La télé peut nous aider

Des fois, j’allume ma télé et je tombe sur des émissions de type talk show où on vient en aide aux gens. En fait, je n’en vois que sur TF1 mais j’avoue que je n’aime pas vraiment ce genre d’émissions donc je dois en rater pas mal. Mais bon, c’est pas grave, on va faire avec ceux que je connais, à savoir Sans aucun doute (ou les péchés capitaux, il me semble que c’est pareil) et Y a que la vérité qui compte. Parce que des fois, la télé, c’est que du bonheur, comme dirait Arthur, Benjamin Castaldi ou Nikos.
 
 
Bon, je regarde rarement et en fait, j’ai découvert lundi que ça reprenait, y avait Grey’s anatomy, avant, c’était mieux. Et puis, en plus, ils ont viré la fille qui faisait l’hôtesse mais ils font toujours les reportages avec une nana qui se la joue Pascale Clark avec de la poésie écrite par un gamin de CE2 : « ils sont tous deux et deux, ça rime avec amoureux. Tout va bien sous le soleil de Nice où dore leur bonheur. ». Enfin, voilà. Des fois, je me demande qui peut passer dans ce genre d’émissions. Parce que, perso, on me convie là, j’y vais pas : si on a quelque chose à me le dire, c’est pas la peine de le faire devant des milliers ou millions de spectateurs. Surtout que si vous ouvrez pas le rideau, vous passez pour la méchante garce sans cœur. Mais peut-on reprocher à une nana de pas vouloir sortir avec son marchand de journaux à qui il manque une dent et qui a les cheveux naturellement huilés ? Mais bon, outre les déclarations d’amour foireuses, il y a la partie « retrouvailles ». Imaginons que je décide de retrouver mon démon tentateur parce que, tiens, je rêve ma vie et que je connais son nom et prénom, contrairement au mec au briquet. Bon, il faudrait déjà que je fasse la démarche, que le monsieur vienne et encore, une fois sur place, faudrait pas que je me prenne un merveilleux : « non mais j’ai une copine, je peux pas sortir avec toi ! ». Enfin bon, je le ferai jamais mais potentiellement, la télé pourrait me rendre heureuse, pour peu que j’ai pas peur de me prendre un râteau devant des milliers ou millions de téléspectateurs.
 
