Bi l’an

Chaque année, nous voici face à un terrible moment, en ce mois de décembre : le bilan de l’année. Personnellement, j’en fais toujours deux par an (d’où le titre, je suis en forme pour les jeux de mots à la con, en ce moment) : un en juin, lors des vacances et un en décembre, à la fin de l’année. Mes rêves pour 2005 se sont-ils réalisés ? Heu…
 
La santé
Rien de particulier à signaler, j’ai toujours mon appendice et mes amygdales, je ne me suis pas encore reproduite. Aucune maladie particulière ne s’est manifestée, si ce n’est mon mal de cou chronique en été qui me bloque. Sinon, je suis toujours en parfait état de marche, merci.
 
Les études
Terminées, donc, le point positif de l’année, je pense. J’ai plutôt bien réussi cette année de master, je suis assez contente du résultat si ce n’est que le directeur de master semble avoir une dent contre moi : il m’a foutu un 2,5/10 qui ne me semble pas justifié (si ce n’est par le fait que nous sommes en désaccord sur le sujet) et un 13 au rapport de stage là où les autres ont eu entre 16 et 19… Et une mention bien qui s’envole, du coup. Peu importe, comme m’a dit mon tuteur de stage, la mention, les employeurs s’en foutent. Moi moins mais je me console en voyant les excellentes notes que j’ai eues dans les autres matières : c’est pas compliqué, ma moins bonne note est 11, en droit (j’en avais jamais fait de ma vie) et je culmine à 16 ou 17 en module technique. Faut dire que j’ai bien bossé cette année, mon diplôme, je le méritais. Ceci étant, je me demande encore si j’ai fait la bonne formation, tant je n’ai rien appris, mais je crois que c’est pareil pour tous les DESS. Ce que je regrette surtout, c’est que personne ne nous a aidé durant l’année. A la réunion de rentrée, mon cher directeur de master s’extasiait : « oui, dans 6 mois, vous serez peut-être à Atlanta à faire un reportage sur CNN ! ». Waouh, ça fait rêver, que de perspectives ! Résultat, au moment de chercher des stages AUCUN coup de main mais vraiment aucun. Et quand on trouvait, c’était l’apothéose. Prenons notre amie Clara qui sue sang et eau pour se dégoter un stage d’observation de quinze jours à France 3 national. Elle annonce ça à notre directeur qui fait : « ah mais fallait me le dire que vous cherchiez à France 3, je connais M. Tartempion, là-bas ! » Alors, d’une part, pour lui dire, il aurait fallu qu’on le voit et puis forcément, il a beau jeu de dire ça APRES.
 
Je me suis démerdée toute seule pour mes stages avec plus ou moins de réussite (plus pour le premier, pas du tout pour le second). Et là, voici que je reçois au mois d’août une lettre de l’IEP me demandant de filer mes contacts pour constituer un fichier… Non mais ils rêvent les yeux ouverts ! Pendant 6 mois, nous n’avons eu aucun interlocuteur, nous nous sommes démerdés seuls pour tout et là, ils arrivent la bouche en cœur et osent nous demander ça. Curieusement, j’ai omis de répondre…
 
Enfin, retenons juste qu’après 7 ans d’études, me voici bardée d’un beau bac+5… qui ne me sert à rien pour l’heure mais patience…
 
