Body shop love etc. (etc.)

Bon, j’ai bien été mignonne de vous raconter mon week-end marseillais mais j’ai quand même oublié le cœur du truc, Body shop et surtout son parfum. Alors en ce jour d’automne pluvieux (du moins dans le sud. J’ai un bol avec la météo, moi…), je vais un peu jouer les beauty queens et revenir sur quelques produits que j’ai acheté lors de mon week-end à Marseille ou qu’on m’a donné, comme le parfum love etc. On va commencer par lui, tiens, le parfum. A l’intérieur, on y trouve des notes de jasmin, muguet, vanille, bois de santal, musc crémeux avec … Continuer de lire Body shop love etc. (etc.)

Grazia, je le rachète ou pas ?

J’aime bien assister à la naissance d’un nouveau journal. D’abord parce que ça m’exalte toujours un peu, j’imagine les espoirs de la nouvelle rédaction. Et puis, j’espère toujours un peu qu’un titre deviendra mythique et que je pourrai dire à ma descendance : « tu vois, petit, j’ai acheté le premier numéro de ce titre! ». Actuellement, lancer un journal est couillu, surtout un féminin au vu des braves soldats tombés récemment au combat : Isa, Jasmin, Bien dans ma vie… Bref, la presse féminine se recentre toujours autour des mêmes titres alors de la nouveauté, ça fait toujours plaisir. Grazia se … Continuer de lire Grazia, je le rachète ou pas ?

Mon propre patron

(Article écrit il y a donc un an, il me semble que je parle d’un magazine qui n’existe plus, en fait…)  Il y a un an, j’étais donc une chômeuse, pour ceux qui seraient pas au courant. Alors ce qui est bien dans ce cas-là, c’est que tout le monde vous regarde d’un air navré, un peu gêné. Cancéreux en phase terminale ou chômeur, même panier. Mais ce qui est bien, c’est que chômeur, on peut toujours guérir et tout le monde va vous dire comment. Bon, c’est gentil mais oui, des CV, j’en ai envoyés (tu me prends pour une … Continuer de lire Mon propre patron

Addiction, insupportable fléau

En ce moment, je lis un roman sympa « Sexe et dépendances » de Stephen McCauley. En gros : l’histoire d’un homo, William, pré quinquagénaire, qui décide au début du roman de mettre fin à son addiction au sexe. Bon, pendant toute une partie du roman, il est merveilleux de logique : « Bon, je vais juste baiser un coup mais comme ça, ça m’obsèdera plus ».   Dans ce roman, on croise une foule d’addict. Charlotte, ex alcoolique qui boit quand même encore un peu, une accro aux visite d’appartements. Ah et puis William, c’est un peu un accro au ménage. C’est-à-dire qu’à côté, Monica, … Continuer de lire Addiction, insupportable fléau