Mais le summum de la télé justicière, c’est quand même Sans aucun doute avec notre ami Julien Courbet, défenseur des petites gens. En fait, j’avais un peu oublié cette émission, suis retombée dessus vendredi dernier. Ah oui, la justice expéditive de TF1, c’est encore mieux que Cas de divorce ! C’est quand même fou qu’une émission de télé passe avant la justice parce que dans les faits, c’est ça. Prenons un cas au hasard : moi. Bon, si jamais je décidais d’assigner mon proprio qui m’a pas remboursé un centime sur mes chiottes (et en plus, mon père a payé les 80 euros que je refusais de payer) ou l’asso qui m’a pas encore payée mes 600 euros (mais je leur ai envoyé un mail incendiaire vendredi et comme de par hasard, Simon m’a rappelé mais comme j’étais avec Guillaume 1er, j’ai pas décroché), non seulement ça me coûterait du temps mais aussi de l’argent. Et oui, il faut bien payer les avocats, c’est normal, ils ne vivent pas
de l’air du temps. Mais bon, grâce à Julien Courbet, je squizze tout ça ! Je vais voir M. Courbet, je pleure un peu sur le plateau, des avocats sur place se mobilisent pour moi et hop, tous mes soucis sont réglés !
Par exemple, quand je regardais, deux bonnes femmes avaient des soucis avec leurs locataires qui payaient pas le loyer. Ennuyeux en effet. Bon, l’équipe tente une conciliation téléphonique, c’est le grand moment de l’émission en fait. Courbet, il est fort, il a réussi à donner une image à du son (le téléphone) et à mettre en scène l’appel en lui-même. Pour ceux qui n’ont jamais vu, je vous décris un peu. Courbet dit : « Nous allons appeler ces personnes pour tenter de parvenir à une conciliation. Régie, composez le numéro ! ». Là, il tend le doigt vers la caméra et ça lance un petit jingle à base de son de touches (il est atroce ce jingle), on voit des gens en régie avec des micro-casques sur la tête. Bon, ça sonne « biiiiiiiiiip, biiiiiiiiiiip ! Allo ? » Alors, au début, ce sont les gens qui viennent se plaindre qui parlent genre « non, non, on n’est pas à la télé » et si ça
s’envenime, ce qui arrive souvent, Julien Courbet intervient. Et là, c’est grandiose, on assiste d’abord à une volée d’insulte « Non mais qu’est-ce que tu m’veux connard ? C’est pas toi qui fait la loi ! Va te faire fout’ ! Tut-tut-tut ». Oui parce que la personne raccroche en général mais elle s’est tellement énervée qu’on a bien entendu les postillons s’écraser violemment contre le combiné. C’est concept : c’est l’émission de télé qui active l’imagination, on les voit les postillons, on sent le décor autour, on imagine le beauf de base, le même qui
a témoigné dans Droit de savoir la semaine dernière pour dénoncer le prix prohibitif des loyers (comme je parle bien quand je m’y mets, vous sentez la journaliste, là ?). Bon, après ce premier échec, on se démonte pas, on envoie les journalistes sur place. Une voix off nous explique tout, on filme même les gens sur le plateau qui attendent une réponse. En gros, c’est pas du direct et on s’en vante ! De l’autre côté, Julien, il est gentil mais il allait pas me faire croire qu’à 1h du matin, il arrive à avoir la CAF et une agence immobilière au téléphone !
Bon, on filme les journalistes qui se font refouler par les locataires toujours très courtois et on revient en plateau. Les avocats expliquent que là, avec la trêve hivernale qui s’en vient, on ne peut plus faire expulser les locataires car le temps d’instruire le dossier, il sera trop tard. Oui parce qu’à TF1, ils passent par-dessus de la justice au max mais arrive un moment où il faut quand même s’adresser aux instances compétentes (ouf !). Ceci étant, en un coup de fil, ils ont réussi à demander à la CAF de verser les allocs logement aux propriétaires et non plus aux locataires. Bordel, moi, ça fait trois mois que j’attends qu’ils me versent mon ALS (surtout que je suis chômeuse maintenant).
 
En fait, tout ça me gonfle. Bon, encore, Y a que la vérité qui compte, si ça amuse les gens de se prendre une honte en public, je m’en fous. Et les petits textes poétiques de CE 2 sont marrants. Mais les trucs genre sans aucun doute qui passent par-dessus la loi pour régler des problèmes, je suis moins d’accord. Bon, c’est bien pour les gens qui en bénéficient, surtout qu’en général, ce ne sont pas des gens très dégourdis, qui découvrent un peu les rouages d’une justice implacable (ooooooh !) mais ce qui n’est pas forcément juste, c’est que l’émission
prend FORCEMENT le parti de celui qui est sur le plateau. Comme si la volonté de passer devant une caméra donnait forcément une légitimité. Parce que mine de rien, il me semble que ces procès télévisuels sont basés sur la bonne foi de celui qui passe à la télé, il n’y a aucune preuve juridique. A ce compte-là, c’est facile de foutre la pression sur des gens dont le seul tort a été de saisir la justice plutôt que la télé.
 
En fait, la télé, ça me fait peur, des fois.

22 réflexions sur “La télé peut nous aider

  1. Ce serait effectivement bien de connaître les critères de choix des affaires mises en scène. Je suis sûr que ça doit être glauque, avec toutes les demandes qu’ils doivent avoir il doit falloir choisir les cas qui passent bien et au moins partiellement résolubles à la télé. Bref pas le justicier de n’importe qui et dans n’importe quelles conditions, faut entretenir l’idée auprès de la cible d’audience qu’il y a un justicier pour lutter contre les injustices et les méchants. Rassurant. Un bel exutoire cette émission. C’est comme une sorte de série télé judiciaire mais avec du réel. Ca doit être trsite de regarder ça.

