Qui qui qu’on invite ?

Le mariage n’est pas que la célébration de notre amour, non, non. Le mariage est d’abord une convention sociale : oublier d’inviter quelqu’un peut déclencher une crise familiale et/ou amicale, une déchirure grave et irréversible. Sauf que ça coûte des sous, les invités et que non, la fille qui était à côté de nous en CE1 et qui nous a prêté unes cartouche d’encre une fois n’est pas un témoin indispensable à notre bonheur. Qui devons-nous donc inviter ? La famille pour commencer. De mon côté, j’ai deux parents, une soeur et un beau-frère, un presque-frère et sa presque-femme (ils … Continuer de lire Qui qui qu’on invite ?

Mmmm, tu peux mettre une capote avant d’entrer ?

Je vous l’avais promis, voici un article sur les capotes et sur un comportement que je croise le plus souvent dans mes rencontres charnelles : la tentative d’oubli de la capote. Pas de ma part, non. Mais de celle du monsieur. Pour justifier cette intrusion sans gants, si j’ose dire, j’entends “mais j’ai fait un test et tout va bien”. Mmmm, ok, petit padawan, TOI, tu es clean, à ce que tu m’annonces, partons du postulat que c’est vrai. Que sais-tu de ma propre sérologie ? J’ai pas fait de test donc je n’en sais moi-même rien mais tu me … Continuer de lire Mmmm, tu peux mettre une capote avant d’entrer ?

Meurtrière !

Cette semaine, je me sens un peu d’humeur féministe donc je vais vous gratifier non pas d’un mais au moins de deux voire trois articles sur le sujet. Je suis comme ça, moi. Entamons donc cette dilogie/trilogie avec un sujet déjà évoqué par le passé mais apparemment, rien ne change : l’avortement. Lundi, un compte intitulé “pro vie” quelque chose a débarqué sur Twitter. Je m’abstiendrai de vous le linker, pas besoin de faire de la pub à ce compte qui, rien que par son intitulé me débecte. Pro vie, ça veut dire quoi ? Qu’une femme qui choisit de … Continuer de lire Meurtrière !

Nina et le scary dentiste

J’eus un secret : pendant 5 ans, j’ai disparu de l’univers biscornu et incroyablement compliqué de la sécurité sociale. 5 ans où j’ai évité tout docteur (à part le gyneco qui m’a posé Gudrun en punition). Mais la vie a décidé que ça suffisait la blague et m’a refilé un abcès dentaire. Tiens, dans ta bouche, va te soigner ! Un dentiste, ok mais qui ? Au moment de mon abcès (le 03 janvier, ça sentait bon l’année où j’allais morfler), j’étais encore chez boite-qui-n’a-pas-de-nom et pas encore fixée sur mon avenir professionnel donc en toute intelligence, j’ai choisi un professionnel proche … Continuer de lire Nina et le scary dentiste

Ma mère, ma fertilité et moi

Ca pourrait être le titre d’un mauvais film sur une trentenaire genre célibataire extravertie et liberée (genre moi), harcelée par sa mère qui désire plus que tout un petit fils ou petite fille (genre pas du tout ma mère). Un sujet carrément inédit, en somme. Mais non, ma mère a fortement milité pour que je reprenne la pilule quand elle a décrété qu’Amant chouchou était mon only one et que je devais protéger mes ovules de ses petits spermatos (mais je suis sûre qu’ils sont supers tes spermartos, chéri, le prend pas pour toi). Mais n’étant pas une poule, je ne voulais … Continuer de lire Ma mère, ma fertilité et moi

En quel temps ?

Depuis hier se déroule un étrange phénomène sur ma boîte mail : le club des 5 essaie de se trouver un créneau. Le club des 5, ce sont 5 filles (dont moi, des fois que vous n’auriez pas compris) qui se cherchent un rendez-vous mensuel pour se retrouver et bitcher en toute tranquilité. Non parce que sinon, on se voit toutes hebdomadairement à la plongée mais c’est pas pareil. Mais drame : nous sommes toutes légèrement débordées. Je vous résume la situation : le mardi, mort pour tout le monde, plongée. Le lundi et le mercredi, Lena a danse. Le jeudi, Isabelle … Continuer de lire En quel temps ?

Et soudain, l’inspiration

Je sais pas pourquoi mais ces derniers temps, niveau écriture, c’est moyen l’inspiration. Pourtant, il y en aurait des sujets à causer. Rien que l’actu, tiens… Mais sans doute que ça me déprime un peu trop, sans doute que j’estime que tout a été dit ailleurs, en mieux ou en pire, selon le média, et que ma pierre à l’édifice ne servirait pas à grand chose. Peut-être que je suis un peu désabusée, aussi, je sais pas. Puis j’ai un peu perdu de mon mordant et de mon cynisme ces derniers temps, je suis tellement Bisounours que je m’en effraie moi-même. Et hors … Continuer de lire Et soudain, l’inspiration

Franchement, je remercie pas mon père là…

Et ma mère non plus pour le coup. Et voilà, c’est reparti, je re-souffre à nouveau à cause de Güdrun. Stérilet de merde. La bonne nouvelle, c’est qu’il paraît qu’au bout de 3 mois, ça finit par passer, j’en suis à deux, youhou ! Mais tu vois, j’ai passé le week-end au lit à chercher une position pour calmer mes reins et mon ventre et figure toi que j’ai pas vraiment trouvé. J’ai utilisé ma bouillotte, pris de l’ibuprofène, mangé chaud (à en mouiller ma robe en coton), mangé froid. Le seul truc qui a bien marché, c’était la douche (oh bonheur!) mais … Continuer de lire Franchement, je remercie pas mon père là…

De la (semi) sainte et de la pute

Vendredi soir, après un début de soirée très intense à base de mails et de téléphone, je me pose devant Secret Story. Cette année, je passe totalement à coté essentiellement parce que j’ai mieux à faire (mais je lis les résumés sur des sites people, c’est vachement mieux en fait). Bon cette semaine, le mieux, c’était essayer de dormir, Gudrun oblige. Puis je les trouve moins bien cette année, je sais pas… Mais donc vendredi j’ai regardé et ça m’a inspiré cet article sur la sainte et la pute. Par définition, il faut une putasse dans chaque édition, la bimbo qui pose … Continuer de lire De la (semi) sainte et de la pute

Mon cher fœtus en cuivre

Ou : là, de suite, je regrette mon stérilet. Il y a 2 mois, ma mère qui vit aussi sereinement l’idée d’être grand-mère que moi d’être mère me proposa d’aller chez le gynéco poser un stérilet. Mais super maman, allons y! Donc opération gyneco. Et voilà comment nos destinées ont été liées. Désormais, tu es mon fœtus en cuivre. Quelle idée de te nommer comme ça mais un fond, regarde : tu niches peinard dans mon utérus qui, je suis sûre, est très confortable et surtout, grace à toi, je découvre la joie des symptômes de grossesse. Sans la période où les … Continuer de lire Mon cher fœtus en cuivre