Sam en tas

Par Sam
N’ayant pas beaucoup de plan ‘drague’ a mon actifs, malgré mon âge, je vais tous les raconter, il n’y en a pas pour long, juste qq. lignes.

1) Premier « contacte » avec une fille. Plantage du décor : piscine de la ville, avant la 6eme (si ma mémoire est bonne), fin du cours de natation, arrive les 5 minutes de jeux dans l’eau avec des bouées gonflable, genre chambre à air de roue de camion. Je plonge, j’arrive sur la bouée pleine de monde, par en dessous. Je remonte à la surface. Allô Houston, j’ai un problème! Mon appareil dentaire est accroché au maillot de bain d’une fille au niveau de son arrière train. Devant toute la classe, la honte.
2) 5eme ou 4eme, je vais la queue pour manger au réfectoire de l’école, je sens une paire de mains sur mes fesses. Sur les premières secondes, je trouve çà « agréable » jusqu’au moment où je me rends compte que, contrairement à ce que je pensais, cet acte était volontaire. Je me retourne et je vois trois nanas en train de se foutre de la gueule comme ce n’est pas possible. Inutile de préciser que j’ai piqué un phare (tiens au fait, on dit : phare ou fard?) et que j’étais terriblement gêné pendant les 15 minutes d’attente, avant d’aller manger, je ne savais plus où me mettre. Ce n’est pas très agréable de se faire plotter sans qu’on le veuille. Je n’ai pas trop de mal à comprendre les réactions des femmes a qui cela arrivent dans le métro ou autre.
3) Vers 14 ans, je crois, comment on appelle çà déjà, une « partie » il me semble. Une fille m’invite à danser, 3 secondes plus tard j’étais dehors, seul, en train de prendre l’air, tellement j’ai eu la trouille, j’ai toujours été TRES timide. Je ne sais plus par quelle raison j’ai fuie comme çà, enfin si, je sais mais çà c’est encore une autre histoire. Et pourtant je la trouvais vraiment très jolie cette fille. Sans doute « trop » pour moi.
4) Fin de la 3eme, pendant la récré, une copine de classe SAM1 vient me dire que SAM2, une autre copine de classe, a plus ou moins « flashé » sur moi. Allez savoir ce qui m’est passé par la tête pour sortir une connerie du genre : « çà tombe mal, j’ai l’intention de devenir curé ». Le pire dans cette histoire c’est que je « flashais » également sur SAM2. Je ne sais pas bien ce qu’il m’a pris, je pense que cette façon de faire était trop « brutal » ou trop rapide pour moi, à l’époque. Il me faut du temps pour réfléchir pour prendre une décision, et j’avoue avoir des difficultés pour en prendre spontanément.
5) En Term., Rien, pas le temps de draguer les filles, il y avait le bac a préparer. Je ne pouvais pas faire deux choses en même temps. Oh mon Dieu, bien trop compliqué de faire un truc pareil. Et puis c’est vachement important d’avoir le bac. Quel con j’étais oui ! Tous les midis j’allais en perm pour travailler (mon côté cigale est quasi inexistant, mais mon coté fourmis, lui, il m’a bien pourri la vie). Et tous les midis je croisais cette fille, rousse et peu sauvage, regard de braise, terriblement attirante. Elle était assise toujours au même endroit, sur le rebord d’une fenêtre, dans le couloir qui menait à cette salle d’étude dont j’allais chaque jour. C’est curieux, pourquoi ce n’est qu’avec du recul, qq. années après, que je me suis rendu compte qu’elle me déshabillait du regard comme si je passais au rayon X à chaque fois. Mais je n’ai rien fait, comme d’hab. D’abord le bac, me dis-je, ensuite on verra pour les filles.
6) IUT, ben, je ne peux rien faire, 120 élèves et seulement 4 nanas. C’est l’avantage de prendre une filière non littéraire.
7) BTS, mes deux plus belles années d’études, ben oui venant d’un IUT, le BTS était un peu de la révision et donc ‘relativement’ facile. La fille en question s’appelait SAM3, je me suis rendu compte que je l’aimais qu’au bout d’un an et demie passé à ses cotés (dans la même classe). Je me souviens encore, on était tous en cours de math et quelqu’un est venu lui annoncer un décès dans sa famille, par un papier ou dans l’oreille, je ne sais plus. Je me souviens de l’avoir vu pleurer, et d’avoir eu mal au cœur comme jamais auparavant, de la voir souffrir ainsi. C’est là, à ce moment précis, que j’ai compris ce qu’était le mot ‘amour’.
Elle vivait dans un appart en coloc avec 2 autres filles de ma classe, allez savoir pourquoi j’étais souvent chez elles. J’arrivais toujours à trouver une bonne excuse, en plus je servais de taxi pour les 3, chaque WE, covoiturage oblige.