  2. Ces émissions me débectent… Des animateurs à carte Platinium qui exhibent des cassos en croisant les doigts pour que ca s’insulte, et ça arrive souvent je pense, c’est pas le genre de programmes qui va me faire m’installer dans le canapé…

    Dégagez les séries sans saveur, recyclez la télé-poubelle, archivez les classements des 100 plus grands fous rires, et par pitié rendez-moi les soirées cinéma de ma jeunesse.

  3. On est d’accord sur ce genre d’émissions, et sur TF1 en général.

    Mais parfois il y a des exceptions dans la télé poubelle, par exemple avec la série documentaire mardi soir sur France 2 « vu du ciel ». A voir!

  4. Le pire est que ces animateurs sont convaincus de faire une émission superbe, pas simplement pout l’audimat mais aussi pour ces gens qui se retrouvent, se réconcilient etc. Il faut les entendre persuadés de leur bonne action tellement désintéressée. C’est souvent d’autant plus affligeant.

  5. C’est rigolo, il y a quelques jours, un type qui était dans la même école que moi est passé à Ya que la Vérité… J’étais avec MeilleureAmie au téléphone, on n’en pouvait plus, et on attendait le rateau final (qui n’a pas raté!) Je ne comprends pas comment les gens peuvent accepter de passer dans ce genre d’émission, c’est vraiment de la télé poubelle par excellence!!!

  6. Petite réaction (tardive) au comm’ de vonwolf: il y a quelque temps, j’ai vu un reportage (sur Canal je crois) sur les dessous de la télé poubelle: une nana qui se faisait harceler par son ex est venue à Ya que… (la dinde quand même), je ne sais plus si elle a ouvert le rideau ou pas, mais en attendant, ça a relancé le psychopathe, qui l’a violé quelques jours plus tard… Mais les animateurs – producteurs ont toujours nié que cela puisse être de leur faute (évidemment!)

  7. Parlons quelque peu de notre ami Julien :

    Il faut savoir d’abord qu’il se prend pour Zorro parce que son papa est mort d’un accident de voiture dû à un chauffard qui, je crois, n’a jamais été retrouvé, ce qui l’a un peu perturbé, et on peut effectivement le comprendre.

    L’émission est pernicieuse, comme l’a rappelé Nina, en ce que la personne qui vient exposer son problème est considéré comme la « victime gentille et innocente ». Le souci est que les journalistes de Sans Aucun Doute ne font aucune véritable enquête sur la réalité des faits et ne font aucune recherche un tant soit peu juridique par rapport au problème posé. Le but du jeu est juste de dépeindre comment le problème posé a foutu en l’air la vie de la « victime gentille et innocente ». Le seul intérêt de l’émission, à mon avis et à celui de pas mal de confrères, c’est dans l’hypothèse où la partie adverse tient à sa réputation et a pas mal de trucs pas net à se reprocher. Là, la peur de passer dans une émission publique peut conduire le « grand vilain méchant loup » à tenter d’arriver à un accord. Pour le reste, cela ne sert strictement à rien. Julien et les avocats débitent des anneries sur le plateau en menaçant les « grands vilains méchants loups » au téléphone et en allant parfois jusqu’à être limite polis.

    Le moyen le plus efficace d’obtenir ce que l’on veut, dans ce type de situation, c’est 1 : bien se préparer avant pour être béton niveau preuve et raisonnement juridique, 2 : faire peur à la partie adverse en lui montrant que l’on sait de quoi on cause, 3 : laisser un porte de sortie à la partie adverse en montrant que l’on est bon prince et ouvert à un arrangement intéressant pour notre client, 4 : si aucun arrangement n’est possible, être sans pitié et aller jusqu’au bout.

    Pour le choix des histoires chez Courbet, c’est simple, il faut des trucs misérabilistes au possible, avec des personnes qui ressemblent à Monsieur-Madame tout le monde et des trucs pas trop compliqué à comprendre niveau juridique pour pas perdre les télespectateurs.

    A part ça, l’émission est bien totalement artificielle puisqu’elle fait l’objet d’un montage très impressionnant. Rien n’est laissé au hasard.

