The company men de John Wells

Par Pink Lady Mardi dernier, j’ai été gracieusement invitée par Pingoo à l’avant-première de The Company men de John Wells. Le pitch : suite aux crises des subprimes, la société GTX dégraisse à tout va et licencie Bobby Walker (Ben Affleck), Phil Woodward (Chris Cooper) et des milliers d’autres personnes, malgré l’avis du ponte de la société Gene McCarthy (Tommy Lee Jones). Licenciés sans ménagement par Sally Wilcox (Maria Bello qui devrait penser à manger de temps en temps) qui leur balance leur licenciement à la figure sans aucun ménagement. L’histoire va suivre ce trio : Bobby et Phil cherchent un emploi, Gene … Continuer de lire The company men de John Wells

Ch…ch…ch…ch…Changes !

Par Keira  Tout d’abord : Bonne année ! Voilà, ça c’est fait. Ensuite. Je disais hier à Nina que j’allais faire un petit article mignon en partie sur le réveillon et la famille mais comme tout le monde le fait… bah non. Donc pour changer un peu j’ai décidé de revenir à ce que je faisais avant. Une critique ciné. Bon, là j’ai été inspirée par Nina et sa critique d’Indiana Jones. Mon cerveau étant au point mort jusqu’à demain (la rentrée des classes, youpi !) je m’autorise une critique pas très constructive visant seulement à avoir des réponses de gens intelligents. … Continuer de lire Ch…ch…ch…ch…Changes !

L’Étrange Histoire de Benjamin Button, de David Fincher

Par Bobby  Une fois n’est pas (plus) coutume (j’ai été débordé par une avalanche de dossiers à rendre pour la fac et, face à la difficulté de la chose, me suis vu contraint d’abandonner mon double cursus philo-cinéma pour ne garder que le cinéma, car après tout, je suis venu à Paris pour ça, à la base), je reprends mon clavier et ma casquette de Bobby la bidouille pour vous parler d’un film que je suis allé voir hier en compagnie de mon cher et tendre (que nous appellerons Angel, puisque de toute évidence, je serai amené à reparler de … Continuer de lire L’Étrange Histoire de Benjamin Button, de David Fincher

L’échange, de Clint Eastwood

Par Bobby A la fin des années 20, une femme célibataire campée par Angelina Jolie perd son petit garçon et alerte la police. Or, la police corrompue et pourrie de Los Angeles ui ramène un gamin qui n’est pas le sien, et s’efforce de la convaincre qu’il est bien celui qu’elle a perdu. S’en suit une éprouvante descente aux enfers et un combat acharné pour la vérité. Je ne veux pas démonter le film, parce que je n’y ai pas été insensible, mais par contre j’aimerais souligner à quel point il est chargé de classicisme. Je me souviens avoir regardé les derniers films … Continuer de lire L’échange, de Clint Eastwood

Sin City, de Robert Rodriguez (2003)

Par Keira  Il y a des films comme ça qui vous scotchent au fauteuil et vous font vibrer les iris. Je me rappelle de cette claque visuelle qu’a été pour moi ce fameux Sin City. A l’époque je ne lisais pas de comics mais le nom de Franck Miller ne m’était pour autant pas inconnu. Aussi, l’association Rodriguez-Miller m’a titillée.   Ne serait-ce que cette affiche… Très graphique déjà à l’époque. Et puis le casting : Bruce Willis, Mickey Rourke, Benicio del Toro, Rosario Dawson, Jessica Alba, Elijah Wood, Rutger Hauer, Michael Madsen, Clive Owen, Brittany Murphy, Josh Hartnett… Le réalisateur … Continuer de lire Sin City, de Robert Rodriguez (2003)

Babel, d’Alexandro Gonzales Iñarritu

Par Bobby Rappelez-vous. Je vous ai déjà parlé de 21 grams, du même réalisateur. Aujourd’hui, je m’attaque à son film suivant, Babel, qui reprend le même principe (la croisée de plusieurs destinées autour d’un seul et même accident), pour l’étendre à l’échelle de notre planète, et non plus d’une ville comme dans Amores Perros ou 21 grams. Maroc. Deux gamins tirent sur un car de tourisme avec un fusil, pour jouer. Une touriste américaine est gravement blessée et oscille entre la vie et la mort. Cette même touriste, venue avec son mari pour quelques jours de vacances, voyait son couple au bord … Continuer de lire Babel, d’Alexandro Gonzales Iñarritu

Le Monde Magique de Walt Disney

Par Keira Au cas où vous ne le sauriez pas encore, je suis une grande enfant. Plus communement montrée comme la fille au syndrome de Peter Pan, je n’ai jamais vraiment eu envie de grandir. Enfin ça a changé depuis quelques temps car j’ai enfin un but dans ma vie. Je progresse. Je voulais donc vous parler de ce symbole cinématographique qu’est Disney. Non, je ne vous ferai pas le traditionnel cours d’histoire de l’Art en mentionnant la naissance de Mickey dans Steamboat Willy rassurez-vous, mais simplement de ce que ça représente à mes yeux. Il vous faut savoir que … Continuer de lire Le Monde Magique de Walt Disney

Vicky Cristina Barcelona, de Woody Allen

Par Bobby Je ne sais pas si je suis le mieux placé pour parler de ce film, dans le sens où je n’ai pas vu beaucoup de films de Allen, donc je me sens un peu HS au milieu de son oeuvre. Je vais donc l’étudier sans faire de comparaison. Deux jeunes américaines, donc, Vicky et Cristina, débarquent un été à Barcelone, l’une pour parfaire sa thèse, l’autre dans une optique plus poétique. La première est mariée à un riche beau gosse, l’autre est ouverte à toute proposition. Et justement, elles rencontrent un type qui en a une, de proposition, … Continuer de lire Vicky Cristina Barcelona, de Woody Allen

Shortbus de John Cameron Mitchell

Par Keira Pour ceux qui ne connaissent pas le réalisateur il s’agit donc de John Cameron Mitchell, un mec qui doit approcher vaguement de la quarantaine et qui est super doué pour faire des films qu’on n’oublie pas. Son premier film Hedwig and the Angy Inch était un véritable ovni génialissime parlant de la vie d’un transsexuel dont l’opération avait raté. Je l’avais vu lors de sa sortie au ciné. J’étais jeune et ça m’a vraiment marqué. C’était d’ailleurs le premier rôle au cinéma de Michael Pitt (vous savez, le faux Kurt Cobain de Last Days de Gus Van Sant). Mais revenons-en à … Continuer de lire Shortbus de John Cameron Mitchell

De la guerre, de Bertrand Bonello

Par Bobby Un film bizarre, vraiment. De la guerre s’ouvre, rien que par le nom, comme une sorte d’essai. On est au bord de l’expérimental, voire complètement dedans. Alors forcément, c’est difficile à aborder. L’histoire, c’est un cinéaste fasciné par la mort qui se retrouve dans une étrange secte où la doctrine impose un retrait de la société et une préparation au combat, une sorte de combat mystique, davantage contre soi-même et les contingences sociales (amours, amitiés, famille, travail), contre l’angoisse et le stress des villes. Voici alors une succession de scènes dont la temporalité et l’enchaînement nous déstabilisent, et il semblerait … Continuer de lire De la guerre, de Bertrand Bonello