Les derniers mois, avant de passer le diplôme, SAM3, faisait toujours référence à ‘il’ en me regardant avec un petit sourire en coin. Elle avait tiré, une fois, les cartes de tarot, pour ‘voir’ son avenir. Toujours en parlant d’un ‘il’, bien sûr je croyais fermement que ce ‘il’ était moi, comment aurait-il pu en être autrement?! Les cartes ne mentent pas, c’était bien de moi qu’elles parlaient, ces cartes, je me suis reconnu, aucun doute possible. Bref, la fin de l’année est arrivée, les examens était passé. Je me suis enfin décidé à lui déclarer ma flamme, la dernière fois que je la ramenais chez elle en voiture. Je n’avais plus rien à perdre de toute façon, c’était coups double, soit-on ne se voyait plus jamais, soit c’était parti pour une belle histoire. Et bien sûr je me suis pris une belle ‘claque dans la gueule’, quand elle m’a dit que le ‘il’ n’était pas moi, mais un autre qu’elle aimait depuis plusieurs mois déjà. Ce jour là, j’ai compris l’expression « l’amour rend aveugle » et avoir le « cœur brisé en mille morceaux ». Je m’entendais super bien avec elle. Je m’en suis voulu longtemps d’avoir été aussi con et aussi aveugle. J’ai pleuré à chaudes larmes pendant, chaque soir, une bonne semaine, tellement j’avais le cœur ‘serré’ et qui me faisait atrocement mal. Je crois que c’est mon plan le plus foireux de toute ma vie, attendre deux ans et se prendre un ‘vent’, comme çà, après tous les petits moments de ‘complicité’ que je ‘croyais’ avoir eu avec elle, çà ma vraiment fait souffrir.
C’est en partie pour ça que j’avais choisi une école près de la Belgique plutôt qu’une autre école plus proche de chez moi, l’année suivante. J’avais besoin de prendre de la distance, en pensant que se serait plus facile d’oublier ce ‘chagrin d’amour’. Cà n’a pas vraiment marché, un an plus tard, j’avais eu envie de la voir, même de loin. Je me suis donc inscris à une course à pieds (20 kms de footing) qui passe juste devant chez elle. J’ai donc couru pendant 13kms (elle habite environ à mi-parcours) en espérant l’apercevoir, même quelques secondes. Et bien sur, je ne l’ai pas vu. Au bout des 20km, j’étais mort, rincé, vidé, mal aux genoux, mal aux jambes, mal partout, je ne suis pas un grand sportif. Je me souviens d’avoir dit à un proche « c’est la première… et aussi la dernière fois que je fais cette saloperie de course ». Deux ans après j’ai remis çà, plus dans l’intention de la voir, juste pour ‘le fun’. Je m’étais entraîner plus sérieusement, ben je n’ai quand même ‘chié’ comme c’est pas possible, je pense que c’était bien elle, cette fois ci, que j’ai aperçu avec un type et un bébé, j’ai comme qui dirait fait mon ‘deuil’ ce jour là, quand je l’ai vu, me semble t’il, heureuse.
Depuis, je m’inscris à cette course chaque année, juste pour savoir si je peux le faire, ces satanés 20 kms. Cette année, je n’ai même pas pensé à regarder si elle était là ou non, à présent je m’en fiche, mais ça m’a pris beaucoup de temps.
8) Cà fait qq. années que je travaille dans la ‘vie active’. J’ai essayé qq. plan drague sur mon lieu de travail, c’est plutôt déconseiller de faire ce genre de chose. Il y a eu SAM4, suite a un sourire de sa part, j’ai commencé une petite ‘correspondance’ par mail.On s’écrivait un tas de connerie, une bonne 30taine de messages par jours, où on n’arrêtait pas de rigoler. Cette fois là, je n’ai pas mis deux ans pour tenter de l’inviter au cinoche, mais comme par hasard, malgré que le courant passait bien, elle sortait d’une relation un peu difficile donc elle a refusé. Avec les filles, j’ai toujours été un sacré veinard. Quelques semaines après, j’ai su qu’elle était mutée sur Paris, donc plus aucun contact. J’ai pleuré un peu, en même temps on ne c’était vu que 3 ou 4 fois dans les couloirs.
Voyant que cette méthode de ‘correspondance’ marchait un peu, j’ai essayé de renouveler cette façon de faire, avec deux ou trois autres filles, sans aucun succès. 
9) Il y a 3 ans environ, au premier le l’an, rencontre de SAM5. Elle est sympa, gentille, mignonne. Le courant passe bien, comme un con je ne pense pas à lui demander son numéro. J’espère la revoir au premier de l’an suivant, bien sûr elle n’est pas là. Dans l’année j’apprends qu’elle m’a envoyé une lettre, que bien sûr je l’ai jamais reçu. Peut de temps avant le deuxième Jour de l’An, je la revois au restaurant où je mange tous les jours. Le lendemain, je me décide à lui écrire une lettre, lui déclarant plus ou moins mon envie de la revoir. Il semble que la période de deux ans de réflexion, soit récurent chez moi. Au Jour de l’An, elle n’est pas là, j’apprends qu’elle est sur Paris et qu’elle est ‘maqué’ avec un policier.
10) Cet été, au mariage de mon cousin. Je fais la connaissance de deux filles SAM6 et SAM7. Je sympathise avec SAM6, danse avec elle, discute, puis plus rien. Je pense que c’est de ma faute, sur ce coup là, je ne me suis pas assez ‘occupé’ d’elle. En effet, pendant les ‘fêtes’, j’ai la fâcheuse tendance à ne pas picoler et vouloir ‘aider’ tous le monde, apporter les plats, faire la vaisselle, ranger, … Plus tard, SAM7, qui, j’ai l’impression, a des vues sur moi, commence à me parler, patati patata, elle m’attire pas plus que çà, je la trouve trop autoritaire à mon goût. Fin de la soirée, pratiquement tout le monde est parti, j’aide les personnes restant à préparer le retour de mariage. Le lendemain, il ne se passe rien, je discute avec SAM6 et un peu avec SAM7. Fin d’après midi, elles m’invitent à boire un verre. Une fois de plus, comme le gros con que je suis, je me sens obligé d’aider à ranger avant de les rejoindre. Je pensais en avoir pour 1 heure grand maxi, ben non, çà a duré plus de 3 heures. Bien sûr, je suis aller au rendez-vous avec plus de 3 heures de retard, et évidemment il n’y avait plus personne. J’ai vraiment le c.. bordé de nouilles. Quelques jours après, j’envois un émail ‘collectif’, une blague à deux balles, avec SAM6 et SAM7, entre autre, en destination, en espérant avoir un ‘retour’ de la part de SAM6. Mais rien, aucune réponse, puis le lendemain, SAM7 me répond. Ce n’est pas elle qui était convoité au dépard, mais bon, essayons, je n’ai rein à perdre après tout. Il s’ensuit une légère correspondance par mail de 2 mois, tout l’été donc, jusqu’à une ‘engueulade’ entre nous deux après une mauvaise compréhension des désirs de chacun, fin de la correspondance. Et depuis… rien, nada, quedal.