Le boulot
Bon, on va mettre les stages dans cette catégorie, histoire de…
Premier stage, tout nickel : pas rémunéré, certes, mais des tickets repas à 8,60 € par jour et la carte orange à moitié remboursée, on ne s’en sort pas si mal ! Mais surtout, on travaillait dans une ambiance vraiment bon enfant, je ne me suis pas ennuyée pendant deux mois et demi. Puis là-bas, j’ai rencontré Zoé qui est une de mes grandes amies parisiennes… C’est là-bas que j’ai commencé mon blog. J’ai des souvenirs magiques de ce stage, des expériences inoubliables qui me serviront longtemps pour mon métier. Finalement, il aurait été rémunéré avec un boulot à la clé, ça aurait été parfait.
Deuxième stage, tout faux. Dès le départ, je ne le sentais pas, j’aurais jamais dû y aller. J’explique : je réponds à une annonce sur un site Internet, j’envoie des dizaines de candidature et c’est la première (seule) réponse positive, les autres postes ayant déjà été pourvus. Donc en rentrant de Clermont Ferrand où j’avais couvert un match, traînant ma valise et pestant après la pluie qui tombe alors que je suis en t-shirt et pantacourt, je vais à un entretien pour ce poste. J’erre dans un quartier très populaire, perdue, agacée, le pauvre Gauthier se prend mon énervement dans la tête (« fais chier, elle est où cette putain de rue ! Il est trop moche ce quartier ! »). Bon, finalement, je trouve, c’est dans un immeuble dont le porche est bloquée par de grosses grilles… Ambiance ambiance ! Je sonne et j’attends, un mec vient m’ouvrir (y a pas d’interphone ?), je rentre et, ô surprise, les bureaux sont en sous-sol : le rez-de-chaussée qui doit faire 2 m² ne sert strictement à rien. Je descends, donc, l’entretien se passe nickel. Rémunération ? Non, rien de rien. Ma mission ? Je dois travailler sur la culture dans les collectivités locales et territoriales. C’est plutôt positif : je n’ai jamais fait de journalisme culturel et se faire des contacts dans ces collectivités est un bon plan. Mais avant, j’explore quelques autres pistes dont RMC. Une heure de métro pour m’entendre dire : « vous n’êtes pas assez autonome en radio mais je mets un point d’honneur à rencontrer toutes les personnes dont le CV est passé en interne. » Ben j’aurais préféré que tu m’appelles pour me dire ça directement, une heure de métro aller, autant au retour, pour dix minutes d’entretien, j’ai autre chose à faire !
 
Donc me voici à mon stage. Le premier jour, j’arrive, on me présente mes costagiaires, un sympa et un autre que je trouve mignon sur le coup (Nina, tes lunettes, tu devrais les mettre…) mais glacial comme c’est pas permis.
« Tu…tu as un or… ordi p…p…portable ?  (oui, il bégaie mon tuteur de stage)
Oui mais chez moi, je savais pas que je devais l’amener…
Ben oui, c’est mieux… En attendant, travaille sur ce poste ».
Seigneur, j’allume, windows 95 ! C’est une blague ? Bon, je passe la journée à écrire un article sur open office dans un silence de mort mais comme je suis pas connectée à Internet, je bosse vite et bien. Le lendemain, j’arrive avec mon pc portable qui n’est plus tout jeune. Trois quart d’heure avec cette foutue sacoche, ça a de quoi vous foutre de mauvais poil. Le café lyophilisé, l’absence de lumière et les frais de bouffe aussi. Alors, quelles sont mes prochaines missions ? Réfléchir à la conception du site Internet de mon tuteur de stage, un dossier sur droit et e-administration. Ah, je dois aussi faire une interview de M. Tuteur pour son site Internet… Là, ça commence à puer l’arnaque : elle est où la culture ? Comment ça, je bosse que sur le site Internet de M. Tuteur et de son association ? A partir de là, je me suis mis en état de « démission mentale », comme dirait Max sur son blog. Moins j’en foutais, mieux c’était : je séchais un jour sur deux ou presque, prétextant des maux de tête (j’ai de nouvelles lunettes) à répétition ou des conneries du genre… Un jour, le monsieur m’a quand même demandé si j’avais des problèmes de santé : « non, non ! ». Quand je venais, je partageais mon temps entre : écriture de mon blog, réponse aux commentaires, fumer, fumer, boire du café, pisser, aller chercher à manger, partir à 16h, déjeuner pendant deux heures avec des copines, prendre mon après-midi… De toute façon, dès que M. Tuteur n’était pas là, il nous foutait dehors car il n’y avait qu’un jeu de clé… Il m’est ainsi arrivé un jour d’arriver à 9h45 et de repartir à 11h30… Me vriller l’épaule pour si peu, ça a de quoi agacer…
 
