Hommage à Aaron Spelling

Aaron est un vieux monsieur et il est mort cette semaine à je ne sais quel âge. De toute façon, ce type, il a toujours eu l’air vieux. Un peu comme Rainier. On dit qu’il a bien vieilli, erreur. C’est que jeune, il faisait déjà vieux. Bref, notre pauvre Aaron a passé l’arme à gauche et c’est un peu l’occasion de revenir sur sa merveilleuse production télévisuelle.

aaron_spelling

Bon, si vous fouillez sur le net, vous constaterez que le monsieur a produit beaucoup de séries donc certaines que je ne connais pas, je me concentrerai donc sur celles que j’ai eu l’occasion de voir (et de suivre, même des fois). Dans sa prime jeunesse, Aaron a produit Starsky et Hutch, série dont je me souviens peu. Me souviens en fait du générique, de la voiture puis du générique « Starsky et Hutch, tananananan ». Puis Starsky et Hutch, ils se tapaient une nana chacun par épisode. Après, dans le rayon vieilles séries, y a aussi « Drôles de
dames » et « la croisière s’amuse ». Là, de suite, ça me parle plus, merci les re-re-re-re-re-rediffusions. « Drôles de dames », d’abord, ou comment créer une série dont le concept est de montrer des nanas bien roulées en petit bustiers et mini short. Quoi que je dis, je suis mauvaise langue : y en avait une des trois qui était toujours habillée en mémère, elle était chiante d’ailleurs. C’était un peu la maman du groupe, celle qui sermonnait les autres, la chef. Donc la gonflante pas trop jolie toujours en pantalon.

Ensuite, la croisière s’amuse, on quitte le domaine policier, avec son inoubliable générique. Ou comment une bande de moches profitent d’être sur un bateau pour se taper leur lot de bonnasse. Je veux pas être méchante mais sur leur love boat, moi, je m’en serais tapée aucun ! Y avait que la blondinette qui était mignonne mais elle puait la cruche à 3 km à la ronde. Déjà, on découvrait la passion d’Aaron pour les histoires d’amour compliquées, les cocufiages, les « mais quand je reviens au Mexique, je te fais un coucou ». Des tas de bonnasses

s’ébattent au bord de la piscine tandis que le soir, à la pleine lune (oui, c’est toujours la pleine lune sur le love boat), des couples s’embrassent sur le pont et se jurent de s’aimer pour toujours. Le schéma est souvent le même : soit des couples en mal d’amour qui se retrouvent, soit des célibataires qui se conquièrent. Des fois, ce sont des anciens amants qui se retrouvent.
Puis évidemment, les membres de l’équipage ont leur petite histoire aussi : une fiancée dans chaque port, quoi. Moi, j’avoue que ce que j’adorais dans cette série, quand j’étais petite, c’était le départ, avec les confettis, les cotillons et tout le tralala.

Bon ensuite, y a eu Dynastie et Hooker mais ça, je connais pas donc passons direct à la série culte, celle qui a fait d’Aaron Spelling un pépé pété de tunes, celle qui nous a fait rêver durant notre adolescence, celle qui fait que des tas de gamins s’appellent Brandon, Brenda et Dylan. Hé oui, je veux bien sûr parler de Bervely Hills. Tout commence avec l’arrivée des jumeaux Brandon et Brenda qui viennent tout droit du Minnesota, Etat bouseux et enneigé, apparemment, pour l’ensoleillée Californie. Les parents sont parfaits, la maison est parfaite et les

gamins font de gentilles conneries. Mais bon, on commence à glisser peu à peu dans la perversion. Les couples se mélangent, Kelly, la blondasse chiante, sort avec Steve, Dylan, Brandon, Dylan, re-Brandon puis je sais plus qui, j’ai arrêté de regarder. Brenda, la super héroïne qui dégage très vite, elle vit une grande histoire d’amour destructrice avec Dylan. Brandon est tellement parfait qu’on jubile dès qu’il lui arrive une merde. Non, mais il agaçant le premier de la classe président des élèves qui ne se tape que des bonnes notes et qui en plus travaille au café du coin pour se gagner de l’argent. Il a une tête à claque. Après, il y a aussi le merveilleux personnage de Donna, jouée par la fille de Spelling himself. Vu sa gueule, elle, soit elle couchait, soit elle avait un père producteur pour arriver à faire quelque chose. La maigre Donna aux gros yeux est donc super amoureuse de David mais elle veut pas coucher le mariage, elle est super prude et va à l’église tous les dimanche. Quand on sait que la fille qui la joue a dû déjà divorcer quatre ou cinq fois et s’est tapé la moitié des mecs de la série en coulisses, ça laisse rêveur. Bref, Beverly Hills, c’est un peu de l’érotique pour ado : ils baisent tous les uns avec les autres sur des riffs de guitare, ils se roulent des pelles dans les piscines et roulent dans des belles voitures. La pauvreté, ça n’existe pas à Beverly Hills, ça fait tâche.

