Mais où trouver l’homme pour de vrai ?

 En cette morne matinée, j’aurais pu vous parler du fait que mon train avait encore eu du retard hier (40 mn car un train en sens inverse a dégommé un sanglier. Con de sanglier), du fait que j’ai repris le travail et que je crois que je vais être toute seule au bureau aujourd’hui. Mais non, j’ai pas très envie de chouiner donc on va parler de rencontres amoureuses, ouééééé !


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Y a plus d’un an, j’ai débuté où trouver l’homme, une série qui m’a amusée mais que j’ai fini par laisser filer. Du coup, aujourd’hui, j’ai des milliards d’idées sur la question mais j’ai un peu perdu la flamme. Puis je me suis trop éloignée de mon objectif de départ, je crois. Bref, faudrait tout reprendre de zéro mais ici, ce ne serait plus tellement le lieu. Peut-être créer un blog dédié ou un livre en auto édition ? J’en sais rien, faudrait déjà que j’ai le temps. On verra.


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Il n’empêche que la question se pose avec de plus en plus d’acuité. Parce que ce n’est pas si simple, surtout si on bosse. Prenons ma vie type : je me lève, je me prépare, je pars au boulot, j’y passe 9-10h, je repars, je vais ou non au sport, maison, dodo. Parfois, je sors avec mes amis soit dans des bars de type lounge soit chez eux. Alors ok, il paraît que la salle de gym est un super lieu de drague (ou la piscine) mais je l’ai déjà dit dans les où trouver l’homme justement, je n’y crois guère. D’abord parce que je suis là pour faire du
sport et j’ai tendance à faire mon autiste dans ces cas là. Je ne parle pas en nageant ou en ramant ou en torturant mon corps dans des cours d’abdos fessiers, hautement féminins au passage. Tout n’est question que de contexte et en salle de sport, je ne suis pas dans le contexte.

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En fait, c’est le cœur du problème, je ne suis jamais en conditions idéales. Par exemple, la drague au boulot. Non mais vous croyez que c’est le lieu. Bon, déjà, dans ma boîte actuelle, on n’est que 11 et tous dans la même pièce donc mise en situation : imaginons que je chope le seul célibataire de l’open space, je vais l’avoir sous le nez toute la journée. Bon ben pardon mais c’est juste impossible. Je ne suis pas une fusionnelle, j’ai besoin de mon espace et vivre avec un mec que j’ai sous le nez toute la journée, non, je ne peux pas. Non mais c’est vrai, comment se créer une intimité dans de telles conditions ? Je ne vois pas. Et dans le métro ? Non, je ne suis pas dans le trip surtout que le mec peut être tout à fait charmant à l’œil mais profondément crétin, comment savoir ? Accepter un verre avec un mec avec qui on n’a rien en commun, y a des expériences plus sympa. Quant au bar, si j’y vais avec mes amis, c’est pour passer la soirée avec eux. Point.

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Alors reste la drague sur le net, idéale pour les travailleurs et travailleuses. Oui, quand on est étudiant, on se dit que c’est un truc de désespérés puis on se rend compte que quand on est la tête dans le guidon de 9h30 à 20h, ça laisse de suite vachement moins d’opportunités de rencontre. Sauf que perso, j’en ai ras le bol des sites de rencontre, véritables nids à connards qui ont trouvé moyen de baiser gratos. Et arrive un moment où avoir la sensation d’être juste une pute gratuite n’est pas super flatteur. Chercher du fun sur les meetic, adopteunmec et autres conneries, ok mais pour du sérieux, passez votre chemin. Et le passer où, justement ? Telle est la question. Puis c’est pareil, le contexte n’est pas le bon, j’y vais par ennui et désoeuvrement plus que par réelle volonté de rencontrer quelqu’un.

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Avant, j’étais étudiante, j’avais rencontré Guillaume 1er sans le faire exprès, au détour d’une cafétéria. Et maintenant ? Bah, il est vrai que ça ne me préoccupe pas trop car j’ai  pas mal de trucs sur le feu en ce moment mais quand je vais vouloir une présence pour me réchauffer les pieds en hiver autre que mon chat, va falloir agir. Parce que le « gna gna gna, ça vient quand tu t’y attends pas », c’est bien gentil mais y a que dans les mags féminins que l’amour frappe à la porte sous les traits d’un nouveau voisin craquant. Mais dans la vraie vie, les voisins sont soient vieux soit mariés. Des fois, je me dis qu’il serait tellement plus simple de vivre dans un magazine !

