Le démon tentateur (épisode 2)

Le début

La fin de l’année scolaire approche, tout va être fini. Je ne me fais pas à cette idée. Les soirées à la radio se multiplient (ils avaient refaits les locaux, au passage, c’était beaucoup plus convivial), on fait un vernissage du défilé du 1er mai 2002 (manifs anti-Le Pen, pour ceux qui n’ont pas suivi). Cette soirée tourne au n’importe quoi : on boit, on fume, on est pétés, on descend dans le studio enregistrer une émission totalement délirante puis les garçons veulent aller boire un verre à l’extérieur, Elodie et moi suivons. Tout est fermé. Or qui habite juste à côté de la radio ? C’est moi. Qui a un appart dans un bordel monstre ? C’est moi. Mais ils insistent, je finis pas céder. Pour terminer dans le n’importe quoi, j’ai rien à boire et mon frigo est décédé donc je leur sers des briques de jus de fruits rafraîchis dans une casserole d’eau froide. La lose complète. Je propose à Elodie de la ramener en voiture et sert la même offre aux garçons qui déclinent : Fabien est saoul et veut marcher pour s’éclaircir les idées. Dommage, ça aurait été le dernier à déposer !

Pique-nique

Après la dernière émission, je propose un pique-nique près d’un lac voisin : je suis prête à tout pour gagner quelques heures. Quelques jours avant, j’appelle Fabien pour organiser tout ça, je lui demande s’il a des verres en plastique. « Attends… Sandra, on a des verres en plastique ? » Merde, je l’avais oubliée, elle ! Je lui demande s’il connaît le lac : non. Zut, je suis nulle en orientation. « Pas de soucis, je suis bon en orientation, je te servirai de copilote. On se complète ». Heureusement, ça se voit pas quand on rougit comme une tomate au téléphone. Tout s’organise à merveille : Julien prendra sa voiture et embarquera Elodie et Maxime, je serai seule dans la voiture avec Fabien. Finalement, comme j’ai jamais de chance, ça ne se passe pas comme ça. Elodie ne vient plus et la voiture de Julien a un soucis donc on s’entasse dans la twingo de ma sœur (ma propre voiture étant au garage), Fabien à mes côtés. Un merveilleux copilote : il mate le paysage et me demande régulièrement : « d’après toi, c’est un champ de quoi, là ? » Non, Fabien, c’est pas du cannabis et je suis nulle en botanique. On arrive au bord du lac, j’ai une ampoule fantastique au pied et je souffre. On s’installe à l’ombre, moi à côté de Fabien (je ne perds pas une occasion). Julien et Maxime partent jouer au foot et là, une scène d’anthologie se produit : alors qu’ils courent après le ballon, ils glissent et s’étalent majestueusement dans une énorme flaque de boue. Mais quelle rigolade ! Ils en ont partout, une hécatombe. Du coup, ils vont se rincer dans l’eau et Julien réalise qu’il avait rangé ses cigarettes dans la poche de son caleçon… Donc nous voici avec des clopes aromatisées à la vase, miam ! Bonne journée, je ne quitte pas Fabien, on joue aux cartes et on se cherche un peu, je bronze en bikini, quelle douce journée… Au retour, mon copilote est tellement efficace qu’on se retrouve sur l’autoroute, pas du tout là où il faut. Une demi-heure plus tard, nous revoici sur le bon chemin. Je largue tout ce petit monde devant chez Julien, je sors de la voiture pour leur faire la bise et là, Fabien me regarde en rigolant : je suis rouge écrevisse. Effectivement, merveilleux coup de soleil sur la tronche, trop glamour.

Le lendemain, dernière émission, c’est émouvant, il me provoque un peu, comme à son habitude (son jeu : me faire rire en pleine émission). On rit, on fume, du grand n’importe quoi. Le soir, il y a une assemblée générale, très chiant, très long. A la fin, Elodie et son copain (elle est revenue avec le premier, entre temps) me propose d’aller au resto avec eux, ce que j’accepte avec joie. Elle propose à Julien et Fabien (Maxime n’étant pas là) de se joindre à nous, le premier décline. Nous voilà donc à quatre pour le resto, ça fait presque deux couples. Durant le repas, Fabien me dit pour rire qu’il me voit bien présentatrice radio de la nuit avec ma voix suave style « sexo-conseil »… ou remplacer Séverine Ferrer à Fan 2, trop sympathique. Durant la conversation, Elodie lui demande cash : « mais c’est qui la fille qui vit chez toi ? C’est pas ta copine ?

