Je passe mon niveau 2 !

La plongée, c’est comme le parachute : si tu veux que tout se passe bien, tu as intérêt à maitriser tes paramètres. Toute ma semaine de passage, en fait, j’ai joué au parachute sous-marin : bras plaqués le long du corps, j’ondule le buste selon la direction que je veux prendre (haut/bas), je gonfle et dégonfle mes poumons. Bref, je fus follement aérodynamique mais sous l’eau (aquadynamique ?). Pour ceux qui nous rejoignent et ceux qui papotent en fond de classe, je suis partie la semaine de Pentecôte dans le Var passer mon niveau 2 de plongée. Pour faire simple, le … Continuer de lire Je passe mon niveau 2 !

Je veux pas grandir !

Dimanche soir, j’erre mollement sur les ondes même plus hertziennes, attendant que le sommeil, qui m’avait déjà cueillie de 16 à 22h, daigne repasser me prendre pour me plaquer, impitoyable, dans mon lit. Mais comme il traînassait dans d’autres draps que les miens, je zappais et tombais sur Ally McBeal. Tiens, ça fait une éternité et demi que j’ai pas vu cette série et pourtant, faudrait vraiment que je m’y penche dessus. Non mais c’est vrai, ça m’échappe un peu le succès de cette série avec la bande de dépressifs qui la compose, dépressifs qui manquent cruellement de cynisme et de second … Continuer de lire Je veux pas grandir !

Le bon plan chope de la rentrée : la plongée

(aurait pu faire partie des où trouver l’homme mais faut que je les reprenne de zéro, je m’étais trop éloignée de mon concept de départ) Oyez oyez, braves gens, c’est bientôt la rentrée et qui dit rentrée dit choix des activités extraprofessionnelles. Comme à l’école, oui. Alors, que va-t-on choisir ? Moi, j’hésite très très fort, comme d’hab. Plongée, c’est sûr que je continue mais quoi d’autre ? Le russe ? les horaires sont chiantes et les cours individuels hors de prix (même déduction des impôts). Le violoncelle ? Je répète quand ? Sans parler du prix toujours auquel il faut … Continuer de lire Le bon plan chope de la rentrée : la plongée

Voilà pourquoi je ne vais jamais chez le docteur

Aujourd’hui, je vous dois une confidence : en tant que fille de médecin, je suis victime du syndrome des cordonniers mal chaussés. En un mot : je ne vais jamais chez le docteur, je demande tout à papa. Ce qui fait par exemple que j’ai des lunettes tordues sur le nez (il est pas ophtalmo mon père et y a des jours où je lui en veux un peu pour ça) et que j’ai dû lui demander des antibio pour soigner préventivement une potentielle chlamydia. Ce qui l’a fait marrer, mes parents ont un super sens de l’humour. Mais voilà, depuis ma plongée à … Continuer de lire Voilà pourquoi je ne vais jamais chez le docteur

L’Iphone, c’est le mal

Il y a maintenant une semaine et quelques jours, j’ai reçu mon premier Iphone. Non, je n’étais pas ravie de l’avoir, je l’ai pris parce que j’en avais besoin pour le boulot (oui, je sais, j’aurais dû me le faire payer par la boîte) et surtout parce que j’avais pété mon ipod et que mon vieux mp3 tient en moyenne 3 chansons. Ce qui ne me permet ni d’aller jusqu’à la gare et encore moins de tenir toute une séance de sport. Et je défie quiconque de rester une heure sur un appareil sans musique, c’est de la torture. Donc Iphone, je … Continuer de lire L’Iphone, c’est le mal

Article sans queue ni tête

En ce moment, le maître mot de ma vie est : pas le temps. Entre mes boulots (au pluriel, oui), la coloc de la vacuité, le ménage (parce qu’à deux, c’est vite le bordel et que Vicky préfère twitter que ménager, hihi), les démarches administratives, le sport et mon rhume.. . Ben voilà, qui en pâtit : le blog. C’est pas que je ne ‘ai plus rien à dire, c’est même précisément l’inverse mais je dois prioriser. Alors en attendant, je vais renouer avec une tradition oubliée de ce blog : la liste ! – Il est des moments pénibles et gênants dans la vie parfois. … Continuer de lire Article sans queue ni tête

Delirium tremens fiévreux

Ceux qui me suivent sur Twitter le savent : ce week-end, j’étais malade. Depuis jeudi, mon nez coule, ma gorge gratte, mon audition est partie battre la campagne. Le joli rhume des familles quoi. Sauf que si je m’en suis pas trop mal sortie jeudi et vendredi, depuis samedi, c’est la cata. Seul avantage, si j’ose dire : la fièvre me file des révélations amusantes. Et ce matin, alors que j’émergeais péniblement de mon état cotonneux, la bouche emplie d’un goût bizarre et pâteux que même Kenya ne venait pas renifler quand je baillais. Je venais de faire un rêve un peu chelou à base … Continuer de lire Delirium tremens fiévreux

Je suis passé du côté totalement girly de la force

 j’avais 18 ans, j’étais globalement garçon manqué. Quelques teintures de cheveux par ci, une touche de mascara par là, un peu de khôl autour de mes yeux et c’est terminé pour ma féminité. Ah si, j’avais déjà de jolis sous vêtements . Mais tout ce qui était mode et chouchoutage au-delà de la simple hygiène me semblait d’une superficialité sans nom et rien que l’idée d’un masque capillaire me faisait lever les yeux au plafond. Je l’ai déjà dit, ado, je ne prenais pas bien soin de moi. Aujourd’hui, je me rends compte que je suis totalement l’inverse. Déjà, je lis des magazines … Continuer de lire Je suis passé du côté totalement girly de la force

Mais où trouver l’homme pour de vrai ?

 En cette morne matinée, j’aurais pu vous parler du fait que mon train avait encore eu du retard hier (40 mn car un train en sens inverse a dégommé un sanglier. Con de sanglier), du fait que j’ai repris le travail et que je crois que je vais être toute seule au bureau aujourd’hui. Mais non, j’ai pas très envie de chouiner donc on va parler de rencontres amoureuses, ouééééé ! Y a plus d’un an, j’ai débuté où trouver l’homme, une série qui m’a amusée mais que j’ai fini par laisser filer. Du coup, aujourd’hui, j’ai des milliards d’idées sur la question mais … Continuer de lire Mais où trouver l’homme pour de vrai ?

Cocooning et régression

Ou comment je suis tellement détendue du string que je me sens sans culotte. Je vous avais parlé récemment de mes réflexes régressifs en cas de gros stress, de comment je gère l’anxiété en me faisant un petit cordon bleu-nouilles de derrière les fagots, par exemple. J’adore ! Et bien là, je suis en vacances et autant vous dire que je renoue avec mon adolescence chérie. Enfin, chérie 15 ans après, s’entend. Depuis que je suis adulte et responsable (ou à peu près), ma maman me bichonne. Ben oui, maintenant qu’elle n’a plus vraiment besoin de jouer de son autorité sur moi ou … Continuer de lire Cocooning et régression