Avec réussite mais on a frôlé le mur de près. Je suis une boulimique de fictions et j’aime analyser ce qui m’a plu ou pas, les réussites ou échecs narratifs. Parce que la narration, c’est comme la cuisine. Quand on identifie un ingrédient qu’on aime bien, on a envie de le décliner. Même si ça ne fait pas l’unanimité alors que je ne comprends pas ce que vous reprochez à l’estragon. Donc parlons de ce film que j’ai particulièrement aimé, Don’t look up. Film que j’ai cependant failli couper à 30 mn car niveau suspension consentie de l’incrédulité, on y allait un peu trop fort. Mais joli rattrapage vers le milieu du film.
