Le métro rend (vraiment très) con

Depuis un an, je me rends au travail à pieds. Ne serait la plongée, la chorale et ma vie sociale débordante, je pourrais ne pas prendre le métro… Pas de bol pour moi, hélas, je m’entasse régulièrement dans des wagons surpeuplés et bruyants. Or comme je le prends quand même moins qu’avant, l’incivilité et la crétinerie de la plupart des passagers me donnent envie de frapper et fort. Le ballet des montées et descentes C’est la situation type où le passager crétin surgit. Tu ne sais pas s’il va monter, descendre ou s’accrocher comme une moule à son rocher à … Continuer de lire Le métro rend (vraiment très) con

Retournement de situation

Cruelle désillusion : l’appart que je voulais n’est plus en location apparemment, ce qui veut sans doute dire que je n’en serai pas l’heureuse locataire vu que je n’ai reçu aucun coup de fil à ce sujet. Or après mes histoires de lose avec ma carte bleue et autres déceptions de petit ordre, je suis assez déprimée. Je revis un peu les heures noires du chômage, quand les entretiens n’aboutissaient à rien. Même si l’enjeu n’est pas aussi important, ça me rappelle quand même ces mauvais souvenirs et je m’en serais bien passée. Une semaine après la disparition de l’annonce, je me lève et … Continuer de lire Retournement de situation

Le cri de colère d’une banlieusarde

Lecteur, si tu débarques sur ce blog, laisse moi te dresser mon petit décor quotidien : Plume sur Berges, en proche banlieue de Paris, à 10 mn en train d’une grande gare parisienne, 2 mn en train du terminus d’une ligne de métro (15 minutes à pieds, je marche donc 8 fois moins vite qu’un train en moyenne mais on s’en fout un peu, en fait). Donc sur le papier, Plume sur Berges, c’est un peu l’avantage de Paris sans les inconvénients. Sur le papier, ouais. Donc vous l’aurez noté, pour me déplacer, je confie mon sort à la SNCF/RATP parce que … Continuer de lire Le cri de colère d’une banlieusarde