38 réflexions sur “Mais où trouver l’homme pour de vrai ?

  1. Je sais pas. Pas du tout.
    C’est triste hein?

    Etudiante, j’ai toujours trouvé des personnes sympa des rencontres etc…
    Mais aujourd’hui:
    j’ai fait le mm constat: au boulot => NO WAY!
    au sport => j’ai pas la tête à ça
    au ciné => ben on regarde le film, pas ses voisins
    mes voisins => un couple avec enfant et une jeune fille
    les amis d’amis => écumés
    Via le net => non merci, j’ai testé Meetic une fois… heu… trop de perte de temps!

    Bon on fait quoi maintenant?… reste plus qu’a finir la boite de chocolat 🙂

    PS: à la réflexion, c’est vrai que tous mes ex je les ai rencontré dans des situations plutôt étranges… Mais le coup de: ca viendra quand ça viendra…hum.

  2. Je vais pondre le commentaire inutile du jour.

    Je rencontre le même problème que toi, aggravé par des déplacements professionnels très fréquents.

    Je n’ai pas bien saisi le sens de ton article qui semble être un constat de désespoir. Tu as prévu une suite pour dire que finalement tu as pris la résolution de te mettre en condition dans chaque situation où tu ne l’étais pas ? J’attends ta solution si tu en as une. Pour moi, la chance se provoque.

  3. C’est vrai que si l’on sort de ses études sans petit ami que l’on gardera pour une bonne partie de sa vie (je pense à certaines amies), c’est la galère pour trouver l’homme une fois entrée dans la vie active. J’ai repréré quelqu’un sur mon lieu de travail mais nous ne sommes pas collègues (pas d’open space…ouf !). J’avoue que c’est la première fois que je m’intéresse à quelqu’un qui se trouve sur mon lieu de travail. Je suis contre l’endogamie (nous ne faisons cependant pas le même métier):-) Sinon, il faut faire des activités où l’on doit être plusieurs, comme des sports collectifs ou du théâtre…Je me demande comment les gens faisaient autrefois…en-dehors des mariages arrangés…Hi hi hi !

  4. @ Gentilgarçon: oui, oui, ça se provoque… mais comment? T’as des méthodes?

    Sinon…
    Je crois qu’il faut avant tout avoir envie de faire des efforts pour rencontrer quelqu’un. Un de mes meilleurs amis est célibataire depuis… vraiment trop longtemps. Et pourtant il est bien comme garçon (Pas pour moi, on se connait trop).
    La question n’est pas là, plutôt ici: qu’est ce qui fait qu’il est toujours seul.?.?.
    Parce que si je trouve pour lui, je trouverais peut-être pour moi 😀

    Ma question est donc: est-on seul parce qu’on le veut bien? Ou parce que vraiment on a une tare vraiment inconnue de nous, mais vraiment atroce?

    Ca ressemble à rien ce commentaire, je crois que j’ai juste pas envie de travailler!

  5. Ah pédé ! Ne me dis pas ça ! J’ai déjà des doutes sur la sexualité dudit monsieur. Enfin bref…oui, toutes mes activités, je rencontre soit des lycéens (un peu trop jeunes) soit des cinquantenaires (je ne veux pas d’un homme qui a l’âge de mon père !) soit des pères de familles…Ce n’est pas gagné, mais ce n’est pas désespéré ! 😀

  6. paf, un sujet pour moi et curieusement, plus le gout de blablater des heures la dessus…j’ai épuisé le charme des sites de renc, pour moi plus des plans rencontres impossibles ques des plans culs, mais je tape dans la tranche 40-50 et encore je change de tranche (tronche!) bientôt…mais franchement, je finis par me demander ce que veulent vraiment les femmes. aufinal, pas mal de messages echangés, 2/3 rencontres bof, une histoire qui s’est mal finie (normal, c’etait l’amuuuur), et un gros gros besoin de rien en ce moment. tout a fait d’accord avec ton analyse sauf qu’a trop chercher via des sites de renc ou autres, on finit par developper une fixette ou comme chez moi une aigreur, donc je réagis : je pense a autre chose, j’accepte mon célibat que j’espere momentané et j’attend quand même ce crétin de cupidon au tournant de la rue. c’est peut être con, mais c’est ce que je vis encore le mieux, en tout cas mieux que scruter anxieusement tous les soir ma messagerie en m’endormant sur ma béquille. D’ailleurs, mes plus belles rencontres se sont faites sur le coup du hasard…let’s hope for 2010.