– Non, c’est une amie de ma sœur. Elle a trois jours de cours sur Toulouse donc elle dort sur mon canapé. »

Oh, je suis heureuse ! Ciao la belle brune ! On passe une sublime soirée, je suis sur mon petit nuage. J’avais pris mon appareil photo pour terminer une pellicule, je prends tout le monde en photo et fait une photo somptueuse de Fabien (comme dira ma mère plus tard : « qu’est-ce qu’il a de beaux yeux, ce type ! »), à rajouter à celles prises au bord du lac et à la radio.

 
Je prête pas !

Et là, c’est le « drame ». Je récupère les photos et vais chez Anne. Sur la pellicule, il y avait des clichés de l’enterrement de vie de jeune fille de sa sœur et là, elle tombe sur les photos de Fabien. Elle l’avait croisé une fois à la radio, il était arrivé, l’avait regardé des pieds à la tête avant de lui taper la bise. Anne regarde les photos : « regarde-le, il le sait qu’il est beau ! Il est célibataire ? » Alerte ! Alerte ! Alerte ! Que faire ? Je ne peux pas interdire à Anne de tenter sa chance, je ne peux pas le garder égoïstement pour moi… Alors, je feinte : « tu sais, je l’ai vu torse nu, il est super poilu. » « Ah, beurk ! » Bien joué. (excuse-moi, Anne).

Pendant ce temps, je quitte mon appart pourri malgré le frigo tout neuf, je cherche, je cherche. Et là, je visite un appart pas trop mal tout proche du sien… Je ne peux le refuser ! Je suis toute guillerette à l’idée de me retrouver proche de lui, ça va aider à resserrer les liens. Quelques jours plus tard, il m’appelle pour me remercier pour les photos que j’avais scannées et distribuées. Je suis en vacances au bord de la mer avec Guillaume, je roucoule au téléphone. Il m’explique qu’il va servir dans un resto. Je note. Tout l’été, je passe pas loin du resto, je jette un discret coup d’œil mais je ne l’aperçois jamais. Du coup, un soir, j’embarque Maxime sous le bras et on va lui faire un coucou.

La rentrée arrive, j’organise un repas chez moi (j’en perds pas une), sur le thème : « tu as vu comme j’habite pas loin de chez toi ? ». Délicieuse soirée, Fabien passe à la cuisine voir si je n’ai pas besoin d’aide. Et lors de cette soirée, il s’est passé un truc. Un petit truc, rien de grave. Il avait amené les photos de ses vacances en Egypte avec son frère et sa sœur. Au moment de partir, je dis : « vous n’avez rien oublié ? » Je le vois jeter un œil sur ma table puis il nous rejoint dans l’entrée, bisous, bisous. Le lendemain, en faisant du ménage, je découvre la pochette photo posée négligemment sur la table. Je suis sûre qu’il avait regardé ! Du coup, je l’appelle mais il doit partir bosser au resto (un nouveau, je passe devant tous les soirs pour rentrer chez moi). Du coup, j’ai toujours les photos avec moi.

Les rapports se distendent

Nos rapports s’espacent, on se voit une fois tous les deux mois à tout casser. Un jour, il nous annonce qu’il organise une table ronde sur son sujet de thèse, je ne peux pas rater ça. Donc, j’y vais. En chemin, il me saute dessus, tout élégamment vêtu et on discute. Je lui explique que la rédaction du mémoire me prend la tête et là, il me fait : « mais pourquoi ? Tu écris très bien. » Je fonds ! Je lui avais filé l’adresse de mon site perso de l’époque où j’avais mis des nouvelles et extraits de romans dessus. Je sais qu’ils les avaient lus. Seigneur, mon cœur bat encore, ça va suffire cette histoire ! On rentre dans la salle, je m’installe et la conférence commence, je prends des notes et là, j’aperçois deux personnes : une femme d’une cinquantaine d’années assez costaud et une jeune fille brune à ses côtés, l’air un peu effacé. Et là, je comprends, je ne sais comment, que cette dame est sa mère mais la jeune fille ? Sa cousine ? Ce n’est pas sa sœur en tout cas. Quelques jours plus tard, j’apprends par un copain que c’était sa copine. « Ah, il a une copine ? » s’exclame une copine. La secrétaire de la radio (oui, moi, j’y étais restée) nous explique que oui, elle le savait, elle. Moi non, il ne m’en avait jamais parlé. A-t-il fait comme moi avec Guillaume ? Je ne sais pas.

