Le prix du chômage

Un entretien, ce n’est pas rien quand on est au chômage : c’est une lueur d’espoir. Alors je l’ai déjà dit, on le prépare pour être au top. Mais ce dont on ne parle pas forcément, c’est de son coût. Parfois, ça peut coûter cher. Illustrations (au pluriel, oui, oui). Avril 2007, le 11 précisément. J’ai décroché deux entretiens dans la journée, si, si. Le premier au fin fond du XVe à 11 heures et le second au fin fond de la ligne A du RER à 15 heures. Oui, je suis un peu une warrior quand je m’y mets. Alors je … Continuer de lire Le prix du chômage

Un gars, une fille, et moi et moi et moi ?

Je suis ce qu’on appelle une fille qui découvre des trucs trois plombes après tout le monde genre Un gars, une fille. Tout le monde en parlait à la fac, racontait les meilleurs sketches, moi j’étais dépassée. Mais là, ça passe en boucle sur les chaînes de la freebox donc je profite pour rattraper mon retard. Et pif, tiens, j’en fais même un article. Revenons aux origines de la série. Tout est parti du Québec où la série est lancée. Les créateurs de la série décident de l’importer en France et moi, déjà, je commence à tiquer. Non parce que faut voir … Continuer de lire Un gars, une fille, et moi et moi et moi ?

L’Hippopotame et le Rhinocéros

Bon, cette semaine j’aurais a-do-ré vous donner toutes mes différences et tous ces défauts qui sont autant de chances mais voila Nina elle a dit tu m’fais un papier considérations générales.  Du coup, comme je suis frustré de ne pas pouvoir vous raconter ma life, je vais vous faire un article de mec complètement aigri. C’est vachement bien car ça me donne une caution morale de ouf. Je peux trasher autant que je veux, de toute façon les gens diront « – Purée, Lucas il a trashé trop de gens dans son article. – Oui mais c’est parce qu’il était aigriiiiii« . … Continuer de lire L’Hippopotame et le Rhinocéros

Quel bonheur d’’être fou

Paris est une ville fascinante où on rencontre des gens vraiment… hors normes, on dira. La scène se déroule samedi dans le métro, Gauthier et moi nous rendons chez la Rouquine pour un petit dîner informel. On grimpe dans la rame et là, la fille qui est à côté de nous ouvre une boîte et en sort un petit papier et me dit : « Il me faut trois minutes pour en faire un alors vous imaginez mille ! ». Quoi ? Mais de quoi elle me parle ? Polie, je réponds un : « ah oui ! » et je me tourne vers Gauthier pour voir s’il comprend, lui, mais son air … Continuer de lire Quel bonheur d’’être fou