30 ans, célibataire, sans enfants. Ca urge !

Article écrit alors que je suis légèrement énervée, espérons que ma prose ne s’en ressentira pas trop. Discussion anodine sur ma vie amoureuse entre un homme (que je ne connais pas au demeurant) et moi. Alors que je lui explique l’extrême complexité de ma vie privée (bon ok, en très gros, sans aucun détail), son jugement est sans appel : largue-le, tu perds ton temps avec lui. Perdre mon temps ? Mais à quel niveau ? Réponse attendue et qui a déclenché une réponse acerbe de ma part : parce que ta fertilité n’est pas éternelle. Et allez, ça faisait pas longtemps qu’on … Continuer de lire 30 ans, célibataire, sans enfants. Ca urge !

Analyse littéraire

Par Lucas(Dédicace à feu la classe de Terminale L, 1998, Lycée Richelieu et à Diane) Dans un commentaire composé, vous analyserez le document ci-joint (Annexe 1) et ses enjeux, de manière ordonnée et structurée. Depuis la nuit des temps (1), les artistes de variété ont su s’inspirer de la vie quotidienne afin de traduire, dans leurs créations, toute la diversité des émotions et des caractères humains. La preuve nous en est donnée avec le texte de cette chanson, publiée en 1990, qui nous interpelle de manière béante, sur la problématique inhérente des relations ambivalentes entre individus issus de classes socioprofessionnelles … Continuer de lire Analyse littéraire

Insomnies du dimanche soir

Elles m’épuisent. C’est le cas de le dire. Tous les dimanches ou presque, c’est le même cirque : la nuit venue, je ne dors pas. Oh, les explications en sont bien simples : levée trop tard, bu un café trop tard, journée passée devant l’ordi à jouer à yahoo ! jeux alors que j’ai des milliards de choses plus intéressantes à faire. Résultat, 3h du mat, je coupe la lumière après mon rituel du soir (lavage, lecture) mais rien à faire : je ne dors pas. Alors commence le pire moment de l’insomnie : l’énervement. Au début, j’attends juste le sommeil en laissant mes pensées divaguer. J’ai … Continuer de lire Insomnies du dimanche soir

La pose de lino, c’est pas si rigolo

  Me revoici avec mes histoires de déménagement, des histoires qui commencent à dater quand même mais c’est vrai que les 3 derniers mois ont été assez denses. Je m’en étais arrêtée au lino monté par ma sœur et son chéri jusque chez moi. Le lino dans l’appart, c’est bien. Le poser, c’est mieux… Crut-on. Week-end du 1er novembre. Le samedi, je vais faire des courses avec Vicky pour acheter un lit chez But (n’allez JAMAIS chez eux et particulièrement celui de Nanterre. Sauf si vous avez envie de vandaliser un magasin, à la limite) et quelques babioles chez Ikea genre un bureau. … Continuer de lire La pose de lino, c’est pas si rigolo

CRITIQUE DE LA LIAISON PRATIQUE

Par Diane Plantage de décor : j’étais il y a peu en train de déjeuner avec mes amies Gudule et Cunégonde, cette dernière nous contant ses aventures avec ce qu’elle appelle son « amant », qui équivaut en langage de djeuns contemporains, -d’après ce que j’ai pu lire dans cosmo en tous cas-  au très populaire « sex friend », c’est à dire un jeune étalon avec lequel on biscote ardemment de temps en temps, quand on en a envie, sans attaches affectives intensives, et sans qu’il aie à venir nourrir le Chat Perceval quand on part en vacances. Devant le récit de ses biscotades légères … Continuer de lire CRITIQUE DE LA LIAISON PRATIQUE

Publicité mensongère… ou pas.

Bon, c’est dimanche, je fais du léger parce que je sais que tu as fait la fête, hier, parce que c’était férié. Moi, un jour férié un samedi, je trouve que c’est un crime. Mais bon, le calendrier est ainsi fait… Mais tu l’as deviné, lecteur, tu me connais, c’est pas du tout le sujet du jour. D’ailleurs, ça n’a rien à voir avec le titre. Je vais donc te parler de publicité. J’adore la pub. Enfin, les bonnes pubs. La publicité, c’est comme le vin, il y a des grands crus et de la piquette. Dans la piquette, je mettrais toutes … Continuer de lire Publicité mensongère… ou pas.

Mystères

Week-end nostalgie, je suis de retour chez mes parents pour une courte période. Dans cette maison où j’ai débarqué un soir de juillet alors que j’avais 13 ans, abandonnant derrière moi l’appartement de mon enfance, celui dont je rêve encore, parfois… Mais je m’égare.   Avec Gauthier et une copine, l’autre jour, on parlait de télé dans sa chambre : ado, je n’en ai pas eu. Quand je vois aujourd’hui que je la regarde jusqu’à 3 heures du matin (quoi qu’ils ont enlevé Nikita, ces connards de Teva !), je remercie mes parents de m’avoir interdit d’en avoir une au pied de … Continuer de lire Mystères