Pour un public plus adulte, Spelling nous ressort Bervely Hills version trentenaire : Melrose Place, le lupanar made in California. Alors là, si vous cherchez à retrouver qui a couché avec qui, prévoyez une bonne réserve de diantalvic, c’est assez violent. Bon, en fait, non, c’est pas compliqué : tout le monde a couché avec tout le monde. Déjà, y a Amanda, la super blonde transfuge de Hooker. Ouais, dans le petit univers d’Aaron, les acteurs naviguent d’une série à l’autre. Donc, elle, c’est un peu la Victor Newman de service, elle s’est tapée tout le monde, sauf l’homo de service (qui finit par dégager, d’ailleurs). Après, y a plein de gens qui vont et viennent dans même pas une dizaine d’apparts, ils s’installent ensemble, se séparent, se réinstallent avec quelqu’un d’autre ailleurs, échangent les apparts… Limite, je me demande si les acteurs rentraient pas dans un appart au pif en disant que c’était le leur. Bref, chaque épisode commençait par une scène de baise, chaque épisode se terminait avec une scène de baise (toujours les riffs de guitare). Entre temps, ils s’engueulaient, ils complotaient, ils s’aimaient, se détestaient, ils faisaient des plans machiavéliques… Non parce que dans Melrose Place, y a les méchants et les moins méchants. Bon, de temps en temps, on file une petite explication sur leur enfance et tout ça, le « mais pourquoi sont-ils aussi méchants ? ». Ils se marient comme nous, on prend le métro, tout ça pour divorcer deux épisodes plus tard parce que monsieur a fauté avec la voisine. N’empêche qu’un immeuble où il n’y a que des gens beaux, ça me fait rêver !

Ensuite, il y a eu des ratés genre Sunset Beach (moi, j’adorais mais j’étais à peu près la seule) et un truc qui s’appelait « Pacific Palissade » ou un truc comme ça que j’ai découvert récemment sur le câble ou comment refaire un nouveau Beverly Hills avec des jeunes beaux et des jeunes riches (mais y a des pauvres, aussi). Dans ces deux séries, on découvre le petit frère de Tori. Lui, pareil : soit il couchait, soit il avait un papa producteur parce que dans le genre pas

terrible, hein… Enfin, citons la dernière série en date de M. Spelling : trois bonnasses habillées d’un rien qui luttent contre le mal. Enfin, non, y en a une qui n’est pas habillée en pouff mais elle est toujours enceinte, aussi…Non, c’est pas Drôle de dames, c’est Charmed. Ou comment réutiliser un concept éculé pour se faire de la tune.

 

Bref, chez Aaron, on retrouvait un peu toujours les mêmes trucs : des riches très riches qui côtoyaient parfois des pauvres très pauvres qui venaient au lycée en bus scolaire (oh les nazes !), des ethnies qui se mélangent pas, des nanas habillées d’un rien et des mecs qui passent leurs journées à se doucher pour qu’on voit leurs pectoraux. Des gens qui copulent, tout le temps, de préférence sur des riffs de guitare. Des histoires de couples glauquissimes censées être passionnées et romantiques. Ben quoi, c’est pas parce que j’ai baisé avec le voisin dans la piscine que je t’aime pas mon amour… Et si on se mariait, tiens ? De l’amour au rabais entre riches et très riches, entre beaux et très beaux. Chez Aaron, on est soit médecins, publicistes ou serveurs, pour les ratés. Mais c’est pas grave, les ratés, ils finissent toujours pas intégrer la super agence de pub où tout l’immeuble bosse. Ce qui est fantastique c’est que, chez Aaron, en trente ans de carrière, y a que la coiffure et les tenues des personnages qui ont changé.

