Un Noël tranquille ? Et puis quoi encore ?

J’ai dit récemment que j’aimais bien Noël mais en y réfléchissant bien, je me demande bien pourquoi vu que décembre est hélas un mois difficile pour nous en général : mon grand père et ma grand-mère sont morts en décembre, un couple d’amis de mes parents aussi, Yohann, mon presque frère, a frôlé la mort dans ce même mois… Et là, je ne parle que des décès. En fait, Noël, ça craint. Cette année, j’avais placé tout mon espoir sur Noël et sur le papier, ça partait bien : pas de mauvaises nouvelles à l’horizon et même une très bonne … Continuer de lire Un Noël tranquille ? Et puis quoi encore ?

La lose, une fois que tu l’as, elle te lâche plus

De façon générale, je me vois comme quelqu’un de plutôt chanceux, malgré quelques périodes noires. Mais j’ai quand même une solide poisse et ça continue encore et toujours et non, ce n’est pas une vue de l’esprit, c’est un fait ! Non mais vous en connaissez beaucoup de personnes qui partent en Martinique et se prennent le déluge du siècle ? Ou qui se retrouve avec une fuite d’eau massive alors que sa chaudière ne marche plus et qu’on est bien sûr au coeur de l’hiver ? Mais là où j’accumule, c’est dans ma relation avec la SNCF. Jeudi, neige … Continuer de lire La lose, une fois que tu l’as, elle te lâche plus

Mais laissez-moi profiter de ma période autiste !

Chaque année, en novembre-décembre, je connais une petite baisse de régime. Rien de grave, juste qu’à l’arrivée de l’hiver, je n’ai que deux amours : ma bouillote et ma couverture en mohair magique, celle que je dois parfois disputer avec Kenya. Alors sortir, bof. Sauf avec mes amis proches, j’entends mais les grosses noubas, non, j’ai pas très envie.  Je suppose que biologiquement, mon corps a du mal à concevoir pourquoi je n’hiberne pas. Mais cher corps, j’hibernerais avec plaisir, vois-tu (comme ça, je me réveille direct en 2010 et j’ai dit que cette année-là, je l’aimerais d’amour) mais je n’ai que 5 semaines … Continuer de lire Mais laissez-moi profiter de ma période autiste !

Qu’il est bon d’être déraisonnable

Comme je l’avais annoncé, l’année 2009 continue son show et je suis tellement en zone de turbulence que je préfèrerais limite le crash une bonne fois pour toute histoire de respirer un peu. Métaphore foireuse, je le concède. Mais bon, vu qu’il reste encore 41 jours que je suis bien obligée de les subir en attendant 2010, je deviens déraisonnable. Suite à ma période alcoolique d’il y a quelques années, j’avais une certaine aversion pour l’ivresse et ne buvait que de façon occasionnelle. Ce qui me rend d’ailleurs très sensible à l’alcool. Pour peu que je sois fatiguée, un Martini … Continuer de lire Qu’il est bon d’être déraisonnable

J’ai deux cœurs

(Promis, la semaine prochaine, retour de la question love and sex mais en ce moment, j’ai pas trop la tête sur les épaules mais ça va  aller) Cette semaine, j’ai été en vacances. Oh, pas assez, j’ai repris le travail hier. Oui, dans ma boîte, prendre le vendredi, c’est perdre le samedi donc j’ai tendance à revenir juste pour un jour.  Mais ces quelques jours passés dans le sud réveillent à chaque fois en moi cette sensation : j’ai deux cœurs. J’aime Paris, ma vie parisienne et toutes les possibilités qu’elle offre et mes amis, bien entendu. J’aime Toulouse, ma famille, mes amis … Continuer de lire J’ai deux cœurs

Body shop love etc. (etc.)

Bon, j’ai bien été mignonne de vous raconter mon week-end marseillais mais j’ai quand même oublié le cœur du truc, Body shop et surtout son parfum. Alors en ce jour d’automne pluvieux (du moins dans le sud. J’ai un bol avec la météo, moi…), je vais un peu jouer les beauty queens et revenir sur quelques produits que j’ai acheté lors de mon week-end à Marseille ou qu’on m’a donné, comme le parfum love etc. On va commencer par lui, tiens, le parfum. A l’intérieur, on y trouve des notes de jasmin, muguet, vanille, bois de santal, musc crémeux avec … Continuer de lire Body shop love etc. (etc.)

De la perpétuelle insatisfaction

Durant mon week-end à Marseille, je me suis adonnée à l’un de mes vices préférés : la lecture de magazines féminins. J’en lis certes moins depuis quelques temps (je plaide coupable, j’ai jamais racheté Grazia), sans doute par lassitude mais dans le train, c’est une tradition : je lis du féminin. ET dans l’un d’entre eux (Biba ou Marie-Claire ?), je découvre un article sur l’insatisfaction chronique : ma vie n’est jamais assez parfaite. Oh bah tiens, ça parle de moi, pour une fois. Oui parce qu’entre les articles sur la durabilité de mon couple et l’éducation de mes enfants, j’ai parfois l’impression qu’on m’oublie un … Continuer de lire De la perpétuelle insatisfaction

Et sinon, ce week-end à Marseille, c’était bien ?

Deux ans plus tard, je me penche enfin sur la question du week-end à Marseille mais je vais angler l’article différemment puisque pas mal d’articles ont été écrits sur le sujet. En quelques mots, je dirais que l’organisation fut au top, le parfum n’est pas dans mon style mais plutôt agréable. J’avoue que sur le coup, je craignais un peu que ça fasse un peu trop cocotte Eau jeune mais ça va. J’en ai profité pour me racheter du baume à la cerise et quelques petits produits, j’ai pris le soleil à Marseille. Chouette. Bien, voilà, en résumé, le soleil marseillais m’a … Continuer de lire Et sinon, ce week-end à Marseille, c’était bien ?

Dimanche pluvieux, dimanche foireux

J’avais déjà expliqué il y a quelques années que je n’aimais pas le dimanche, un non jour. Petite, c’était le jour des devoirs (oui, je suis de celles qui bossent toujours dans l’urgence). Adulte, c’est le jour du ménage vu qu’en temps normal, je ne suis jamais chez moi avant 20h ou plus tard et j’ose plus passer l’aspi après. Bref, dimanche, ça a toujours été corvée et déprime à l’idée que le week-end est fini. Le pire étant quand je suis en week-end chez mes parents (ce qui n’arrive plus beaucoup, merci la SNCF qui me coûte un bras), … Continuer de lire Dimanche pluvieux, dimanche foireux

Y a des fois, j’ai peur

Ego trip, bonjour. Non, non, pas de panique, je vais pas vous faire un énième article sur ma déprime passagère, tellement passagère qu’elle est passée. Faudra que je revienne sur le sujet (en général, je veux dire, pas sur ma déprime à moi, on s’en fout) mais sans complainte, cette fois-ci. Je vais vous raconter l’histoire de Nina qui a besoin de vacances mais elles sont imminentes, ça tombe bien. Parce qu’hier matin, j’ai quand même eu un trip bizarre et que je me dis que mon corps et surtout mon cerveau sont en train de m’envoyer des messages très clairs. VACANCES ! … Continuer de lire Y a des fois, j’ai peur