une heure de route plus tard, nous voici couchés l’un contre l’autre… Puis je sens quelque chose de dur poindre dans mon dos. Bien qu’il soit fatigué, le jeune homme a encore de la ressource.
 
Du coup, le lendemain, on voulait se lever tôt pour profiter de la journée et aller se promener sur une île voisine. Mais comme d’habitude, on traîne au lit. Finalement, on finit par se lever et après un bon petit déjeuner, on file à la plage. En chemin, je vois des brouettes partout : les Bretons, ils aiment ça ! Arrivée sur la côte : là, je suis comme une gamine, je marche sur le sable, j’ai envie d’enlever mes chaussures mais il fait trop froid, tant pis. On marche, je regarde discrètement les coquillages incrustés dans le sable en respirant à fond l’air empli d’iode. Je fantasme sur les maisons accrochées sur la falaise, expliquant à Guillaume que si j’avais des sous, j’aurais une maison, là, où j’écrirais mes romans, je marcherais tous les jours une demi-heure en bord de mer après le repas pour digérer et faire fonctionner à fond mon imagination. Il y a un psychanalyste qui a dit qu’on avait chacun notre élément de prédilection. Pour Descartes, c’était le feu, pour moi, c’est l’eau, définitivement. On s’embrasse devant l’immensité aquatique puis on se promène un peu main dans la main avant de retourner à la voiture. Une nouvelle mission nous attend : rejoindre une autre plage pour se poser à un café et voir le soleil se coucher. Boire un chocolat chaud devant un ciel rougeoyant se reflétant sur la mer, c’est quand même un moment franchement agréable. Une fois le soleil couché, on lève le camp : ce n’est pas qu’il fait froid mais si. Soirée calme, dimanche : la voisine est rentrée, on mange tranquillement puis on regarde le DVD d’Axelle Laffont qu’il m’a offert. Je rigole comme une bossue, la voisine doit m’adorer !
 
Une chômeuse en Bretagne
Le lundi, le jeune homme travaille donc je paresse au lit, écoutant malgré moi les bruits de la voisine (la voisine aux toilettes, la voisine téléphone, la voisine fait fonctionner le micro-ondes, hum !). Je profite du calme pour lire ma revue de presse en vue d’articles pour un webzine puis Guillaume rentre, on déjeune tranquillement puis après un chaste câlin de digestion, il repart au boulot. Je finis mon boulot, petite douche, délires sur les blogs puis Guillaume revient. Comme sa voisine n’est pas là… Puis il me joue de la guitare, quelques notes d’un morceau qu’il a composé pour moi. Alors, là, je dois avouer que je suis super flattée : on ne m’avait jamais encore écrit de chanson puis elle sonne bien. Moi qui rêvais d’être muse, me voilà exaucée ! Du coup, j’ai bien envie de le remercier mais souci : la voisine est-elle rentrée ou pas ? Alors, là, nouveau challenge : essayons de faire l’amour en silence. Ce n’est pas, mais alors pas du tout, ma spécialité, ça, mais testons. On commence, je tiens bien le coup et là, on entend la voisine qui rentre. Il faut savoir que quand elle ouvre et ferme sa porte, ça fait vibrer la nôtre, genre : « elle s’est trompée d’appart, elle rentre chez nous ». Et bien, de la savoir à deux mètres de là, pouvant entendre nos ébats, mine de rien, c’est excitant. Il n’empêche que je tiens à dire que j’ai été silencieuse jusqu’au bout (et ce n’étais pas facile) mais ça m’a épuisée comme si j’avais brouetté trois heures non stop. Il n’empêche que, du coup, ça réveille toutes les questions que j’avais sur les cris de jouissance.
 
Hélas, les bonnes choses ont une fin, je dois rentrer. Curieusement, j’ai pris mon billet pour un train maintenu par la SNCF, ma lose serait-elle passée ? Je rentre pleine d’entrain dans mon appartement et je découvre que : France Telecom a re-suspendu ma ligne mais n’a pas oublié de m’envoyer sa facture. Ma chaudière menace d’exploser dès qu’elle se met en route, j’ai l’impression qu’un caillou est coincé dans le tuyau et ça racle, hmmmm ! A peine arrivée sur la capitale, ma sœur m’appelle pour les cadeaux de Noël. Ce soir, j’appelle ma mère (elle m’avait appelée hier soir pour râler car je ne l’avais pas fait…) et lui raconte mes malheurs et elle me dit : « Oui, j’ai essayé de t’appeler sur ton fixe, hier, t’as pas répondu ». Bon, très bien, ma mère sait que je n’étais pas chez moi ce week-end, elle ne m’appelle JAMAIS sur mon fixe. Ah ben elle qui me trouvait « étrangère » ces derniers temps, voilà que j’ai bien arrangé mon dossier.
 

