Où le malheur est une donnée relative

Si je devais me définir avec une carte de tarot (pourquoi pas ?), je choisirais la roue de la fortune tant ma vie ressemble à une sitcom avec moult rebondissements. Si je suis souvent victime d’une poisse peu commune, j’ai parfois aussi droit à quelques coups de chance insensés qui contrebalancent. La roue tourne. On débattra un autre jour de l’existence réelle de la chance ou de la malchance, c’est pas le sujet du jour. En ce moment, je me dirais au centre d’une double rotation : il m’arrive des trucs hyper cool et d’autres franchement pénibles. Le verre est … Continuer de lire Où le malheur est une donnée relative

29, c’est 30-1

Et voilà, encore une année de plus au compteur. Il y a 29 ans, je naissais, petite chose tremblante, barbouillée de plasma, hurlante. Pas de dents, quelques cheveux, incapable de faire quoi que ce soit. Et 29 ans plus tard, je suis un être à part entière. Ca file un peu le vertige quand on y pense, non ? Donc, voilà, 29 ans. Autant vous dire que là, je réalise pas. J’ai passé ses derniers mois entre état second et stress, des changements en pagaille. Bref, j’ai pas bien compris où sont passés les derniers mois (non, pas là, non) mais voilà, aujourd’hui, … Continuer de lire 29, c’est 30-1

L’importance de la lose en période de crise

Moi, la lose, c’est un peu mon sujet favori, même que je mets deux o au lieu de un pour bien accentuer le truc. Bon, peu importe, cet article ne traitera pas d’orthographe anglais mais bien de la loooooooooooose, ces petites choses bêtes et méchantes qui nous arrivent. La lose, c’est ma vie. Genre samedi, je fais une machine, tout se passe bien. A priori. J’ouvre le hublot et sloush, un tsunami. Au bout de trente seconde, je me dis que mettre un seau sous ce flot peut être une bonne idée. Blonde un jour, blonde toujours. Bref, je récupère … Continuer de lire L’importance de la lose en période de crise

J’’ai rencontré Amélie Nothomb

Il y a, dans la vie, des périodes où tout va bien. En ce moment, je suis plutôt dans une phase positive : j’ai terminé un stage pourri, je suis avec un garçon bien sous tout rapport, j’ai la santé, j’ai pas gagné au loto mais on peut pas tout avoir non plus… Samedi, mes parents étaient sur Paris, ils pleuvaient des cordes, peut-être était-ce la fin du monde (private joke, allez voir le blog de Ced…) ? Bon, comme le temps était franchement catastrophique, on renonce à aller se balader où que ce soit, direction les Champs pour faire les magasins. … Continuer de lire J’’ai rencontré Amélie Nothomb