  7. « Il reste donc les opportunités web puisque là, on parle avant de se voir mais souvent, ça ne débouche que sur du cul donc peu intéressant aussi. »

    Et si tu rencontrais tes opportunités web sans te sentir sexy justement, sans te préparer en mode date, histoire de voir si le monsieur en a après une enveloppe ou s’il s’intéresse réellement à ce qu’il y a derrière. En prenant soin de n’envoyer aucun signal équivoque dans un premier temps qui puisse lui laisser penser qu’il y a moyen.
    Tu ne maximises pas tes chances d’éveiller sa libido sur des traits physiques, mais s’il est capable de passer outre, son intérêt a plus de chances d’être sincère (aucune garantie cependant).

    Pourquoi ne pas envisager de se rendre charmante plutôt que sexy vu l’objectif ?

  8. Je bosse en BU et c’est vrai que les bibliothèques sont des lieux de drague. Je ne m’en étais pas vraiment rendue compte…J’ai mieux compris quand j’ai commencé à y bosser et y être donc la plus grande part de mon temps.
    Je suis également très « cérébrale ». J’aime que le type ait un minimum de culture etc…On me dit donc que je vise trop haut…grrrr…Sommes-nous trop exigeants ? Je ne le pense pas…Pour moi, il faut un déclic…ce qui n’arrive pas souvent, je l’admets.

  9. Ha mais franchement, ça fait du bien 🙂 les filles!!
    Je ne suis donc pas la seule à vouloir un mec un peu cultivé, avec qui je pourrais m’épanouir plus que lorsque je suis toute seule, qui ai besoin de discuter un sacré moment avant de voir si « ça colle »…

    En résumé, on a un QG, des idées à tester, une approche similaire… on tient le bon bout 🙂

  10. hé c’est quand même vachement plus dur pour nous les gars passé un certain age surtout. je pense aussi que c’est une question d’exigence. quand on attaque la trentaine le soucis c’est qu’on est tous un peu cabossé sentimentalement. moi aussi parfois j’ai le sentiment que c’est insolvable.

  11. @Tribulanne : non, je n’ai pas de méthode, j’attendais celles de Nina dans un prochain article.
    Je dirais juste ne pas se poser trop de questions, multiplier les opportunités et les rencontres, même si au départ elles sont uniquement physique, une pourrait évoluer.

  12. Bon alors, on a:
    de la motivation (si, si un peu au moins)
    des filles qui sont exigeantes MAIS qui savent ce qu’elles veulent (hé, c’est pas si mal!)
    des mecs qui cherchent des filles et qui sont cabossés (faut voir)
    un QG (à tester tout de même avant)
    des déclics à créer (c’pas gagné)
    des idées pour se rencontrer (filles et mecs) si, en y réfléchissant… ha non, j’en ai pas…

    Bon, je suis vraiment trop nulle à ce jeu 🙁

    Le coup du prince charmant qui arrive là… ça existe vraiment pas?

  13. Hier, on m’a confié une phrase dite par mon arrière-arrière grand mère à propos de sa rencontre avec son mari (elle était de Colmar et a trouvé époux en Champagne, à l’époque c’était loin d’être la porte à côté, je rappelle qu’il n’y avait pas le TGV EST).

    Bref, elle disait: Il n’y a que les montagnes qui ne se rencontrent pas.

    (ça ne me dit toujours pas quel plan d’action je fais mener pour 2010…me reste plus qu’un jour!!)