Aujourd’hui, je suis comme ce type dans un avion, qui doit sauter en parachute et qui se trouve tétanisé devant la porte de l’appareil à 20 000 mètres d’altitude. Avec cette peur du vide qu’il lui bouffe les tripes et n’attendant qu’une chose, qu’on lui donne un bon coup pied dans le c.. pour sauter. Il se sait pourtant qu’il va prendre son pied à « sauter », il sait aussi qu’il y a des risques de plantage. Mais ce n’est pas de çà qu’il a peur, il juste peur de ce vide, cet inconnu. Peur du saut uniquement.

C’est dingue, après tous ces échecs j’en suis à me demander comment une femme me perçoit, gros, petit, moche, laid? Je n’en sais absolument rien. Je suis bien conscient de ne pas avoir le physique de Brad Pitt mais je ne crois pas non plus, enfin j’espère, avoir le physique de Quasimodo. Je ne peux pas m’empêcher de m’interroger. FIN

27 réflexions sur “Sam en tas

  1. Putain de bug, j’ai le flemme de tout retper. Je vais la refaire plus rapide.
    1) Quel age astu?
    2)Tu parles de tes plans foireux, aucun n’a réussi?
    3)Même si ca reste de jolies paroles, dit toi avant de sauter « Et puis merde! Rien à foutre de ce que pense les autres »

  2. J’ai aussi l’impression de lire un résumé de ma vie amoureuse passée…
    Je n’ai pas encore trouvé de solution à ce problème comprenant entre autres le syndrome du chic type (celui qui aide tout le temps, qui veut être gentil avec tout le monde,…), une timidité maladive, l’interprétation souvent foireuses de pseudo signes de la part de filles et surtout la peur d’avouer ses sentiments (2 ans pour le faire et se prendre un vent, j’ai testé aussi, c’est assez dur). En définitive c’est une question de confiance en soi, et c’est pas facile à acquérir. Ca vient malgré tout avec le temps et la pratique ( et quand t’es bourré aussi, mais ce n’est que temporaire 🙂 )…

    Parmi les Vingtenaires féminines, est-ce qu’il y en a qui sont tombées sur des mecs dans notre genre? Ca a donné quoi? Comment percevez-vous les mecs de ce style?