En juillet, nous étions plusieurs stagiaires, un que je n’ai vu que deux ou trois fois (le glacial) et l’autre, autrement plus sympa qui ne supportait pas trop le stage non plus mais qui, lui, le faisait sérieusement. Sa mission : outre un dossier sur l’intranet (que M. Tuteur m’a demandé de relire pour corriger les fautes, me voilà secrétaire de rédaction !), il devait trouver des CV en ligne de personnes pouvant donner des cours d’informatique pour l’association… Donc on allait toujours fumer en même temps histoire de papoter deux minutes et se défouler un peu : stage de merde ! Puis vint le mois d’août où je n’allais plus travailler puisque le monsieur était en congés je sais plus où donc trois semaines à moisir chez moi en faisant semblant de travailler sur mes dossiers : droit et e-administration, mais aussi l’employabilité dans les TIC et, surtout, je devais réfléchir à comment promouvoir un magasin d’accessoires de boxe qui allait ouvrir pour un ami de M. Tuteur. Finalement, je n’ai rien foutu, j’ai terminé mon stage en ayant rien fait sur ces sujets-là et quand il a fallu rendre mon dossier sur l’e-administration en octobre, je l’ai pas fait, M. Tuteur ne m’a jamais relancée. Sur le coup, j’avoue que j’ai culpabilisé mais finalement, comment pouvait-il décemment vendre ce stage en promettant des sujets culturels ? Comment pouvais-je sortir de là la tête haute en disant que j’avais acquis une nouvelle expérience journalistique ? La cata.
 
Et depuis ? Rien. Quand tout se passe bien, le dernier stage est celui qui permet de trouver du boulot, raté ! Mais en ce moment, je suis en mode recherche activé, je regarde même les stages car je préfère un stage faiblement rémunéré que rien foutre chez moi. Je suis journaliste, pas testeuse de canapé.
 
Amitié
Là, encore, il y eut des hauts et des bas, des amitiés éphémères, certaines sont nées, d’autres sont mortes.
 
Commençons par mon ex meilleur ami, Yohann… Et bien ça fait maintenant un an que je n’ai plus de nouvelles de lui et je ne sais absolument pas pourquoi. La dernière fois que je l’ai vu, j’ai pressenti le malaise… En fait, je l’ai trouvé par hasard à une caisse à la FNAC l’hiver dernier. Oui il faut savoir qu’il vit depuis deux ans en Suède et ne rentre que pour Noël et en été… Donc là, surprise : le voilà en France ! On discute et on s’arrange en rendez-vous. J’ai la sensation curieuse qui si nous nous étions pas croisés ce jour-là, je ne l’aurais pas vu… On se retrouve donc le jour dit, on papote, je me dis que je me fais des idées, on se file un autre rendez-vous mais il m’appelle la veille pour me dire qu’il a pas le temps de me voir mais pour se faire pardonner, il me livre un scoop sur les Feux de l’Amour. Oui, avec Yohann, les Feux de l’Amour nous faisaient hurler de rire, on adorait quand Victor buvait avec insistance dans un verre vide et ce genre de trucs à la con. Alors voilà, près de 10 ans d’amitié et la seule chose qu’il a à me dire, c’est une connerie sur un soap opera ? Là, je ressens le malaise. Je pars sur Paris, j’envisage de lui envoyer un mail pour lui dire mais c’est bientôt mon anniversaire… il oublie. Et depuis ? Plus de nouvelles. Il ne m’a pas appelée cet été quand il était sur Toulouse (il ne sait pas que je vis sur Paris), il ne m’a pas appelée cet hiver pour dire qu’il était là, non plus… Certes, j’aurais pu appeler mais s’il a oublié mon anniversaire, ce n’est pas un hasard. Je sais pas, je reste persuadée que si je l’avais pas croisé à la fnac l’hiver dernier, on ne se serait pas vus des vacances.
 
Sinon, sur Paris, je me suis fait pas mal de relations assez éphémères, y a qu’à voir l’évolution des participants aux vingtenaires : une doit partir, une autre arriver, il me faudrait aussi un(e) autre remplaçant… Je me suis fait de bons copains ici, notamment Zoé que j’ai rencontré dès mon arrivée puis Tink, Sab, Banana, Agnès, Bouki et quelques autres. D’autres m’ont déçue mais c’est la vie.
 