  14. « Ah moins que ce ne soit le scribe »

    « Et c’est une bonne situation scribe ?
    Je ne crois qu’il y ait de bonne ou de mauvaise situation. Moi si je devais résumer ma vie, aujourd’hui, avec vous, je dirais que cs sont d’abord des rencontres, des gens qui m’ont tendu la main, peut-être à un moment où je ne pouvais pas, où j’étais seul chez moi, et c’est assez curieux de se dire que les hasards, les rencontres forgent une destinée, parce que quand on a le goût de la chose, quand on a le goût de la chose bien faite, le beau geste, parfois on ne trouve pas l’interlocuteur en face, je dirais le miroir qui vous aide à avancer ; alors ce n’est pas mon cas comme je le disais là, puisque moi au contraire j’ai pu et je dis merci à la vie, je lui dis merci, je chante la vie, je danse la vie, je ne suis qu’amour, et finalement quand beaucoup de gens aujourd’hui me disent : Mais comment fais-tu pour avoir cette humanité ?… »

    Bon plus sérieusement mais pas trop :

    « Pourtant, y en a, on a de grands échanges et tout et une fois dans le réel, ça part à la relation physique, pfff »

    1) la relation physique n’est pas obligée d’exclure le reste
    2) quand on s’épile, se fait belle et sexy, on ne peut pas non plus se plaindre que l’autre soit réceptif, d’autant plus quand on a prévu sa soirée et qu’on prie secrètement pour qu’il vous ramène ;p
    3) ok ça empêche pas de voir disparaître même ceux avec qui on pensait construire au départ en ayant pris certaines précautions. Ce n’est pas une raison pour renoncer aux dites précautions.

    @F « hé c’est quand même vachement plus dur pour nous les gars passé un certain age surtout […]quand on attaque la trentaine le soucis c’est qu’on est tous un peu cabossé sentimentalement. »
    La trentaine passé, je ne me sens pas cabossé sentimentalement bien au contraire, plus lucide et plus prêt que jamais, sachant ce que je veux.
    De plus, si à 30 ans c’est encore un peu dur pour nous les mecs comme tu dis, nous avons un gros avantages pour la suite, nous n’avons pas la même pression niveau horloge biologique.
    Un homme de 40 ans célibataire a encore toutes les chances de rencontrer une femme de 30 à 35 ans avec qui il pourra construire une relation et déboucher sur une famille si c’est le souhait des deux.

    La femme de 35 ans et plus, le temps de rencontrer un homme, construire une relation de couple, s’assurer que c’est sérieux et mettre les enfants en route, c’est la course contre la montre.

    Alors si ce n’est en rien un trajet obligé, cela correspond au souhait de beaucoup de femmes, et la situation me semble bien plus difficile dans leur situation que la nôtre.

  15. Salut à tous, première fois que j’écris sur ce site. vous l’avez tous constaté, il est effectivement très difficile de rencontrer lorsqu’on bosse. J’ai eu 2 expériences de Meetic tout à fait désastreuses : je ne comprends pas, c’est pas de l’égo mal placé mais je pense vraiment être le prince charmant, du moins un mec bien pour pas mal de nanas, une bonne situation, gentil (trop sûrement), pas mal physiquement, intéressant, beaucoup plus habitué aux longues relations qu’aux coups d’un soir et depuis 8 mois que j’habite à Paris, ça devrait pas être compliqué. Eh bien si : je m’emmerde à écrire des messages bien personnalisés aux personnes qui m’intéressent sur Meetic & autres pour ne jamais avoir aucun retour. Ces sites ne semblent effectivement pas me convenir malgré les annonces des femmes qui comme toi Nina recherchez un mec bien. Faut croire que non en fait. Ou alors j’ai vraiment une annonce de merde. Ou peut-être ma photo qui serait ultra moche… Bref pas évident tout ça
    Je vais tout simplement arrêter de chercher,

  16. pas si dur que ça quand tu habites dans une grande ville et que tu as suffisamment d’énergie pour sortir pas mal.
    quand je parle de « cabossés », et je vais prendre une volée de bois vert, j’aurais du surtout mettre le féminin. l’approche de la trentaine c’est souvent ça. faut dealer avec les « cicatrices » de l’autre. et perso ça me gonfle.

  17. C’est quand même fantastique tous ces mecs qui cherchent une fille bien et vice-versa!
    C’est rassurant quelque part…
    Mais pourquoi ca marche jamais comme ça dans la « vraie vie? »
    Grrr :-/

  18. carrémment sinon ça serait trop simple tu penses bien. sortir beaucoup en effet mille fois tu as raison, ça ne garantit rien du tout. mais au moins ça permet de compenser sur tout le reste. faut juste pas atteindre trop vite le point de saturation.

