La fille des magazines est philosophe dans l’âme

Par PinkLady Hé saluuuuuuuuuuuut le blog ! Comment ça va ? Bien ou bien ? Moi, je vais un petit peu moyen et c’est de ma faute : pour vous, lecteurs, j’ai repris la lecture de magazines féminins et j’ai beaucoup souffert, vous savez… J’avais oublié quoi ! Toute cette fureur, tous ces articles qui m’expliquent la vie, toute cette pression de la minceur bronzée tout en m’expliquant que allez, c’est pas grave si je rentre pas dans un 38 mais que bon, si je pouvais faire des abdos et du vélo elliptique, je serais bien mignonne. Gniiiiii. Avant de … Continuer de lire La fille des magazines est philosophe dans l’âme

Ouverture d’esprit

Par Tatiana Ah cher lecteur, je vais encore partager avec toi une tranche de ma vie suivi des interrogations qu’il en découle. J’étais au téléphone avec une amie qui, la pauvre, enchaîne les galères. Elle s’est faite larguée par son mec il y a peu de temps et elle a des merdes au boulot et elle s’est faite cambriolée, et j’en passe. Autant vous dire que je me demande même si quelqu’un ne lui a pas jeté un sort. Mais bon ce n’est pas le sujet de l’article. Je vous exposerai peut être ma théorie sur l’envoûtement un autre jour. Elle n’allait … Continuer de lire Ouverture d’esprit

Enzo travaille à Corpocrec

Par Enzo En ce moment j’ai un peu l’impression de travailler dans l’entreprise imaginée par Martin Vidberg, Corpocrec. Une entreprise où l’on peut rester en faisant semblant de travailler. Il y a quelques semaines, quand j’avais fini ma première journée (d’une heure) à Corpocrec, Nina m’avait dit que ça méritait un article. Je n’en avais rien fait sur le moment (harassé par cette journée de travail sûrement). Mais il n’est jamais trop tard pour bien faire ! Lors de ma scolarité, j’ai pris plaisir à écrire pour un journal étudiant (traduire par « quelques feuilles A4 photocopiées et agraffées ») un article sur … Continuer de lire Enzo travaille à Corpocrec

Ecrit-on mieux en temps de guerre ?

Cette semaine, j’ai entamé la lecture du roman « les deux amis » de Moravia. En fait, il ne s’agit pas tout à fait d’un roman mais de notes que l’écrivain a pris pour un projet de roman qui n’a jamais vu le jour. Là, ces bouts de roman (qui ont fini par dériver pour donner naissance au sublime Le mépris) ont été réunis dans un livre avec une très bonne préface qui parle un peu des tourments de Moravia l’écrivain en temps de guerre qui réfléchit sur la société italienne dans laquelle il évolue. Et là, forcément, ça m’interpelle. Un écrivain … Continuer de lire Ecrit-on mieux en temps de guerre ?