Du coup, je me ressaisis enfin : fin de l’aventure, je l’oublie. Mais il reste proche de la surface de ma mémoire et resurgit de façon toujours inattendue à partir de là. La dernière fois que je l’ai vu, c’était en octobre 2004. Je viens au Mirail déjeuner avec Guillaume et Lucie (j’avais changé de fac) et je croise Julien et Elodie : « ça alors, c’est dingue ! On a croisé Fabien à la fac, ce matin, aussi. » Fabien est là ? Je rêve ! Il ne vient jamais et là, nous voici en même temps sur le campus. Enfin, si on se croise, c’est pas gagné. J’apprends qu’il a mis de côté sa thèse pour passer l’agrégation. Je déjeune en guettant l’entrée de la cafétéria mais point de Fabien. J’accompagne Guillaume et Lucie à leur amphi mais point de Fabien. Bien, je me résigne mais avant de partir, je dois passer aux toilettes. En entrant dans l’UFR, il est là, à la machine à café. Je m’approche de lui, veux lui glisser un mot à l’oreille mais je me contente d’un salut un peu lointain et sonore. Il semble ravi de me voir, il me propose un café mais je décline l’offre, on discute dix bonnes minutes, je reçois une salve de compliments (« tu es la plus forte, la meilleure… ») puis il se décide à aller en cours alors qu’il est en retard. Mon cœur bat la chamade, un sourire immense s’étale sur mon visage.

Puis je ne le reverrai plus. Mais il reste pas loin de mes pensées. Un jour, mon portable sonne : Fabien. Je décroche et babille, il me propose un barbecue pour le lendemain que je m’empresse d’accepter mais me ravise : je dois dîner avec Guillaume, le lendemain…Déjà qu’on ne se voit plus beaucoup… Du coup, je laisse l’invitation en suspens. Le soir-même, j’avais rompu avec Guillaume mais je ne suis pas allée au barbecue, trop triste.

Dernier « rebondissement en date ». Pour l’année 2005, j’ai envoyé un mail commun à tout mon carnet d’adresse pour souhaiter la bonne année, j’avais intitulé ça : « communication du gouvernement ougandais » (je suis inspirée, moi, des fois), il me répondit ceci : « Réponse du quai d’Orsay : je te souhaite aussi une année 2005 pleine de bonheur et de santé. Qu’elle te soit profitable et que tes projets se réalisent comme tu l’entends. Reste en tout cas celle que je connais, une fille pleine de vie et très drôle: des atouts indispensables pour réussir. Gros bisous, Fabien ». C’est idiot mais ça m’a fait super plaisir.

Depuis, plus rien, il se perd dans les limbes de mes souvenirs pour ressurgir dans mes rêves sans raison. Et à chaque fois, ça me perturbe : ne l’oublierai-je donc jamais ? Certains me demanderont pourquoi je n’ai rien tenté une fois célibataire. Je me le demande aussi, j’y ai pensé plusieurs fois mais rien ne me dit qu’il soit célibataire. Et puis, j’ai tellement rêvé de lui, j’ai peur de la chute. A présent que je suis partie de Toulouse, je pense que je ne le verrai plus. Ça ne devait pas se faire, c’est tout.

51 réflexions sur “Le démon tentateur (épisode 2)

  1. ah enfin la suite-et-fin!! une nuit ey une journée à attendre, c’est trop long!!!!!
    Il ne sera resté qu’un fantasme, si j’ai bien tout suivi…. et l’autre *£%£µ§ d’hier soir qui pétait un cable….

  2. …….. Oh c’est super touchant ton histoire ..