  3. Le conseil qu’il te faut. Alors relis-le bien plusieurs fois, et laisse mûrir cela dans ton crâne.

    « Arrête de t’écouter, et fonce ! »

  4. ça me rappelle l’histoire d’un de mes ex. J’ai été sa première copine (il avait 27 ans à l’époque). On a d’abord été amis, c’est vrai qu’il était assez maladroit et peu sûr de lui, je n’aurais jamais pensé sortir avec lui le considérant comme un ami, et puis sa gentillesse m’a séduite. On est resté que quelques mois ensemble (son manque d’assurance et son étouffement on eu raison de notre histoire) mais ça l’a beaucoup aidé à reprendre confiance, il a rencontré d’autres filles, ça n’a pas forcément marché, puis il a rencontré LA fille avec qui il vit à présent depuis plusieurs années! Donc ne perds pas espoir, prends confiance en toi, tu n’as rien à perdre, et toi aussi tu finiras bien par trouver quelqu’un.
    Bises,
    Steph.

  5. ‘peut de l’inconnu’ ‘j’en suis à me demander comment une femme me perçoit’ …

    je pense que
    1- la peur de l’inconnu ne mene à rien, il faut donc réaliser que tu n’as rien a perdre.
    2- ‘Penser à la perception que les femmes ont de toi’ te fera te rendre compte que le plus simple et le plus ‘effcicace’ c’est d’être tel que tu es, naturel.

  6. J’ai également l’impression de voir ma vie affective mais en mec lol. J’pense que la confiance en soi viendra avec le temps, et qu’il faut patienter et rester le plus naturel possible. Et puis le jour où on hésite trop, c’est que c’est peut-être le moment, alors autant y aller, on sait jamais ce que la vie nous réserve ^^ ! (j’adore ce blog, continuez avec vos articles !!!!)

  7. @ Grr
    1) 30 ans.
    2) Aucun, tu as là le résumé de toute ma vie sentimentale, tout est là, le meilleure comme le pire … et beaucoups de vide.
    3) Merci. 🙂

    @ Armani
    Ce n’est pas facile, en effet, de prendre confiance en soi. Et cumuler les écheques n’arrange rien au problème.
    Trés bonnes tes questions, j’aimerai aussi connaitre les réponses des femmes qui voudront bien y répondrent.

    @ Gé
    j’espère que tu as connu plus de succès que moi. 🙂

    @ Grognon
    J’ésais, mais savoir pourquoi, il m’arrive de sacré bricole quand je fonce sans réfléchir.

    @ Steph
    « son manque d’assurance et son étouffement on eu raison de notre histoire »
    Comment çà?

    « toi aussi tu finiras bien par trouver quelqu’un »
    merci. 🙂

    @aLex
    1) en cherchant un peu, il y a toujours quelque chose à perdre, fierté ou autre, mais je suis d’accord avec ce que tu dis.
    2) merci. 🙂

  8. @ mimy
    J’ai l’impression d’avoir été trop patient, justement, aujourd’hui, j’aimerai essayé de faire avancer les choses un poil plus vite.
    Merci pour ton com. 🙂

  9. Des râteaux, on s’en est tous pris, même moi (ahahah!;))

    Je crois que la drague est un art très difficile, se jeter à l’eau, c’est vraiment compliqué. Techniquement, on risque pas grand chose mais je sais que je n’ai pas tellement de courage à ce niveau-là…

