Pourquoi la drague de rue fait chier

Et que vous seriez fort aimables d’arrêter de nous faire subir ça, bordel à queue. J’en ai déjà parlé sur mon blog quelques fois par le passé mais c’était y a longtemps et j’aime à me répéter parfois car comme disait une ancienne collègue commerciale “répéter, c’est convaincre”. Donc on note : la drague de rue, c’est chiant. Et non, ça ne fait pas plaisir, désolée de vous l’apprendre. En 37 ans d’existence donc 25 avec des seins, j’ai réalisé un truc, mmmm, intéressant. Je ne me fais draguer que quand je dégage une certaine vulnérabilité. C’est quand je suis … Continuer de lire Pourquoi la drague de rue fait chier

Et si pour le 08 mars, on laissait les femmes parler ?

Ceux qui me suivent sur Twitter (et un peu ici aussi) le savent : je suis certainement ce qu’on appelle péjorativement une Social Justice Warrior, à savoir que j’ai l’air de me mêler de toutes les causes. Alors oui mais non, mes intentions sont toujours les mêmes, la même je dirais même : peu importe quel est ton sexe (de naissance ou non), ton âge, ta couleur, ton orientation sexuelle ou ton histoire, tu dois avoir les mêmes chances que ton voisin. Et rien que ça, ça te donne matière à t’énerver 2 à 3 fois par jour minimum. Et … Continuer de lire Et si pour le 08 mars, on laissait les femmes parler ?

Le débat a-t-il pour réel objectif de faire changer d’avis l’autre ?

De temps en temps, je me lance dans un débat sur Twitter : des échanges d’arguments ponctués d’attaques sur mon ouverture d’esprit et quelques noms d’oiseaux en prime. J’en ressors parfois lessivée et certains me disent “non mais tu ne le feras pas changer d’avis, laisse tomber”. Non. Parce que c’est pas forcément elle ou lui que je vise mais ceux qui lisent l’échange en silence et pourraient être touchés par certains arguments. Un soir de 2012, deux hommes engoncés dans un costume débattent sous l’oeil torve d’un homme et d’une femme qui balancent aléatoirement des timings. A droite, Nicolas … Continuer de lire Le débat a-t-il pour réel objectif de faire changer d’avis l’autre ?

Dis moi ce que tu twittes, je te dirai qui tu es

Depuis 2 ans et demi, je fréquente twitter de façon plus ou moins assidue. En fait, pas tant que ça, je n’ai qu’un petit compte, je poste 4 ou 5 messages par jour. Et pourtant le média est fascinant d’un point de vue sociologique et sans doute psychologique.   Pour les non pratiquants, j’explique : Twitter est un système de micro blogging en 140 caractères. Juste 140 caractères, un sms en fait 160 pour comparer. C’est court, bref, percutant, un véritable exercice de style. Et c’est là que c’est fascinant : voir quelle image les gens donnent d’eux. Veulent-ils passer pour des … Continuer de lire Dis moi ce que tu twittes, je te dirai qui tu es

Beauté froide vs beauté chaude

Partons du principe qu’ici, en terme de beauté, je parle au sens large du terme, ça évitera d’entrée de jeu des commentaires désagréable sur une éventuelle prétention de ma part sur mon apparence physique. Ceci étant posé, attaquons l’article. Pendant longtemps, j’ai rêvé d’être une beauté froide un peu à la Carole Bouquet ou Grace Kelly, ce genre de femmes mystérieuses qui semblent connaître les mystères de l’univers mais n’ont pas le droit de les partager et ça les rend un peu triste. Vous voyez l’idée ? Bref, je me rêvais de ces héroïnes sublimes et inatteignables, marchant avec fierté, le corps droit, le … Continuer de lire Beauté froide vs beauté chaude

Mes fesses ne sont pas un espace public

Hier, je vous avais promis un article sur le train aujourd’hui, le voici. Mais pas celui que j’avais prévu qui était la suite du cahier de vacances. Pas non plus un où je raconterais que le train est arrivé en retard parce que, curieusement, je n’ai eu aucun problème. Enfin, aucun problème avec le train. Le voyage commence plutôt bien : train à l’heure et relativement désert pour un dimanche soir. A côté de la place qui m’est réservée dort une nana avachie qui déborde un peu de mon côté. C’est pas grave, en face, il y a une banquette de vide, … Continuer de lire Mes fesses ne sont pas un espace public

La liste de la fille qui snirfe

Glamour un jour, glamour toujours.   – Mardi, à moitié mourante (au moins), je vais à la pharmacie pour m’acheter quelques médocs. Le mec devant moi confond avec la boulangerie, je sais pas « alors, il me faudrait du doliprane. Merci. Tiens, je vais prendre de l’efferalgan aussi. Ah, vous avez le truc pour nettoyer le nez aussi ? ». Un café et l’addition ? Bon, si dans 5 minutes, il a pas fini son shopping, moi, je tombe dans les pommes. Enfin à mon tour, je demande un ibuprofène et un sirop pour la gorge. « Vous toussez ? – Non. – Alors pas de sirop, vous … Continuer de lire La liste de la fille qui snirfe

Après une folle nuit…

Il y a X temps, je discutais avec Lambchop sur le forum et on s’accordait sur le fait qu’après une folle nuit de sexe, ça se sent. Je parle pas de réaction physiologique, non, je parle de la façon dont les gens nous regardent. En gros, quand je repars de chez un amant ou de chez mon namoureux, j’ai l’impression que j’ai tatoué sur mon front « elle a fait des folies de son corps toute la nuit et même qu’elle a eu un orgasme (ou même plusieurs) ». Il y a quelques temps, j’ai passé une nuit purement divine avec un jeune homme. … Continuer de lire Après une folle nuit…

I’m bringing sexy list

– Cette semaine, au boulot, j’ai décidé d’écouter de la musique, je me suis mise sur technikart radio, histoire de me la péter à donf à être au top de la hypitude bobo parisienne de mes fesses. Au moment où j’écris ces lignes, y a la chanson de Blanche Neige, « hého, on rentre du boulot ». Sens-tu la hypitude monter en toi?? Parce que moi pas trop (surtout qu’ils enchaînent avec un Moustaki, je veux mourir). – Question que je pose à un de mes ados : « ben tu kiffes quoi, toi? » Réponse : »les filles et le foot ». Ca envoie du rêve, là. … Continuer de lire I’m bringing sexy list

I list, you list, we list

J’adore la conjugaison anglaise, y a pas à dire. Enfin, juste les verbes de base, pas ceux qui font exception et j’ai toujours pas compris le present perfect. Mais un jour, je comprendrai, promis. – C’est quoi ce temps de merde ? Ma nuit de lundi à mardi. Je me douche tout ça puis dodo. Nue comme quasi tout le temps, je me glisse sous mon drap et dessus de lit. J’ai tellement froid que mes têtons ne supportent même pas le frottement avec le tissu. Vous savez, quand ils sont tellement dressés que tout ce qu’ils touchent ressemble à du … Continuer de lire I list, you list, we list