    « Bon, si jamais je décidais d’assigner mon proprio qui m’a pas remboursé un centime sur mes chiottes »

    J’ai toujours les recherches de jurisprudence que j’avais fait à l’époque et qui montraient qu’il était possible de récupérer les 800 euros.

    « l’asso qui m’a pas encore payée mes 600 euros (mais je leur ai envoyé un mail incendiaire vendredi et comme de par hasard, Simon m’a rappelé mais comme j’étais avec Guillaume 1er, j’ai pas décroché »

    Bonne nouvelle alors. Faut voir la suite et ce que Simon propose.

    « ça me coûterait du temps mais aussi de l’argent. Et oui, il faut bien payer les avocats, c’est normal, ils ne vivent pas de l’air du temps. »

    Comme toutes les professions, on ne bosse pas gratuitement, encore plus tout simplement parce qu’en tant que profession libérale, 2/3 de ce que l’on gagne partent en charges, taxes et impôts divers.

    Il suffit d’être clair avant sur les honoraires pour éviter les problèmes par la suite. Et il vaut mieux payer plus cher un avocat pour récupérer plus après, d’après moi.

    Pour la durée des procédures, ça, nous ne pouvons malheureusement pas faire grand chose dans 99 % des cas.

    Courbet évite tout ça, c’est sûr mais pour un résultat effectif proche du néant. Mais vu l’audimat, ca laisse songeur …

  8. Pour les allocs, c’est normal, le temps qu’ils s’organisent (pas facile quand on commence à 9h, fini à 16H, avec deux heures de pause entre midi et deux et qu’on ne bosse ni le lundi matin, ni le vendredi aprèm), ça prend toujours trois mois. Par contre, il faut leur envoyer spontannément la quittance de loyer du mois de janvier. Parce qu’ils ne la réclament pas, jusqu’au jour ou, après ne plus avoir touché un rond pendant 3 mois, ils t’envoient un courrier de rappel « vous ne nous avez pas envoyé votre quittance de janvier, vous ne pouvez plus toucher vos allocs ». Par contre après, heureusement, ils te remboursent tout ce que tu n’as pas touché..

  9. Un grand moment de bonheur, ce blog !! je le bookmarcke immédiatement !! J’adore l’humour décalé et tellement vrai pourtant…
    je vais repasser souvent (sur le blog pas mes vètements !! lol)
    bonne continuation !
    Blogtrotter (DOM)

  10. Retour de vacances, nouvelle consultation quotdienne du blog (ça distrait pendant une journée de boulot…Et c’est agréable de te lire ^^)

    Pour « y’à que la vérité qui compte », bah je suis une des personnes qui regarde (devient tout rouge et va se cacher mdr) Mais au fil des numéros, l’émissions devient moins intéressante car c’est bien à consommer avec modération!! Au début tu trouves ça marrant, parfois attendrissant, puis des cas similaires reviennent alors c’est ennuyant (mais il faut bien s’occuper et attendre 00h40 car sur M6 il y a « Le justicier de lombre », la seule série que je regarde ^^)

    Pour Julien Courbet, je pense la même chose que toi!! De quel droit, un mec pareil (notamment prétentieux…), se permet-il de se prendre pour le bon samaritain de la télévision…Et notamment d’accélérer certaines procédures (tant mieux pour ces personnes…) alors que d’autres personnes, peut être dans des situations pires, ne peuvent que rester frustrer derrière leurs écrans…

    P.S. Nina, je sais que ça ne te fera pas sortir de ton chômage, mais si ça t’intéresse, je recherche des personnes bénévoles et motivées, quelques heures par mois, pour participer à la création d’un journal associatif d’abord diffusé en version électronique et par la suite en version papier…Si tu en as envie, je peux t’expliquer le concept par e-mail…

  11. Ha ha ha… J’aime bien cet article. L’émission de Courbet, j’ai du la voir 2 fois, mais en fait, c’est souvent la même.
    Comment, avec tant d’affaires différentes, on peut arriver à avoir le même découpage scénaristique ? Ca me la coupe !