53 réflexions sur “La Bretagne, l’’autre pays de la brouette

  1. vous me croyez si je vous dis que je réserve le même accueil à tous mes invités. 😉

    Ewan alias Obiwan alias Guillaume alias .. (merde je sais pu comment j’m’appelle)

  2. A lire tes feuillets, je ne peux m’empecher de sourire…Aujourd’hui, je suis off, j’en profite pour trainer sur ce qui fait dans le blog-world…je commente ici encore…Je confirme, la Bretagne est belle, le(la) breton(ne) aussi…Cependant, hum, hum, quelque soit l’endroit ou tu te trouves, la deprime elle te suit (ouah, philosophie a la mord moi le noeud mais bon…)

  3. Un petit WE magique plein de bonheur 🙂

    /me Wish it could happen to me again, sure it will!

    Question paysages la Bretagne est très belle, mais ayant la chance de vivre près de l’écosse j’en profite plus qu’il n’en faut et c’est encore plus sauvage et magnifique. Je crois que peu de pays au monde peuvent se targuer d’avoir un si beau country side.

    A méditer 🙂

  4. Que te dire à part que tu as magnifiquement raconté ton week-end 😉
    Tu as révélé en moi le besoin d’y retourner.
    Je peux loué le musicien? lol 😉

  5. Breizh Cola, le Cola du Phare Ouest !
    Bordel, j’veux revenir au pays des chapeaux ronds… et des mecs ronds comme des queue de pelle… sisi, ça fait partie du paysage local ! :p

  6. Question existentielle: Si la bretagne est si belle, comment ça se fait qu’il y ait autant de bretons collés devant leurs PC toute la journée à poster des com’? C’est beau, hein… mais c’est chiant, avouez! 😉

  7. « Donc je lui sors une histoire débile de week-end chez une copine dans les Yvelines » : pourquoi pas une copine en Bretagne? 🙂 Tant qu’à inventer les « mensonges » autant les faires coller le plus possible à la réalité, non?

    « une vieille micheline bien plus âgée que moi » : elles le sont toutes. L’avantage de la micheline, tu peux aller en première classe sans être embêté par le controleur. 🙂

    « Guillaume me fait du pied ! Ah, non, raté, c’est le chien » : 🙂

    « Après avoir avalé un « Breizh cola » (c’est pas mauvais !) » : c’est meilleur que le coca, il a un p’tit gout de caramel et il est aggresif que l’autre, pour l’estomac.

    « journée au forum » : ce serait marrant si c’était celui près de chez moi. Mais je ne pense pas, ici, il n’y a pas qu’une île.

    « le jeune homme a encore de la ressource » : faut battre le fer quand il est chaud. 🙂

    « j’ai envie d’enlever mes chaussures mais il fait trop froid » : tu aurais dû, c’est très bon pour la circulation sanguine, encore mieux, marcher dans l’eau, en plus dimanche midi elle était bonne. 🙂 Jusqu’aux genoux c’est facile, au dessus c’est plus dur. 🙂

    « j’aurais une maison, là, où j’écrirais mes romans » : tiens donc, je croyais que tu étais une citadine faite pour Paris! J’aimerais bien aussi une maison vu sur mer, mais le prix des barraques a explosé ces trois dernières années. Et les prix ne sont pas prêt de descendre vu que la génération de nos parents qui sont sur Paris veulent, pour la plupart, achéter en bords de mer pour passer leurs retraites.

    « quand elle ouvre et ferme sa porte, ça fait vibrer la nôtre » : j’ai ce problème là aussi. GGGRRR.