26 réflexions sur “Hommage à Aaron Spelling

  1. Alors, starsky et hutch = naze, drôle de dames = naze, la croisière s’amuse = naze, Dynastie = naze, Hooker = naze …
    Après, Beverly Hills j’adore, surtout Dylan pour être franche. Melrose place aussi, c’est pas mal du tout, et l’homo qui s’est fait jeté c’est celui qui joue dans Desperate Housewives. Il y avait Rob Estes aussi dans cette série (après être parti des dessous de Palm Beach).
    Sunset Beach, c’est trop de la merde en boîte, un mélange des feux de l’amour et de Beverly Hills, pouark ! Notamment avec Susan Ward (qui jouait déjà dans Pacific Pallissades avec Charisma Carpenter la méchante de Buffy) et surtout Laura Harring (ex Miss America) qu’on retrouve dans Muholland Drive de David Lynch.
    Bon, mon préféré de loin est Pacific Palissade avec Keri Russel, l’héroine de Felicity (j’adore ses cheveux bouclés, je veux les mêmes !). Elle sort avec un pauvre et sa mère voit mal cette relation. C’est la fille parfaite, riche, belle, intelligente, gentille, qui veut faire évoluer les mentalités. On peut revoir les épidodes (qui datent de 1996 en première diffusion) sur NRJ12.

  2. Hooker, c’était mythique. Je me rappellerais toujours ce gros porc de hooker courir dans un costume de flic trop petit pour lui. A côté, Passe Partout parait à l’aise quand il court dans le fort Boyard. Et puis il y avait ces satanées voitures de flics qui crissaient des pneus pour un rien : après un stop, pour s’arrêter au McDO, dans la terre…

    Beverly Hills, j’ai pas trop suivi. Mais c’est vrai que Brandon avait la pire tête à claque du monde : « vas y Brandon, prends 10 balles dans le porte-monnaie de ta mère, tu peux y arriver! ». Et puis la fille Spelling, c’est pas qu’elle a un père producteur ou qu’elle couche avec le producteur, c’est qu’elle fait au moins les deux. Parce qu’avec si peu de talent et si peu de beauté, on ne fait rien normalement.

    En tout cas, tu m’as bien fait marrer, merci!

  3. Arf c’est triste quand même !!!
    J’adorais Beverly Hills, je pleurais même si je loupais un épisode (ok c’est pas très glam mais j’étais jeune).
    Même s’il a fait beaucoup de séries nunuches, il était doué pour que celles ci soit regardées 🙂

  4. Starsky et Hutch… Une de mes séries préférées, pour son ton décalé, tout de même…

    Hooker ? J’adorais quand j’étais « petit »… J’ai revu y’a pas longtemps et jme suis ennuyé…

    Drôle de dames… Ah, quie de souvenirs, je rêvais d’intégrer l’équipe quand j’avais 7-8ans… (no comment)

    Melrose Place ? officiellement, j’ai jamais aimé…

    Pis les autres, j’avoue que je connais pas vraiment…

    Moi je dis… Quand même, Aaron, il nous aura apporté quelques trucs sympa.

    Enfin heureusement que Stephen J. Cannel est encore vivant (celui qui jette une feuille qu’il sort de la machine à écrire et à qui on doit Rick Hunter, 21 Jump Streer, etc… Quand celui-là sera mort, ce sera la fin de mon enfance télévisuelle…

  5. Arf je dois dire que ton petit post m’a bien fait poilé!
    j’étais une grande fan de drole de dames car forcement c’était des nanas bien! et c’est vrai que j’avais jamais calculé mais qu’est ce qu’il était moche sur le « love boat » j’en suis encore morte de rire!
    qu’en a beverly hills j’ai regardé que le debut vu qu’il avait viré brenda et que je l’aimais bien car justement elle faisait des conneries (pas trop grave! quand meme). Je me souviens que une fois elle s’était teinté les cheveux en blond pour ressembler à Kelly !! Je dois bien avoué que c’était assez fendard!;)

    Bref tout ca pour dire que on a tous « pratiquement » grandi(enfin les 20/30 ans) avec les conneries de M Spelling !
    en faite c’est comme le Club dorothée! C’était à chier mais tout le monde regardait avec ses tartines de nutella sur le divan de papa/moman! 😉

  6. «  »7 à la maison » » : Mon Dieu (c’est le cas de le dire !). C’est un peu la série « excuse moi ». Tout le monde s’excuse en permanence de ses faits et gestes, c’est politiquement correct à souhait, vraiment dans la droite ligne conservatrice et puritaine typiquement américaine. C’est une série avec l’étiquette WASP. Par contre, j’aimais bien Matt, le frère ainé, pas mal du tout, et j’avais surtout remarqué que la petite (la brune plus bronzée que les autres) va allée très loin, elle me fait un peu penser à Jessica Alba.