    J’ai aussi vecu une histoire dite *fantasmagorique – platonique* et parfois j’y repense : et si on avait sauté le pas, et si ….

    Mais en même temps, si la relation s’était concrétisée elle ne me serait peut être pas restée comme un doux souvenir .. 🙂

    Bisous à toi ..

  3. Oh ben zut alors, c’est une triste histoire… moi je pensais quand même qu’il y aira eu un peu plus de rapprochements mais en fait aucun d’entre vous n’a osé faire le premier pas, ça tient à peu de choses des fois…

  4. J’aime bien les flirts platoniques comme ça… on en garde que le meilleur. Mêmesi c’est rageant tout de même d’être passée à côté d’une eventuelle belle histoire. Mais dans 10, 20,30 ans, tu te souviendras encore de lui, tandis que de tes amants… nada.

  5. Gloups je t’enmerde.

    Ca confirme au besoin ce que je pensai. Tu es vrrément malhonête, cé dégueulace de fentasmer sur un garcon en sorten avec qqun. cest ca aussi, etre infidele. Jespère au fond que guillaume (pas le trou de bal, mais ton pauvre ex) a été aussi malhonete que toi, a bavé en secret sur une fille et guetter la moindre ocasion pour espérer un flirt avec elle, car c bien ce que tu fesai toi.

    Finalemen, je ne regrète pa que tu soi une pauvre fille a papa au chomage, c bien la qu’est ta place. Passe ton temp a te faire sauté par tes lecteur, comme trou de bal do breizh, et a voter extreme gauche en 2007, ca te va si bien d etre une pauvre fille.

    Bisou a tous

  6. Ofelia for president!!!!!

    youhou!!!

    Ofelia!! Ofelia!! Ofelia!!

    Bon écoute fillette, si tu es une personne qui a un mauvais fond ne vient pas déverser ta haine ici.
    Son attitude ne te plait pas, soit je vais te dire qu’à Nina non plus mais c’est ainsi des fois on ne contrôle pas ce que l’on ressent.
    Il y a plusieurs années j’aurais pensé légèrement comme toi mais j’ai vécu depuis…

    Et si tu n’est pas capable de faire un commentaire sans insulter quelqu’un je te conseille d’aller voir un medecin car tu es peut être atteinte par la maladie de Tourette.
    Et tu m’as l’air plus près de la pauvre fille que nina mais cela n’engage que moi.

    Pour terminer je rappelle à tout le monde que je ne suis pas un trou de balle mais commissaire de police.

    ps: pour être une insulte « trou de balle » doit s’écrire « lle » à balle sinon cela signifie la pause au cours d’un concert lors d’un bal.
    Sacrée Ofelia

  7. Bonjour Ofélia
    à mon avis, tu n’as pas fini d’aller au devant des grandes désillusions dans ta vie, si tu crois que tout est aussi simple. Le monde n’est pas noir ou blanc, il y a toutes sortes de nuances de gris entre deux.
    Je pense que toi aussi tu connaîtras un jour la même chose, d’être avec quelqu’un que tu aimes sincèrement et de te sentir attirée par quelqu’un d’autre et tu verras alors que ce n’est pas si simple que ça, et qu’il n’existe sans doute pas pire déchirement que celui-là.
    Mais bon, je suis d’un naturel optimiste et je me dis que ton intolérance (et ton orthographe…) s’amélioreront au fil du temps.
    D’un autre côté, j’envie ta naïveté et ton innoncence, le réveil et l’atterrissage dans le monde réel sont en général très durs.
    Bon courage pour la suite, tu en auras besoin.

  8. Merci! j’ai passé toute ma journée d’hier a glander au boulot et ton blog m’a permis de passer le temps tres agréablement 😉
    plus serieusement bravo, c’est marrant, bien ecrit et tout et tout, que du bonheur!

  9. Ofélia mon amour,

    tu as gagné je suis fan!
    Au début je l’avoue, je voulais brouetter Nina. Mais là, je suis un peu perdu, je ne pensais pas tomber un jour sur une personne comme toi. J’aime ton verbe haut, ton orthographe imaginative, ton cheminement de pensée capable de déterminer une orientation politique à partir d’une improbable infidèlité. Je t’aime, je suis tout à toi. Tu pourra m’enfermer chez toi, m’arracher les yeux pour que je ne regarde pas les autres femmes. Pour toi je voterai extreme droite.

