Aimer n’est plus baiser

(J’avais pensé à un autre verbe du premier groupe mais je me suis dit que le racolage avait ses limites) Hier soir, j’étais enfin peinarde chez moi et je m’adonnais à mon occupation préférée des soirs de glandouille : lire les blogs BD. Ouais, quand je suis seule chez moi, le soir, c’est mon rituel. J’attrape les yaourts qui me serviront de repas (je sais…), je me plante devant blogs BD et je lis. Là, je ne culpabilise pas comme quand je passe la soirée à glander sur Yahoo! jeux parce que bon, je peux pas écrire et manger en même temps, … Continuer de lire Aimer n’est plus baiser

Clap de fin

C’est une journée comme une autre, une journée qui commence avec de petites contrariétés : un réveil qui tombe pour cause d’arrêt trop brutal, un train qui a 15 mn de retard. C’est une journée qui se déroule normalement au boulot et qui devrait bien se finir, je passe la soirée avec mes anciens collègues de chez Pubilon. Sortie du boulot à l’heure, je pense à recharger mon pass navigo, je récupère le métro : tout va bien. Je trafique mon téléphone, il n’y a pas trop de monde, je suis assise sur un strapontin. Station Ranelagh, le métro rentre en station … Continuer de lire Clap de fin

Qu’il est dur d’être un bon troll

Comme toute blogueuse qui se respecte, j’ai un troll. Cependant le mien est à ce point stupide que ça en devient vexant. Par exemple, mon grand jeu, c’est de publier ses comme, y répondre et, tout à coup, les effacer. Car le troll est un animal fragile : tu cliques sur un bouton, c’est comme s’il n’avait jamais existé. Clic clic t’es mort. Mais le troll n’a pas de vie (surtout pendant les vacances scolaires et les week-ends) donc il insiste. Et il tape tellement à cote que si j’étais un arbre qu’il cherchait à abattre, il aurait déjà creusé une belle tranchée … Continuer de lire Qu’il est dur d’être un bon troll

Mais un bébé n’est pas un jouet [bordel]

Je sais pourquoi je regarde de moins en moins la télé : ça me fait peur et ça menace grandement tout mes schémas de pensée. En somme, si je veux rester dans monde bisounoursiste basé sur la justice de la vie, je dois arrêter de lire les articles sur Secret Story ou regarder le prime quand je glande le vendredi soir. Quoique je me rends compte que les vendredis se passent rarement à la maison, tiens. Mais vendredi, j’y étais et j’ai cru avoir pris de violentes drogues tellement j’hallucinais. En cause le couple Sennamelie, devenu chiant comme la pluie. Maintenant que la … Continuer de lire Mais un bébé n’est pas un jouet [bordel]

And a man needs a target at which he can aim.

Par Keira Très longtemps. Oui, cela fait vraiment très longtemps que je n’ai rien écrit. Il y a des moments comme ça, où on se sent… inspiré. Des sortes de croisements des chemins, dans notre vie, où la réflexion amène la création. Oui, le mot création est très prétentieux. Mais que voulez-vous, je ne vois pas quel autre mot utiliser.   Une année. Passée. 24 ans. Passés. C’est difficile de faire le point quand tout va à 100 à l’heure. L’école, c’est fini. Réussi, même si à la fin c’était un peu dans la douleur. Du coup me voilà à … Continuer de lire And a man needs a target at which he can aim.

Les fiançailles de l’extrême

Ce week-end, alors que des amazones apparemment hystériques décidaient de tenir tête à l’équipe des hommes sur une île lointaine, je m’apprêtais à vivre mon propre Koh Lanta. Au menu des épreuves : marche en talons hauts et collants (soit « marche sur une patinoire ambulante toute la journée »), messe d’une heure, repas gargantuesque en tenue de gala, nuitées en camping car. Bref, vendredi soir, quand je suis montée dans le train, nonobstant les baisers et les caresses d’encouragement d’Amant chouchou sur le quai (comme c’est romantique), je n’étais guère jouasse. Cramer tout un week-end pour des fiançailles, ça fait un poil chier. … Continuer de lire Les fiançailles de l’extrême

En quel temps ?

Depuis hier se déroule un étrange phénomène sur ma boîte mail : le club des 5 essaie de se trouver un créneau. Le club des 5, ce sont 5 filles (dont moi, des fois que vous n’auriez pas compris) qui se cherchent un rendez-vous mensuel pour se retrouver et bitcher en toute tranquilité. Non parce que sinon, on se voit toutes hebdomadairement à la plongée mais c’est pas pareil. Mais drame : nous sommes toutes légèrement débordées. Je vous résume la situation : le mardi, mort pour tout le monde, plongée. Le lundi et le mercredi, Lena a danse. Le jeudi, Isabelle … Continuer de lire En quel temps ?

Et soudain, l’inspiration

Je sais pas pourquoi mais ces derniers temps, niveau écriture, c’est moyen l’inspiration. Pourtant, il y en aurait des sujets à causer. Rien que l’actu, tiens… Mais sans doute que ça me déprime un peu trop, sans doute que j’estime que tout a été dit ailleurs, en mieux ou en pire, selon le média, et que ma pierre à l’édifice ne servirait pas à grand chose. Peut-être que je suis un peu désabusée, aussi, je sais pas. Puis j’ai un peu perdu de mon mordant et de mon cynisme ces derniers temps, je suis tellement Bisounours que je m’en effraie moi-même. Et hors … Continuer de lire Et soudain, l’inspiration

Avec qui tu manges le midi ?

L’autre jour, j’ai assisté à une scène mignonne à mon bureau. A ma droite, Camille, stagiaire marketing. Dans l’open space qui passe à côté de nous : Eve-Marie, stagiaire commerciale. Bon, le fait qu’elles soient stagiaires importe peu. Elles étaient dans la boîte avant moi. Eve-Marie passe derrière nous (oui, je suis en open space et les gens se déplacent en permanence derrière moi. Autant te dire que la vidéo de fessée NSFW que j’ai vue passer sur Facebook ce matin, je la regarderai à la maison) et Camille l’interpelle « hé, tu manges quand ? ». Et là, drame « Heu mais heu… je mange … Continuer de lire Avec qui tu manges le midi ?

Franchement, je remercie pas mon père là…

Et ma mère non plus pour le coup. Et voilà, c’est reparti, je re-souffre à nouveau à cause de Güdrun. Stérilet de merde. La bonne nouvelle, c’est qu’il paraît qu’au bout de 3 mois, ça finit par passer, j’en suis à deux, youhou ! Mais tu vois, j’ai passé le week-end au lit à chercher une position pour calmer mes reins et mon ventre et figure toi que j’ai pas vraiment trouvé. J’ai utilisé ma bouillotte, pris de l’ibuprofène, mangé chaud (à en mouiller ma robe en coton), mangé froid. Le seul truc qui a bien marché, c’était la douche (oh bonheur!) mais … Continuer de lire Franchement, je remercie pas mon père là…