  7. Tu t’occupes aussi de la rubrique Nécrologie maintenant Nina?
    Ce cher Aaron devait être sacrément pété de thunes et je pense savoir comment il recrutait les charmantes actrices de ses séries!
    Sinon pour les amateurs d’histoires à l’eau de rose, sachez qu’avant sa mort le père Aaron s’est réconcilié avec sa fille, Tori Spelling(alias Donna dans Beverly Hills) avec qui il était mortellement fâché depuis qu’il lui avait préféré l’ancienne Brenda pour jouer dans Charmed… Comme quoi on peut être producteur mais réaliste sur les talents(ou plus exactement l’absence de talent) de sa fille!

  8. Longtemps que je suis pas passé par la, et apres m’etre dit « oulah, un hommage a….ca » en voyant le titre, je n’ai qu’une chose a dire; Bravo !

    Aaron Spelling, le Paul W Anderson de la romance televisuelle

  9. Ah que de souvenirs!!!!!! Starsky et Hutch j’aimais bien, sympa… Beverly Hills, grand moment de la télé avec les histoires d’amour très compliquées, si mes souvenirs sont bons, David épousait Donna et Kelly revenait avec Dylan je crois… Celle que j’aimais bien c’était Andréa, la moins pétasse des filles!!! Melrose Place bien que oui une série où il ne fallait pas rater un épisode, il y a quand même Doug Savant et Marcia Cross qui joue dans desperate housewives, Allison qui a joué dans Ally Mc Beal, Kristin Davis dans sex and the city, Spelling avait du bon flair quand même, pas mal des acteurs ont joué dans des séries sympas comme new york 911 ou tout simplement dans Mulholland Drive sauf pour andrew shue alias billy que je me demande ce que tout le monde pouvait bien lui trouver, à part peut-être d’être le frère d’Elisabeth Shue… Pour Charmed jamais accroché, on pouvait compter les tétons qui pointent toutes les cinq secondes. Sunset Beach, je trouvais çà marrant, c’était long, la lumière était horrible et Pacific Palissade ( oui y a rien le samedi à deux heures de l’aprèm!) l’éternelle rivalité entre riches et pauvres, à un moment çà lasse. Bon je m’arrête là, je viens de me rendre compte que je regarde trop les soaps!!!

  10. mdr :-).

    Starsky et hutch c’était pas mal, et puis le film qui est sorti il n’y a pas si longtemps m’a fait vraiment délirer … Je suis bon public.

    Enfin bon, faut le dire, ce mec là, il avait tout comprit à la grande majorité des nanas (… :P).

  11. Ah comme c’est triste d’apprendre la mort d’un si grand scénariste…
    Et j’avoue l’allusion à « 7 à la maison » (7th Heaven en VO, voyez le jeu de mot subtil) manque dans cet article… du bon et grand sentiment tartiné généreusement à chaque épisode! Comme il fait bon d’être blanc/protestant/américain/puritain/conservateur après avoir vu cette série! Mais bon c’ets vrai que le gamin Simon devient vraiment pas mal en grandissant ça rattrape le tout (enfin il n’est pas angélique, il se fait payer pour que les filles aient le droit divin de l’accompagner au ciné dans un épisode, mais chut pas un mot à ce cher révérend Candemn, de toute façon Dieu le punira!)
    Mais Aaron Spelling nous a également comblé de bonheur avec Sunset Beach… toute mon enfance!! Comment oublier que Annie avait enlevé le bébé d’Olivia pour le donner à sa fille Kathleen et son mari Cole qui a lui même couché avec Olivia 9 mois auparavant donc qui est tout de même le père de l’enfant volé (vous suivez toujours là..?)
    Charmed a fait assez fort en alliant le grotesque au gnangnan mais bon au moins cette série a l’excuse de se baser sur « des faits surnaturels »…!
    Tss tss mais qu’allons nous regarder maintenant?

  12. Que de souvenirs !!!
    Beverly Hills je regardais au début avec ma mère mais quand les filles au collège ont commencé à en parler tout le temps, ça m’a vite saoûlée ! J’ai jamais aimé aimer les mêmes choses que les filles que je cotayais par obligation collégienne !
    La croisière s’amuse c’est pleins de souvenirs avec ma grand-mère, du coup je ne peux plus regarder sans avoir envie de verser une petite larme ! On en loupait aucun épisode à deux. Celui que je préférais, c’était le barman très disco !
    Drôles de dames, je regardais le midi avant de retourner en cours quand je commençais à 15h, ça finissait juste à temps pour moi être à l’heure …
    Pour les autres, j’ai pas vraiment vu, juste un ou deux épisodes pour savoir pourquoi je n’aime pas. J’ai jamais accroché aux histoires compliquées de qui a couché avec qui quand et comment.
    Dans 7 à la maison on a envie de bourrer la tête de claques tellement il sosnt débordants de bons sentiments !
    J’ai revu Beverly Hills y’a pas longtemps, ça a pris un sacré cuop de vieux ! Et c’est vrai que pour dona on se demande bien ce qu’elle faisait là !