Amours
Oh, le gros dossier, puisque comme dans les horoscopes, je vais tout mettre en vrac dans ce domaine à savoir les brouettes et le reste… Donc assoyez-vous bien confortablement, allez vous chercher un petit thé ou un café, Yome, tu peux allumer une clope (j’adore ta photo sur le sujet, au passage), c’est parti.
 
Je ne la jouerai pas chronologique, on s’en fout. Je vais pas revenir sur chaque histoire, on s’en fout aussi, juste faire un rapide bilan. Globalement, cette année a été plutôt riche en brouette mais relativement pauvre en belles histoires même si… Un rateau magistral avec Julien m’a un peu fait partir en vrille cet été mais globalement, je ne regrette rien, ce n’est pas mon genre. J’ai fait des rencontres plutôt agréables, il faut bien l’avouer : Louis avec qui je suis restée amie, Reno avec qui je papote de temps en temps et qui m’explique les dessous de son métier (auquel je ne connais rien donc chaque conversation est riche en enseignement). Il y a également Jean, un vrai ami avec qui on peut parler de sujets graves ou de sujets plus légers… Concernant Laurent, il est revenu d’Afrique et il y a peu et m’a sauté virtuellement dessus comme un chat sur ses croquettes mais je ne pense pas le revoir. Il est clair que ce monsieur n’en n’a que pour mon sex appeal alors je pense que je vais zapper. Quand les choses évoluent de cette façon, je trouve que la brouette est un moyen très agréable pour faire connaissance.
 
Evidemment, parfois, je tombe mal, c’est inévitable… Il faut dire qu’en général, je ne fais les choses à moitié mais là, je me suis dépassée… Entre le goujat égoïste qui prend sans donner et le névrosé paranoïaque bouffé par la haine, je ne sais lequel est le pire. Mais je crois que les deux m’ont donné une leçon : comme quoi, dans toutes choses, malheur est bon. Avec eux, j’ai pu mesurer l’étendue de ma naïveté : non, l’homme n’est pas bon par nature. Ceci étant, je pense que chacun a ses excuses : Benoît est encore jeune et a beaucoup à apprendre (quoi qu’à 24 ans, il serait temps…) pour se comporter correctement avec les femmes. Je pense que quand il se sera pris une bonne dizaine de râteaux, il aura compris. Quant à l’autre, je sais pas, je n’ai rien compris à cette histoire. J’ai une idée de la réelle raison de son comportement mais tout de même… Détester au point de vouloir faire souffrir une personne qu’on a vue une dizaine d’heures, ça ne me paraît pas très normal. Mais peu importe, au fond, ces deux histoires appartiennent au passé.
 
Côté « amoureux », il y eut Arnaud, donc, mon petit ami officiel de l’année et ce ne fut pas une réussite, finalement. Pourtant tout avait bien commencé et les trois semaines passées ensemble furent parfaites, on se voyait un soir sur deux, on passait de doux moments à deux… Mais voilà, un jour, il se dit qu’il était temps de mettre les voiles et il oublia de me prévenir. Dommage, mais en même temps, ça m’a permis de vivre LA belle histoire de l’année, mon idylle avec Guillaume, donc. Comme on se voit peu, on profite à fond de chaque moment sans se poser de questions. Et pour l’heure, ça me va parfaitement. C’est vrai que, parfois, j’aimerais qu’on vive plus près l’un de l’autre pour se voir quand on veut mais on peut déjà se parler tous les jours sur MSN ou par téléphone, c’est déjà pas si mal. Et, au moins, on ne peut pas dire que la routine nous menace.
 
Globalement, 2005 n’a pas rempli mes espérances, je pensais que ce serait mon année. J’espère que 2006 sera plus clémente… A suivre.
 
 
 

51 réflexions sur “Bi l’an

  1. ca n’apparait pas, mais j’ai recu un mail. alors, comme une vrai blonde, j’ai cherche, j’ai lu et j’ai dit:preum’s…finalement, il existe le pere noel 😉

  2. rhoo la classe j’ai mon pseudo dans le pargraphe « Amours »

    mais attendez……….. j’ai jamais brouetté Nina……………….. Rhoo la loose 😉

  3. bon sang, moi qui revenait juste pour faire un preum’s….J’allais etre là, au pied dguerre, de 18h à 19h, à guetter l’article promis!!!!….Loupé, encore loupé!!!