    Je ne parlerais pas du truc du rideau avec les deux psychopathes de service (on sent qu’il prennent du plaisir au malheur des gens, des vrais sadiques !), cette émission montre la déchéance de la télé…

    J’ai entendu sur Europe 2 qu’ils importaient sur Europe2 TV un émission américaine sur le speed daiting reality : Du speed date à la télé avec tous les commentaires blessants des participants. La bande annonce met en avant un gars qui déclare « Elle avait l’air sympa, mais elle avait des pieds de porc, alors je l’ai zappé »… Un grand moment de culture en perspective : du concentré de méchanceté. Triste triste triste télé, qui fait de plus en plus d’audimat !

    Meuh !

  12. J’ai eu une petite pensée pour toi, hier soir, Nina…

    Vers minuit, quand je suis monté me poser devant la télévision, j’ai zappé!! Je suis tombé sur l’émission du « rideau » (d’ailleurs le format a changé et s’est encore plus chiant…) et je n’ai regardé qu’un seul cas :

    Celui d’une jeune de 20 ans qui est venue demander à son beau-père de porter son nom…

    Et la j’en viens à me demander si elle le voit tous les jours, à quoi bon venir sur un plateau pour le faire…N’aurait-elle pas pu le lui demander chez elle (ça lui aurait évité de faire le déplacement Lyon-Paris…A moins qu’elle ne trouve ce pretexte pour visiter la capitale lol)

    Je conclurai ce chapitre par une phrase d’Umberto Eco, dans  » à reculons comme une écrevisse » (livre que je lis actuellement qui dit :

    « La société, qui défend le candidat au suicide contre sa tragique décision ou le drogué contre le désir qui le conduira à sa mort, ne défend pas l’innocent télévisuel ; mieux, elle l’encourage comme jadis elle encourageait les nains et les femmes à barbe à s’exhiber au Luna Park »

    C’est une des réalités de ce monde…

  13. Alors la je suis outré!! Dorothée a fait recette avec sa « chaussette rouge et jaunes à petits pois » et ils ont osé refusé le dossier de Nina!! Encore si c’était n’importe qui, mais Nina voyons ^^

    A ta place j’appelerai Julien Courbet et je lui demanderai son aide pour réparer cet affront…Lui il ne refuserait pas, c’est un bon samaritain non ? ^^ (pour peu que tu ai 2 numéros intéressants à lui filer – au hasard, bataille, fontaine et sam – pour qu’il puisse faire grimper l’audimat c’est dans la poche lol)

  14. Non deux!! car Bataille et Fontaine sont pacsés et polygame (oui, oui c’est orgie géante chez eux!! Il paraît qu’ils dortment à 4 dans le même lit…Les deux, plus leurs femmes…) donc ils ont un numéro commun, plus Sam (pfiouu comment je brode pour me rattraper 😉 )

    Ui et la on voit quelle influence peut avoir Nina!! Tu n’as pas intérêt à lui refuser quoi que ce soit, sinon elle use de son charme, ses atouts, ses contacts pour te laisser derrière le rideau 😉

    Quelle femme fatale mdrr

  15. « Tain » Attention à ton vocabulaire, le CSA peut te censurer ^^

    Le chat sur le bras, en train de faire de la muscu mdrrr Tu viens d’inventer un nouveau concept ?

    T’aurai pas du prendre Nina comme pseudo…Nikita ça t’irai mieux ^^ Ca fait à la fois femme fatale, snipeuse…Toi quoi (hum hum…raclement de gorge :p)

  16. Tu quittes la France pour un pays ou cette éxagération de vocabulaire est autorisé. Un exemple : en Italie le mot cazzo (intraduisible..ça s’apparente à couille…) est employé à toutes les sauces (un peu comme dans le sketch de Bosso, quand il parle du putain à Marseille!!)

    Pour ton chat tu lui trouves un compagnon ^^ Peut être qu’elle te réclamera moins (sauf pour manger…) et ronronera autour de son nouveau chat-chéri!! Mais après tu ne feras plus de muscu 😡

  17. Tu l’exploites!! Tu fais venir des challenger, tu fais payer l’entrée et tu t’ouvres aux paris clandestins…N’est-ce pas une bonne idée ? 😉

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