    Ofélia, fais moi mal!!!

  10. bonjour messieurs et mesdames, je suis un petit nouveau sur ce blog et je me permet de réagir aux propos de miss Ofelia.
    je crois que l’intolérence de cette jeune dame devrait etre un explemple pour nous tous car voici le genre de discours de haine qui amene notre société au bord du gouffre. facile de critiquer, juger et insulter sans écouter. Facile de dire ceux qui font ça c’est des « cons » ou des « trou de balle », mais tout c’est vide n’apporte aucne réfléxion et montre le niveau d’amour de cette personne, vide. voilà j’ai pris beaucopu d’espace et je m’en excuse mais j’ai horreur des gens intolérents qui n’ont aucune envie de dialoguer.
    voilà merci à tous et spècialement aux gens qui font vivre ce petit espace sympa!! et vive Nina!!

  11. ben moi ofelia elle me fait bien marrer !
    j’aime beaucoup !
    mon seul regres c’est de devoir dechiffrer phonetiquement ta prose pour le reste j’adore !
    je suis pas d’accord avec tout, mais un peu de polemique delicatement introduite c’est pas pour me deplaire
    et puis : « gloups je t’emmerde » quelle entrée en scene ! c’est theatrale, c’est magestueux !

    sur le fond la donzelle a pas completement tort, son point de vue se defend, c’est vrai que Nina tu bavais en secret sur un autre keum que le tien, personne n’est maitre de ses sentiment mais l’honneteté envers ton petit-ami de l’epoque aurrait du te pousser a lui confier ton emois pour que vous en discutiez ensemble et ainsi determiner ensemble si cette « passade » etait ou non synonyme de mal-etre dans vote couple, et ensuite resoudre si besoin en etait. je pense que c’est un peu ca que voulait signifier la douce ofelia(bon bien sur elle le dit avec se mots a elle), me trompé-je ?

    bon d’un autre cote a 20 ans on a pas forcement le recul necessaire pour faire les bon choix, enfin les « bons » choix je veux dire les choix les plus justes (dans le sens justice-equité j’entend !).
    par contre ce que je n’explique pas dans les propos de la delicieuse ofelia c’est cette aversion quasi chronique pour le commissaire Nico … peux tu developper en argumentant ?!

  12. Ofélia, j’espère que t’as trouvé la sortie…Tu sais la pitite croix dans un carré rouge en haut à droite de ton écran…et à plus jamais j’espère…Avec toutes mes désolations pour ton pauvre esprit et avec tous mes remerciements pour cette merveilleuse contribution qu’on te foure tous dans ton tout mignon ( ,*, ) (remarque : c’est sensé être un charmant trou de bal…de balle pardon!!)

  13. Chouette plus d’action dans les notes que dans le poste….. bon je sais c’est un peu échnat mais j’avais écrit un beau post sur mon blog sur dismissed et ça a disparu… pour une fois que je me sors les doigts du….
    Quant à Ofélia c’est bien connu , c’est le prénom a la mode chz les trolls cette année.
    Allez si j’ai le courage je le retape ce post …

  14. Rhoo 🙂

    Merci de nous faire partager ta vie 🙂

    Juste une petit commentaire de rien du tout à propos d’une erreur d’orthographe (dans le premier paragraphe de pique-nique) :
    « d’après toi, c’est un chant de quoi, là ? »
    « d’après toi, c’est un champs de quoi, là ? »

    Enfin, moi se que j’en dis … j’ai toujours eu zero en dictée…

  15. m’enfin tout ça nous éloigne de l’essentiel c’est à dire ou en ai le fameux concours du mec plus ulra du blog!!! j’suis juste spétateur car c’est pour les mecs sexy en participation et c’est pas trop mon cas et j’suis pas homosexuel donc pas jury (quoique je suis pour tout apprendre et j’ai testé le soft).

  16. Rhoo Loui boude pas c’état qu’une vanne. 😉 du coup je me suis taper tous les postes de ton Blog qui est tres bien

    (là comme ça c’est moi qui fait la pub)

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