Baise ton patron

L’autre jour, je vous parlais de miss épilation au travail d’Enzo. Depuis, elle en a fait quelques unes de belle dans le genre « Hihi ranafout! » et ça me fout en colère. Quand tu vois des connasses pareilles salariées qui s’en foutent ostensiblement  et des gens motivés au chômage, j’ai envie de hurler aux nuages noirs d’orage « il y a quelque chose de pourri dans ton monde, travail ! » (en vrai, je ne crie rien aux nuages mais je regarde beaucoup de telenovelas en ce moment, ça m’apprend la théâtralité). Lorsque j’ai préparé le fameux article sur miss Épilation, lors de ma … Continuer de lire Baise ton patron

Voilà pourquoi je ne vais jamais chez le docteur

Aujourd’hui, je vous dois une confidence : en tant que fille de médecin, je suis victime du syndrome des cordonniers mal chaussés. En un mot : je ne vais jamais chez le docteur, je demande tout à papa. Ce qui fait par exemple que j’ai des lunettes tordues sur le nez (il est pas ophtalmo mon père et y a des jours où je lui en veux un peu pour ça) et que j’ai dû lui demander des antibio pour soigner préventivement une potentielle chlamydia. Ce qui l’a fait marrer, mes parents ont un super sens de l’humour. Mais voilà, depuis ma plongée à … Continuer de lire Voilà pourquoi je ne vais jamais chez le docteur

L’étrange stratégie de la froideur

L’autre soir, je matais distraitement une série australienne Nos vies secrètes où on retrouve notamment une nana qui jouait dans Hartley Cœur à vif (Jodie la chanteuse). A un moment, un mec est en rendez-vous avec une fille et comme il n’a pas envie d’aller plus loin avec elle, il se lance dans la stratégie de la froideur : « je réponds par monosyllabe et je ne la regarde plus jusqu’à ce qu’elle parte d’elle-même ». Je n’ai qu’une chose à dire : crétin. Bon, prenons au hasard une fille, moi. Oui, je me prends en exemple, je me connais bien, c’est plus pratique. Donc … Continuer de lire L’étrange stratégie de la froideur

Jamais contents !

La semaine dernière, comme vous le savez, j’ai donc commencé un boulot, un CDI donc voilà un de mes grands drames existentiels réglés. Or pas mal de gens qui m’ont félicitée pour ça y ont joint une étrange phrase : « bon, maintenant, te reste plus qu’à te trouver un mec bien », ce à quoi, j’ai très honnêtement répondu : « heu, ranafout, là, tu vois… ». Bon, il est vrai qu’à 27, peut-être que je devrais penser à trouver le futur père de mes 3 enfants parce que je vais pas laisser n’importe quel sperme féconder mes ovules … Continuer de lire Jamais contents !