De la perpétuelle insatisfaction

Durant mon week-end à Marseille, je me suis adonnée à l’un de mes vices préférés : la lecture de magazines féminins. J’en lis certes moins depuis quelques temps (je plaide coupable, j’ai jamais racheté Grazia), sans doute par lassitude mais dans le train, c’est une tradition : je lis du féminin. ET dans l’un d’entre eux (Biba ou Marie-Claire ?), je découvre un article sur l’insatisfaction chronique : ma vie n’est jamais assez parfaite. Oh bah tiens, ça parle de moi, pour une fois. Oui parce qu’entre les articles sur la durabilité de mon couple et l’éducation de mes enfants, j’ai parfois l’impression qu’on m’oublie un … Continuer de lire De la perpétuelle insatisfaction

Et sinon, ce week-end à Marseille, c’était bien ?

Deux ans plus tard, je me penche enfin sur la question du week-end à Marseille mais je vais angler l’article différemment puisque pas mal d’articles ont été écrits sur le sujet. En quelques mots, je dirais que l’organisation fut au top, le parfum n’est pas dans mon style mais plutôt agréable. J’avoue que sur le coup, je craignais un peu que ça fasse un peu trop cocotte Eau jeune mais ça va. J’en ai profité pour me racheter du baume à la cerise et quelques petits produits, j’ai pris le soleil à Marseille. Chouette. Bien, voilà, en résumé, le soleil marseillais m’a … Continuer de lire Et sinon, ce week-end à Marseille, c’était bien ?

Dimanche pluvieux, dimanche foireux

J’avais déjà expliqué il y a quelques années que je n’aimais pas le dimanche, un non jour. Petite, c’était le jour des devoirs (oui, je suis de celles qui bossent toujours dans l’urgence). Adulte, c’est le jour du ménage vu qu’en temps normal, je ne suis jamais chez moi avant 20h ou plus tard et j’ose plus passer l’aspi après. Bref, dimanche, ça a toujours été corvée et déprime à l’idée que le week-end est fini. Le pire étant quand je suis en week-end chez mes parents (ce qui n’arrive plus beaucoup, merci la SNCF qui me coûte un bras), … Continuer de lire Dimanche pluvieux, dimanche foireux

Y a des fois, j’ai peur

Ego trip, bonjour. Non, non, pas de panique, je vais pas vous faire un énième article sur ma déprime passagère, tellement passagère qu’elle est passée. Faudra que je revienne sur le sujet (en général, je veux dire, pas sur ma déprime à moi, on s’en fout) mais sans complainte, cette fois-ci. Je vais vous raconter l’histoire de Nina qui a besoin de vacances mais elles sont imminentes, ça tombe bien. Parce qu’hier matin, j’ai quand même eu un trip bizarre et que je me dis que mon corps et surtout mon cerveau sont en train de m’envoyer des messages très clairs. VACANCES ! … Continuer de lire Y a des fois, j’ai peur

A mon âme poète

Mon cher moi d’avant, Hier soir, en rentrant chez moi, je ne sais pourquoi mais un exercice de français m’est revenu tout à coup en tête. C’était en 3e, l’année du brevet. Sur le coup, je sais, ça fait peur mais je te promets que près de 15 ans plus tard (merde, 15 ans, déjà, qu’ai-je donc fait du temps passé ?), tu en riras de bon cœur. Le brevet est une blague, vois ça comme une initiation au futur bac. Mais je ne veux pas te parler d’examens, non, je veux te parler poésie. Ce fameux exercice, donc. La prof … Continuer de lire A mon âme poète

Ah alors en fait, c’était ça !

La semaine dernière, j’étais pas fringante du tout, comme vous avez pu le constater. Déprime automnale classique (chaque année, c’est le même cirque sauf qu’en 2008, je déménageais et en 2007, je changeais de taf donc c’était arrivé plus tard) doublée de quelques perturbations pro assez fatigantes. Disons en quelques mots que travailler avec des gens qui ne sont pas des professionnels, ça crée pas mal de situations certainement cocasses pour eux mais franchement compliquées pour nous. Heureusement pour moi, Vicky a justement choisi cette semaine pour revenir de vacances donc j’ai pu aller chouiner chez elle (deux fois en … Continuer de lire Ah alors en fait, c’était ça !

C’était revenu, c’est reparti

Hier soir, j’avais passé une super soirée et je pensais avoir retrouvé le mojo de l’écriture, j’avais 150 idées en tête. Ce matin, le torrent de merde qui me tombe sur la tête continue. J’ai envie de pleurer, je craque, j’en ai plus que marre. Je me lève tous les matins épuisée, je récupère plus, les journées sont toutes plus éprouvantes les unes que les autres. Alors on va dire qu’aujourd’hui, y aura pas d’articles. Et à ce rythme là, demain non plus. Bonne nouvelle, les vacances sont dans 3 semaines (je crois), je pense potentiellement arriver à survivre. Continuer de lire C’était revenu, c’est reparti

Tsunami en la demeure

Aussi incroyable que ça puisse paraître, je ne suis pas morte. Personne de mon entourage n’a passé l’arme à gauche non plus. Ma petite absence en ces lieux s’explique par une déprime passagère qui me rend à peu près aussi drôle qu’un tableau de Munch et mon week-end à Marseille pour Buzz Paradise que je vous raconterai quand j’aurai retrouvé toute ma joie de vivre car ce week-end fut une belle réussite pour l’agence à mes yeux et je veux leur rendre hommage à juste titre. Et pour ceux qui en douteraient, non, je ne bosse pas chez eux. La preuve, je … Continuer de lire Tsunami en la demeure

La révélation du matin

Le matin et moi, c’est une histoire compliquée, torturée. J’appartiens à la race dite des noctambules. A mon époque chômagère (néologisme mon amour), je ne connaissais pas le matin, je me couchais à 6h pour me lever à 14h, profitant de la nuit pour écrire. J’ai l’inspiration nocturne, pour le boulot et les loisirs, c’est ainsi. Le matin, je ne l’aime pas trop trop et pourtant… Et pourtant, c’est un des moments où je suis le plus efficace. Mes plages d’efficacité sont 8h30-12h puis 18h-2h du mat. Dans mes années étudiantes, c’était dans ces créneaux que j’abattais le plus de boulot, l’après-midi … Continuer de lire La révélation du matin

Je n’ai pas changé… ah si, un peu quand même

Je vous avais parlé récemment de mes retrouvailles programmées avec Victoire, une de mes premières copines parisiennes perdue de vue depuis un bon moment. Après qu’elle m’ait retrouvée sur linkedin, nous sommes donc allées boire un café. 4 ans à rattraper, y a du travail. C’est étrange ce qu’on retient ou non. J’avais oublié l’existence de son chat, de certaines personnes qui évoluaient dans notre périphérie à l’époque. Mais finalement, le mieux, c’est que, en discutant, on découvre qu’on a changé et plutôt en bien, je trouve. A l’époque, j’adorais la voyance, même si ça n’était qu’un jeu pour moi. Aujourd’hui, ça doit … Continuer de lire Je n’ai pas changé… ah si, un peu quand même