    Tant pis…J’en peux plus, jsuis debordé…tous ces preparatifs…ca me stresse!!!!!!

    Heureusement, nina est là pour nous calmer avec ces articles!!!

  4. ah ? on n’était pas censés le voir cet article ? (j’avouerai que ça tombe bien qu’il soit accessible qd même : suis pas là ce soir (comment ça je raconte ma vie ?!)) En plus des catégories il est maintenant visible grâce aux commentaires (merci le froid). Mais en tout cas bon courage pour cette nouvelle année, et qu’elle soit meilleure que les précédentes (réunies).

  5. nina=> »Oui et tu commentes pas l’article!! 😉 »
    c’est pas du nouveau ca!
    mais en meme temps, c’est ton bilan personnel et je suis au courant de toutes les histoires (via le blog). Finallement 2005 n’atait pas si mauvaise…j’espere que le bilan de 2006 sera encore plus happy and funny.

  6. chaque stage ou boulot est une experience (honteuse), mais au moins tu sais ce que tu n’aimes pas. bosser sans bosser.
    et de toute facon, c’est toi qui l’avais choisi et accepte …;)

  7. « je suis en forme pour les jeux de mots à la con » : tu n’es pas la seule apparemment. 🙂

    « je suis toujours en parfait état de marche » : donc en bonne santé.

    « la mention, les employeurs s’en foutent » : je confirme. En puis l’important c’est d’avoir eu ton diplome, le reste …

    « mon diplôme, je le méritais » : c’est qu’une impression ou tu te jettes des fleurs?! D’un autre coté tu as raison, on n’est jamais mieux servi que par soi même. 🙂

    « je me demande encore si j’ai fait la bonne formation » : pourquoi?

  8. « osent nous demander ça » : ils font çà chaque année et dans toute les « grandes » écoles. Cà permet aussi de faire des stats, de ce que deviennent les « anciens » élèves.

    « qui ne me sert à rien pour l’heure » : çà va venir, le baby boom est en train de devenir la retraite boom, donc forcement à un moment il va y avoir beaucoups de demande, reste à savoir quand.

    « il aurait été rémunéré avec un boulot à la clé » : c’est souvent ce qui arrive à ce niveau là. Tu n’as jamais essayé de les recontacter?

    « La cata » : vu comment tu racontes ton stage, c’est vrai qu’il sent franchement le paté. Il prennait des stagiaires pour faire tous ses travaux à la con apparemment. Par contre à la fin de ce stage, tu n’avais pas un rapport ou une soutenance à faire?

  9. « j’envisage de lui envoyer un mail  » : pourquoi tu ne l’as pas fait?

    « l’homme n’est pas bon par nature » : autant que la femme.

    « 2005 n’a pas rempli mes espérances » : je trouve que tu t’en sorts plutôt bien.

  10. Bonjour Nina. Je te souhaite une meilleure année 2006 que celle qui vient de s’écouler en ce qui concerne tes relations sentimentales, je vois que nous en sommes un peu au même point, un peu le même constat, beaucoup de rencontres ( je dirais beaucoup trop en ce qui me concerne) et rien de bien passionnant. Je vais aussi tenter de miser sur 2006 pour arranger tout cela et faire enfin une jolie rencontre qui dure plus d’ une semaine ou d’un mois….( et encore un mois faut que je cherche dans ma ptite tête…) ce serait quand même agréable, le papillonnage ca va bien 5 mn , au bout de la 6eme, à bien y réfléchir, y en a un peu marre. Bon courage à toi et bonne année avec un peu d’avance.

  11. C’est encore moi….Je voulais apporter une précision…Si j’ai bien tout suivi de blog en blog…J’ai cru comprendre tes mésaventures avec certaines personnes qu’il me semble avoir « critiqué » chez ALya ( dont le blog est fermé ?), bref, je n’étais pas d’accord avec sa manière de parler des filles, je trouvais même cela franchement déplacé. Tout ce la pour te dire, qu’il faut tenter de zapper tous les « gros cons » qui passent près de nous, il y en a hélas beaucoup et même avec de l’expérience, on ne réussit pas toujours à les voir du premier coup. Donc il vaut mieux les zapper, ils ne méritent pas plus. Sur ce bonne chance encore, à bientôt.