  19. « Je trouve qu’arriver négligé(e) à un rendez-vous galant montre le peu de cas qu’on fait de la personne en face.
    Puis je me pomponne tous les jours, ça change pas de d’habitude 😉 »

    C’est pas moi qui raconte, je prends le train, je suis pas à mon avantage donc rencontre impossible :p

    Et pourquoi le rendez vous se devrait-il d’être galant justement ? Pourquoi ne pas laisser faire les choses sans partir sur un à priori ?

    Et si je ne me pomponne pas (le marketeux qui va me faire acheter du maquillage pour homme est pas né), je ne suis jamais négligé quand je sors de chez moi, donc que le rendez vous devienne galant ou pas, je suis prêt ;p

    Et encore une fois, je rappelle la différence entre sexy et charmante, ce ne sont pas les mêmes codes et n’attirent pas le même genre de poissons :p

  20. Tout d’abord, félicitations pour ton blog que je suis attentivement depuis un an …sans oser commenter…..Le sujet du jour ou plutôt de l’avant-veille m’a fait réagir :
    En couple depuis quelques mois après de longues années de célibat (c’est mon « vrai » premier et j’en ai 24), je me faisais le constat (c’est l’époque) que je n’aurais pas eu le temps de le rencontrer en 2010 pour cause d’entrée dans la vie active. Et pourtant l’an dernier, je passais mon CAPES et on m’aurait dit que c’était le moment pour une rencontre je ne l’aurais pas cru, ne me pensant pas disponible …Et pourtant, j’ai finalement pris le temps de me rendre disponible (et j’ai eu mon CAPES grâce à ça….la vie est parfois bizarre!)
    Je l’ai rencontré par une amie commune via msn.
    Après avoir traîné un peu sur meetic, je dirais que ce genre de site nous conditionne trop dans le sens où l’on se rajoute (consciemment ou inconsciemment ) des critères de choix que l’on aurait pas dans la vraie vie. Je serais tombée sur la fiche de mon homme, je l’aurais jugé trop vieux et pas assez cultivé au vu de son métier, et lui m’aurait jugée trop jeune et beaucoup trop étudiante et prof c’était no way…
    Les copines à qui je fais de mes réflexions : « oui mais toi t’es en couple » ….heu oui peut-être mais pas depuis longtemps et parfois encore du mal à y croire…

  21. D’abord bonne année pour tous le monde bonne chance pour la recherche de l’âme sœur! Quel déprime hivernale…

    Le post et les commentaires m’ont bcp amusés… Alors, je vais aussi écrire quelques lignes à ce sujet.

    Ce crétin de cupidon existe et ça arrive parfois de façon toute à fait inattendu. Mais il peut être d’après mon expérience parfois difficile de le reconnaitre à temps si ça arrive quand on ne s’y attend pas avant que la vie crée des faits qui font qu’il est difficile de rattraper le coup…

    Je connais le café livre car j’y vais de temps en temps le mardi soir pour un rencontre franco-allemand. Mais pas trop souvent car l’age moyen est trop élevé pour mon gout. J’y vais uniquement si le mardi en début de soirée j’ai d’autre chose à faire dans le coin car je connais certains membres depuis des années. Sinon, c’est un bar resto pas mal avec bcp des livres qu’on peut livre en attendant et prix relativement élevés depuis ça a été repris par un nouveau propriétaire.

    Pour finir, encore quelques conseils pour filles et mecs: pourquoi pas rester naturel et cacher son vrai caractère derrière une masquerade (maquillage) ? Moi, j’ai horreur des filles qui perdent un temps fou en maquillage, épilation ou je ne sais pas quoi. Moi, je préférais une fille naturelle et si elle n’est pas épilé ou maquillé ça ne me gène en règle générale pas. On peut aussi être correctement habillé sans tous ce cirque. Bon, s’il est prévu de monter les marches à Cannes lors du festival devant les cameras par exemple, OK, on peut peut-être faire un peut plus d’effort… Évidement, c’est que mon opinion sans grand importance et on peut voir les choses autrement…

    Des sites des rencontres c’est nul, trop de masquerade, des femmes trop exigeantes dans ma tranche d’age (40 – 50 ans)par rapport à ce qu’elles ont à offrir (je ne pense pas qu’à l’argent)!

    Kai

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