  10. Si ce n est un tout petit peu plus de reussite, je pourrai presque la voir ecrit ce message…
    Je suis du genre timide et qui reflechit carrement trop dans ce genre de situations, je cherche a interpreter tout et rien, donc je me plante, je perds mon naturel etc… J aime a dire que mon cerveau cherche a me tuer.
    Et comme toi je suis super veinard. Je suis attiré que par les filles compliquées, faut croire, et/ou au mauvais moment. La derniere avec qui j aurai pu etre, on s entendait super bien, ca passait bien, je sais que je lui plaisais mais pas de bol elle devait partir a 500 bornes de la (pas genial pour debuter une relation) et n etait pas du genre super sure d elle ce qui fait qu elle a préféré qu on s en tienne la et ne meme pas essayer…
    Parfois je me dis que meme si ca doit etre souvent relou de se faire draguer jusque dans le metro par des abrutis, ca doit quand meme etre agreable d etre une fille et de ne pas avoir a faire le premier pas (je sais que certaines le font, mais bon)…
    Enfin bon, je sais que ca viendra en son temps, suffit de tomber sur la bonne.;-)

  11. Je ne dirais qu’une phrase à ce sujet qui est tirée d’une réplique de film:  » toi mon petit, t’es trop de la tête et pas assez des roubignolles! »

  12. @ Nina
    « je n’ai pas tellement de courage à ce niveau-là »
    ce n’est pas l’impression que j’ai eu en te voyant.

    @ Fei
    « etre agreable d etre une fille et de ne pas avoir a faire le premier pas »
    C’est ce que je me dit souvent. Elles sont comme les videurs des boites de nuit. « Toi tu rentres, toi tu ne rentres pas, fallait pas acheter des nikes à 500 balles, une paire de mosacins à 10 euros et c’était bon » (maxime, je crois) 🙂

    @ zibro
    oui, je ne doit pas être assez matcho. 🙂

  13. ‘ Parait que ça arrive à un moment où on ne s’y attend pas …

    Possible que ce soit vrai, mais j’attend toujours. Comme vous tous apparement.

  14. @ Un passant
    « mais j’attend toujours »
    moi aussi, et crois moi çà fait ttrrrrèèèèsss longtemps. 🙂

    @ Jul
    « Mais cette phrase en application »
    Le problème c’est que que je vois personne à fuire ou à suivre. 🙂

  15. Personnellement je n’ai jamais dragué qui que ce soit, je n’ai donc aucune connaissance de l’attirance que je suis capable de produire chez une femme.

    Parce que Cathy a été la première, et la seule.

    Ceci dit, j’ai jugé que ma relation, même amicale, avec Aurore était assez forte pour me prouver que je pouvais plaire à une autre fille que Cathy.

    Ca m’a suffit.

    Thom…

  16. @ Thom
    « je n’ai jamais dragué »
    draguer ou séduire, pour moi c’est un peu la même chose. Si tu files le grand amour avec Cathy, c’est que quelque part tu as réussis à la séduire. Donc on peut dire tu as une connaissance de ton attirance. 😉

    Pour ma part, quand je dis que j’ai du mal à évaluer ce que pense une femme de moi, c’est parceque je n’ai connu que des échecs. Dans ce cas là, ce n’est pas franchement facile d’avoir confiance en soi.

  17. Je reste quelque peu pantois à la lecture de cet article et des commentaires y afférant. Je retrouve pratiquement trait pour trait mon « histoire » personnelle, au parcours scolaire près, avec tout autant de succés que moi. Je pensais être un cas isolé et visiblement, ce n’est pas le cas !
    Quelque part, c’est réconfortant de savoir que l’on est pas le seul à avoir ce type de passé où les tentatives sont rares et les succès absents. Nous sommes donc plusieurs à nous poser les mêmes questions et avoir un point de vue convergent sur les relations amoureuses.
    La parabole du parachustiste est excellente, à laquelle je rajouterais juste le fait qu’il n’y a pas de parachute de secours, et que la manière dont est plié le principal est inconnue.

  18. Je n’ai pas de plan drague à te conseiller , car le meilleur plan est encore de ne pas en avoir et de rester naturel. Je sais ca fait cliché mais un jour viendra ou l’amour tapera à ta porte et tu ne le verras pas arriver mais tu le sentiras!!
    sinon tu as essayé de jouer au loto qui sait tu auras peut etre plus de chance.

  19. C’est « l’extension du domaine de la lutte ». Comme il y aurait des différences de classe entre gens nantis et gens pauvres, il y aurait la même « lutte des classes » pour le sexe. Il y aurait les gens avenants, épanouis avec une vie sexuelle bien remplie et les autres, les frustrés, les timides et les refoulés. C’est la thèse prégnante que défends l’écrivain Houellebecq. C’est une thèse qui fait de nous de « simples bovins dans une étable ». Le matérialisme ultime. Ta vie s’inscrit parfaitement dans ce shéma insupportable. Tu n’es qu’un faire-valoir. Tu n’es jamais au bon endroit, alors que « les choses intéressantes se passent ailleurs, où tu n’es pas. »

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