  12. Lorsque j’avais passé une mauvaise année, ma mère me disait : Tout ce que tu vis est dans un but bien précis. Ce qui te rend malheureuse aujourd’hui peut t’aider à trouver le bonheur plus tard.

    Alors je poursuis ma vie avec cette phrase en tête et cela me rassure 🙂 J’espère qu’elle t’aidera aussi.

    Je te souhaite de passer d’excellentes fêtes de fin d’année et si une amitié se termine c’est qu’elle a vécu tout ce qu’elle pouvait vivre ..

    Tendresse,

  13. « mon diplôme, je le méritais » : je te taquinais. Faut vraiment que je trouve un signe. 🙂

    « surtout pas un carnet d’adresse » : c’est sûr! Et le premier stage? Tu n’as pas eu quelques adresses à exploiter?

    « Mon rapport de stage, je l’ai fait sur le premier » : tes profs n’ont pas demandé pourquoi tu ne parlais pas du deuxième?

    « mon annif est juste après » : je sais. 🙂 Je ne connais que 3 date anniversaire, je sais ce n’est pas beaucoups mais je retiens aucune date, la date d’anniversaire de mon frère, la mienne et la tienne. Tout simplement parceque j’ai un moyen « simple » de retenir la tienne.

    « la femme était parfois très mauvaise » : ravie de l’apprendre, s’il y a bien un point sur lequel les hommes et les femmes ne sont pas si différent, c’est bien celui là.

    « j’en ai marre de pas avoir de boulot » : je sais. Cà va venir … patience. Le premier boulot est toujours le plus dure à trouver.

  14. hé bé… sacré bilan, koike le mien est pas mal non plus. Concernant tes relations amicales, g un peu vécu la meme sensation mais avec plusieurs amis ou amies, après tout ske je pe te conseiller c de prendre du recul moi g compris ke pour ne pas me prendre la tete a essayer de comprendre ci ou ça bin fallait juste « se repositionner » dans le rapport amical avec une personne. Coté relations plus k’amicale, j’espere ke tu rencontreras l’homme… moi ça ne me derange pas ke tu papillonne mais ke tu papillonnes raisonnablement et avec magie, pas un papillinnage de deux jours mais o moins une semaine 😉
    Sur ce, j’attends vite un échange plus intense et intime (par mail je precise) pour apprendre a mieux te connaitre encore
    bises

  15. Allez nico, stef, david et autres loui… agenouillez vous debant moi qui arrive à claquer un preum’s valide en commentaire n° 16 mdr
    Bon c’est vrai (histoire de commenter l’article un peu hein) que ton bilan n’est pas forcément à la hauteur de tes attentes mais globalement c’est quand même plutôt pas mal (mieux que le mien par exemple lol), et puis, si tout ce que tu souhaitais t’etait arrivé en 2005, que te resterait-il à attendre et espérer de 2006 ? 😉

  16. stef > t’aurais pas corriger ma faute de frappe dans le copier coller lol
    Nina, pour ce qui est de ta réaction « un ami de perdu? c’est la vie » je sais pas si c’est normal, mais je fonctionne pareil aussi… Nouvel An est pour moi la période de tri/nettoyage dans mon répertoire télephonique et adresses mail 😉

  17. entierement d’accord avec les deux réponses Nina, je suis un Dieu vivant (mais t’as quand meme mis pas mal de temps à t’en rendre compte…) et le « tri » en fait consiste à virer ceux dont je n’ai plus de nouvelles depuis plusieurs mois, j’en donne régulièrement mais si on repond je vire 😉 next !