    Tink > « Breizh Cola, le Cola du Phare Ouest » : ils l’ont bien trouvé leur jeu de mot. 🙂
    « Bordel, j’veux revenir au pays des chapeaux ronds » : qu’es qui t’en empêches?
    « des mecs ronds comme des queue de pelle » : pourquoi, il y a en d’autre?! 😉

  8. Mr Big > « C’est beau, hein… mais c’est chiant, avouez! 😉 » : arrêtes de dire des bétisses. 🙂 Fais attention, la capitale en est pleins … de bretons, cela va limiter ton champs de recherche ce WE. 🙂 Et puis, on peut concillier les deux sans problème, regardes, moi, je poste des com en journée pendant le boulot, je vais à la plage après le boulot marcher un peu, je reviens chez moi, parcequ’il fait nuit, donc je reposte qq com. ;P

  9. Nina >  » En chemin, je vois des brouettes partout » : ah, ben non, ce n’est pas ici alors. Chez moi les brouettes sont trop petite, donc on prends la remorque (et un tracteur). A prendre au degrè qu’on veut. ;P

  10. Bon les enfants kéya?
    l’est pas bien son article à nina, pour que tout le monde fasse des commentaires des postes précédents.

    Bonne journée à tous

  11. Je suis tombé amoureux de la Bretagne avant meme ta naissance, et j’approuve ton attachement fulgurant pour cette région!!
    sinon, tu serais pas en train de tomber amoureuse d’un breton? parce que cet article sent le rose bonbon à plein nez.. malgré une odeur d’iode!!
    😉
    et pour ton chauffe eau, c’est au proprio de payer, il n’a pas le droit de refuser… il peut juste faire trainer les choses!! appelle le vite, car je crois que le temps va continuer de se rafraichir!!!

  12. suis même pas breton moi d’abord mais j’y vis et j’y travaille et je m’y sens très bien.^^

    (notez qu’il y a 5 « y » dans ce commentaire)

  13. je vais pas te faire ce plaisir de te bourrer l’article de comm juste pour le fun

    notez que ce comm n’a rien de sexuel malgé la présence de « plaisir » et « bourrer » 😉

  14. non je boycote ce serait faire trop d’honneur à mon rival 😉

    on voit bien qu’il est déçu d’ailleur :
    « l’est pas bien son article à nina, pour que tout le monde fasse des commentaires des postes précédents. »

  15. Coucou !

    C’est trop mimi ton article, je retrouve un peu de la fraicheur des premiers articles, j’adore !

    par contre, j’ai décidé de faire mon salaud, alors voilà… je vais de ce pas REVELER A TOUS L’IDENTITE DE GUILLAUME ! AH AH AAAAAH JE SUIS MALEFIQUE MOI !!

    EN VRAI IL S’AGIT DE NICO DE BREIZH !

    Ouais, je sais, je suis un vrai salaud !

    Thom…^^

  16. Ravie que la région te plaise!!
    Si ça peut te consoler sache que ces grandes maisons sur la côte côutent une fortune à entretenir, que vu qu’elles ont de belles grandes baies vitrée vers la mer DONC plein nord elles sont impossible à chauffer, que pour les moindre travaux (genre réparer le toit, mettre une picine, mettre des double vitrages, changer le papier peint des WC,…) il faut une autorisation du conseil régionnal ET des batiments de France,…,… Ça devient vite lassant!
    On a vendu la notre!!

  17. Bravo pour le site et les comms qui sont légion!
    Je suis breton et j’ai lu avec attention…
    Yome le 49 en bretagne, fais donc un peu attention!
    En tout Nina, je reviendrai lire ton blog que tu écris avec passion
    car c’est très bien fait, j’espères que tu trouveras du travail
    assez rapidement car la déprime ça fait mal : Aîe, aïe, aïe!
    Bon finissons-en : Bravissimo, viens chez les bretons
    On s’emmerde pas, c’est juste qu’aujourd’hui j’avoue qu’il pleuviote…ça arrive….
    Pour les brouettes, en effet y en a beaucoup en décoration
    Mais, faut aller dans l’arrière pays et là c’est plutôt : Bossons!
    BYE

  18. J’ai jamais dit que le 49 était en bretagne (ils savent pas lire les bretons où quoi ??? ) j’ai juste dit que du 49 où je me refugis souvent, la bretagne n’est pas loin pour y partir en we.

    « Mieux vaut mourrir qu’etre souillé »

  19. Hello!! vive la bretagne!!!! Le breizh cola est le meilleur cola du monde et la bretagne un endroit merveilleux!! Mais où étais tu exactement dans le finistere Nina?

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