  13. Super cet article serieux, j’adorrrrrrrre!
    Moi je connais presque tous, les rediff de droles de dames, j’ai suivi, la croisière s’amuse j’ai suivi, Hooker, pour ceuxqui se demandaient quand ça passait c’était le dimanche vers 14 heurs (à la place de walker texas ranger!) et j’ai suivi aussi, beverly hills: j’ai adorai!
    Comme tout le monde Dylan évidemment, d’ailleurs, ça m’a donné le gout des mecs « écorchés vifs », grands bruns tenebreux avec toujours des tas de problèmes , qui nous amènent dans les coups foirreux mais tellement beaux et chauds! hummmmm
    Kelly, trop belle aussi, je ne suis pas homo, mais elle me faisait rever quoique en revoyant les épisodes du début, qu ‘est ce qu’elle a changé!
    Melrose place j’ai suivi avec la pauvre alison qui était love de Billy et Jack, humm Jack!
    7 à la maison, j’ai suivi aussi!
    Et Charmed mais ça m’a vite lassé!

    Une chose a déploré, les nombreuses familles de la région (les chti) ont cru devenir beaux et riches en appelant leurs gosses Dylan et Brandon! Ah j’oubliai: y a plein de Dawson depuis quelques années: concurrence oblige!

  14. Parler de Melrose Place en disant qur tout le monde coucha avec tout le monde, c’est un peu comme dire que dans le journal télé, on a que des mauvaises nouvelles. Tout le monde le sait, c’est vraiment vrai, mais bon… c’est le principe aussi ! Quoi qu’en cette période de Mondial (avec des Bleus qui se sont soudain réveillé), on a plus que des bonnes nouvelles à la télé, et merci aux chaines du cables pour nous informer du reste du monde sinon, je crois que La corée pourrait larguer une Bombe H sur Tokyo, personne ne le saurait – une Bombe H sur l’Allemagne, en revanche… mais passons !

    L’autre GROS point important de la série, c’est que TOUS les personnages, que je sache, sont devenus des fous meurtriers à un moment donnée. Bon, déjà, y’avait Kimberley (qu’on voit maintenant dans un rôle aux antipodes, dans Desperate Housewives) la gonzesse carrément pété de la tête, qui a été la plus timbré du lot. Mais à part le pd, justement, je crois que personne dans cette série n’a échappé à une période de folie. Dur.

    Charmed, y’a une seule saison que j’ai à peu prêt aimé : celle avec l’ange qui vient du futur. Mais bon, j’avoue que je regarde surtout parce que c’est diffusé, et que ça occupe. Mais quand ça quittera l’antenne, ça me manquera pas ! (une saison, et c’est fini)

    Quand je pense que ça aura duré 2 saisons de plus que Buffy…. l’injure suprême ! Surtout que Charmed a quand même bien pompé Buffy et surfé sur son succés ! (un peu comme Smallville qui a pompé sur Roswell)

    Thom…

  15. – Si si, ils sont tous devenus fous à un moment donné… Même Billy, le héros, a eut une période où il voulait tuer je sais plus qui… même qu’une fois guérie, quelqu’un a cherché à lui faire croire qu’uil était encore fou en lui faisant voir le faux fantôme de sa femme… toute une histoire…

    – Charmed a pompé sur Buffy en transformant le concept à la sauce Speeling… donc oui, c pas la même chose mais ils ont quand même chercher à surfer sur ce sujet ! Le groupe qui combat le mal etc…

    – Charmed a failli arrêté à la saison 8 (y’a même une fin !) mais finalement, ils ont droit à une 9ème et dernière saison… mais bon, même si je vais regarder, ça reste une série trés moyenne !

    – Roswell a fait une excellente première demi-saison lol La suite, c’est un simili-Smallville (ironiquement, sachant que c’est Smallville qui l’a inspiré… mais c’est juste un point de comparaison pour toi !). Mais comme pour Smallville, y’a de bons épisodes en début et fin de saison (l’un des persos principal se révèle être un traître, vraiment bonne partie ça). Mais le succès a pas du être au rendez-vous, car la 5ème et dernière saison a été diffusé le samedi soir, après la trilogie, sans AUCUNE pub pour l’annoncer !

    Thom…

  16. Smallville a pompé sur Roswell, mais a finalement eut plus de succés.

    Pour mon message précédent, j’en suis venu à dire « comme dans Smallville » parce que tu as dit que tu avais pas suivit Roswell…

    Thom…

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