  18. Gé > « t’aurais pas corriger ma faute de frappe dans le copier coller » : je vios dfiificelemnt mes porrpes fuaets aorls tu pneess cleels des ature. 🙂

  19. lol stef
    dis donc Nina c’est incroyable ce qu’on est sur la même longueur d’ondes ce soir, je serai bien rester à te charmer mais en fait je préfére partir du boulot et rentrer chez moi, ne désespère pas ce sera pour une autre fois lol

  20. serais-je donc le produit de ma propre imagination ?? bon allez les loulous je me casse direction home sweet home, c’est quand mm pas un heure pour un fonctionnaire !!! lol
    biz Nine et bonnes fetes de fin d’année 😉

  21. Ah non nina n’est pas maqué sinon je vais sombrer dans une dépression ouuuuiinnn
    Oui un ami de perdu c pas grave mieux « un de perdu dix de retrouvés » hihiihi

  22. « Stef, sors, tu vas te retrouver enfermé!! » : non! Cà fait 5 ans que je travail là, je connais toute les ficelles du métiers. Et puis, aujourd’hui, je suis sorti à 17h. 😛

  23. Il manque singulièrement de coeur ton bilan dis moi. C’est le rapport froid et analytique de c’ que t’as vécu.
    Perso c’que j’aimerai, c’est des leçons, des tuyeaux pour continuer d’avancer dans le monde de merde de gauthier.
    Non, pas du positivisme à deux balles. La méthode Kwe, ça ne marche pas pour les gens comme … nous.
    Pourtant t’en as surement appris des choses qui pourraient nous servir. Ouaip, au final chui comme tout le monde, c’que je voudrais c’est un peu d’Amour, un peu d’espoir.

    Vous voyez, vous les commentateurs, je la sens Nina, je la sens comme personne d’autre, et au travers de son blog, je vois une réalité bien différente de ce qui transparaît.
    Pour être franc, la Nina du Blog à laquelle vous être tous en train de faire la cour, elle est certes … fascinante, mais elle n’a rien d’une princesse. Pire, elle a dit juste, elle ressemble bien plus à une prétresse païenne. Worst, s’ pourrait que ça soit une satanée courtisane avec sa bande d’accros.
    La
    Jamais je ne me serai arrété sur ton blog si des coïncidences étranges ne m’y avaient pas poussé. Par contre, le blog de gauthier, il est chouette, il n’y a qu’a voir le nombre de commentaires pour chacun de ses articles.

  24. Gaspard >
    « je la sens comme personne d’autre, et au travers de son blog » : comme tout le monde! Chaque lecteur lit et interprête les écrits de ce blog à sa sauce, donc forcémént chaque lecteur a sa propre représentation des blogueurs et commeurs de ce blog.

    « vous être tous en train de faire la cour » : tout le monde sauf toi? 🙂

    « ça soit une satanée courtisane avec sa bande d’accros in love » : je ne crois pas. Je la voyais un peu comme toi au début mais je me rends compte de plus en plus qu’elle n’est pas plus courtisane que toi ou moi. Le problème de ce blog c’est que tous les articles parlent de sexe et on a tendance à faire abstraction de tout le reste autour. Et c’est justement ce reste qui constitu leurs vrai vie et leurs vrai personnalité. Ici, on y voit qu’un infime partie de leurs vie.

    « le blog de gauthier, il est chouette » : Gauthier d’ici?

    « je vais me faire lyncher » : non! tu peux dire tout ce que tu veux, tu moment que tu reste « correct ». 🙂

    « j’ai fait un paquet de saloperies aux nanas, et pourtant, j’étais et je suis tout sauf un sal type » : très bien, pourquoi dans ce cas tu ne vois pas les choses de la même façon pour Nina? Elle ne se voit pas plus garce que tu ne te vois pas comme un sal type.

    « t’as besoin de te prendre ta leçon » : pourquoi selon toi?

  25. Gaspard a raison, Nina nous cache les grdes leçons de la vie qu’elle a apprise, qu’elle est méchante…

    « quand on aime, on doit penser que c’est pour la vie » > tu nous cacherais une découverte également ? sur quoi se repose ton dogme ?

    1ère version « Par contre, le blog de gauthier, il est chouette, il n’y a qu’a voir le nombre de commentaires pour chacun de ses articles. » > tu t’es mis à compter les commentaires dans ta 2ème version pour changer ta phrase lol ?

  26. (mon dieu que j’ai envie de répondre pour leur montrer que c’est moi le plus beau, le pire c’est que c’est vrai).
    (ce que j’ai dit se passe de commentaires, mais des corrections ça oui)
    (curieux que tu ne sois pas la nina que j’ai croisé, les pièces du puzzle concordent un peu trop, enfin bref).
    Je décroche, Adieu.

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