En général, quand on parle abrutissement des masses, on pense de suite à la télé ou tout du moins aux écrans, c’est le cas dans Albator, Fahrenheit 451 et 1984, on limite l’apprentissage d’un savoir par un écran supposant une passivité importante. Mais il existe une autre voix pour l’abrutissement des masses : les petites pilules ! Donc aujourd’hui, c’est le meilleur des mondes par Aldous Huxley.
Une réflexion sur “Le meilleur des mondes, la fausse utopie scientifique”