Toulouse, ma belle

Que pourrait bien faire une Nina un week-end du 15 août de 4 jours car ses RH ont décidé de poser un RTT à tout le monde le 16 août ? Elle embarque Anaïs sous le bras et décide de lui montrer sa région d’enfance et de jeunes adultes. Ma jolie ville natale (dont je ne parlerai pas pour cause de solide paranoïa, pas envie que quelques tarés me retrouvent facilement sur Google) et Toulouse. Avec entre temps des séances intensives de gâtouillage avec mon neveu (8 mois), la fille d’Anne (15 mois) et ma petite cousine (21 mois). Depuis, … Continuer de lire Toulouse, ma belle

Et si on enlevait la capote et qu’on passait le test ?

Tu l’aimes, il ou elle t’aime, c’est le grand soleil au milieu d’un ciel bleu sans nuages avec des oiseaux qui font piou piou et des cœurs tudum tudum. Bref, vous vous aimez et c’est le peton. Sauf que. Sauf que pendant vos ébats enflammés, passionnés et tout ça, il y a une petit chose pas top agréable : la capote. Mais là, ça fait quelques mois que vous êtes ensemble, et si on passait à l’étape suivante. Les couples de notre temps ont en effet une nouvelle étape à franchir pour se rapprocher encore plus : la disparition de la capote … Continuer de lire Et si on enlevait la capote et qu’on passait le test ?

L’homme est une femme comme les autres (et vice et versa)

(La chômagie reprendra après les ponts du mois de mai) Y a quelques années, tout le monde ne jurait que par le livre « les hommes viennent de Mars, les femmes viennent de Vénus », sorte de bible psychologique du genre qui nous explique que si on se comprend pas, c’est normal, on ne marche pas pareil et ce sera comme ça pour toujours. Il y a des fois où moi-même, je dis : « pfffff, ces mecs, je les comprends pas ! ». Il est vrai que parfois, je comprends pas les hommes. Mais y a des fois où je comprends pas les femmes non … Continuer de lire L’homme est une femme comme les autres (et vice et versa)

La terreur de la maternité

Dans la vie, j’ai des phobies, comme tout le monde. J’ai peur de l’avion, des serpents, de finir seule et aigrie comme ma grand-mère paternelle (parce que curieusement, plus t’es aigrie, plus t’es méchante et plus t’es seule), de la mort des gens que j’aime… et de la maternité. Ouais, avoir un bébé, ça me fout la trouille et grave. Première trouille : le déni de grossesse. Etre enceinte sans m’en rendre compte et arriver un jour à l’hôpital avec de supers crampes au bide « Aaaaaaaah, je crois que j’ai l’appendicite ! – Non, mademoiselle, vous êtes en train d’accoucher. – Mais, … Continuer de lire La terreur de la maternité