Paris a le blues

J’ai le blues de Paris Paris, 7 ans ¾ que j’y vis. Le 28 mars prochain, je soufflerai la 8e bougie de notre vie commune. Et je ne te cache pas que je ressens comme une petite crise existentielle entre nous, je sens que mon amour pour toi s’essouffle un peu. En fait, c’est pas tant toi que la vie parisienne qui commence à me fatiguer. Tu es attirante et tu le sais. Quand je suis venue vivre ici, je m’imaginais une folle vie culturelle, le Louvre deviendrait ma 2e maison, je serai de tous les concerts. Une vie aussi … Continuer de lire Paris a le blues

Où trouver l’homme ? Episode 29 : au supermarché

(Petit lecteur, cet article est une fiction. Donc tout ce qui va suivre n’est pas vraiiiiiiiii donc tu peux rigoler ou dire que c’est pas super crédible mais pas critiquer mon comportement fictif… Merci bien) Après la disparition de Fabien, me voici dans le cycle infernal de la rupture, alternant entre « tous des connards, je ne ferai plus jamais confiance en aucun homme » et « je suis une sombre merde qui n’arrive pas à retenir un mec ». Or quand je suis dans la phase down de la sombre merde, j’ai tendance à noyer mon désespoir dans des cochonneries alimentaires du genre glaces hypra caloriques, … Continuer de lire Où trouver l’homme ? Episode 29 : au supermarché

Noël, ça pue des pieds

 J-1, voire H- pas beaucoup : on est le 24 et là bientôt, c’est Noël. Je vais pas me fendre d’un brillant article vu que je sais que vous avez autre chose à faire que de me lire aujourd’hui donc comme je suis une nana subversive et wild, je vais vous parler… bé de Noël. La semaine dernière, je lis l’édito d’Alix Girod de l’Ain dans Elle qui dit en somme : « ils m’énervent les rabats joie anti Noël, moi, j’aime ça ». Et bien moi, tout pareil, give me five Alix ! En fait, Noël se passe en deux phases pour moi. Phase 1 : … Continuer de lire Noël, ça pue des pieds

Ecoute et apprends, petit scarabée

Vendredi, j’ai eu droit à un moment d’anthologie. J’étais conviée à un rendez-vous chez THE Journaliste de la presse féminine, la nana que je regardais à la télé quand j’avais 15 ans, la nana qui était journaliste à Perso à la grande époque (la mieux). Bref une sommité. Accompagnée de ma collègue Sylvie qui me fait bien marrer. But de l’opération : que le petit scarabée que je suis enseigne à la sommité le blogging et aussi à utiliser une caméra. Pourtant, ça n’a pas été simple. Au départ, j’avais rendez-vous chez Sommité à 16h30. 15h, mon téléphone sonne : « Nina, … Continuer de lire Ecoute et apprends, petit scarabée

La liste de la fille qui sait pas si elle est de bonne ou de mauvaise humeur

C’est une bonne ou une mauvaise semaine ? A vous de juger (pour moi, c’est pas clair)  C’est une bonne semaine car : – J’ai ré éteint le chauffage et vivre un début octobre sans chauffage, c’est … ben normal. – Moi, quand je vais au Festiblog, je fais pas la queue pour avoir une dédicace. En fait, je m’y rends pour voir Emma et Dulcinée. Tandis qu’Emma attend pour avoir un autographe de Souillon/Maliki, Dulcinée nous rejoint et voit passer Hervé, un bloggeur que j’aime bien. Du coup, elle va lui demander une dédicace pour moi et voilààààà ! Tandis que je déguste un choco … Continuer de lire La liste de la fille qui sait pas si elle est de bonne ou de mauvaise humeur

Elections à Plume sur Berges

Dimanche, comme plein de gens consciencieux, je suis allée voter. Mais je n’imaginais pas que ce geste citoyen pouvait se transformer en véritable farce car c’est bien connu, dans la vie de la Nina, rien ne se passe jamais simplement. Plume sur Berges, près de 70 000 habitants, c’est pas un hameau quoi. Quelques jours avant le scrutin, j’apprends que je voterai électronique, fuck, je voulais pas. Moi, j’aime le papier, même si c’est pas écolo, j’ai plus confiance. Donc voilà, au boulot, les gentils informaticiens listent les bugs qu’il peut y avoir, ça me rassure pas du tout ! … Continuer de lire Elections à Plume sur Berges

C’’est la saison des marrons !

C’est l’automne, il pèle et les vendeurs de marrons chauds fleurissent aux quatre coins de Paris. Mais c’est pas du tout le sujet de l’article du jour. Pourtant, je me souviens quand j’étais petite, y avait un marronnier dans la cour de l’école et je rentrais chez moi avec mon sac plein de marrons parce que c’est joli, c’est tout lisse, c’est tout doux. Mais passons sur les marrons, parlons plutôt marronniers.   Quand on est journaliste, on entend très vite ce mot mais qu’est-ce ? Pour ceux qui ne savent pas, j’explique : ce sont des sujets d’actu froide qu’on ressort … Continuer de lire C’’est la saison des marrons !

Le sushi échoué

Ce week-end, Lucie est venue sur Paris nous faire un coucou, à Gauthier et moi, donc on en a profité pour faire des choses, forcément. Et je te le raconte, lecteur, ça t’occupera.   Tout commence vendredi soir, la miss arrive à 21h25 sur Paname. Au départ, avec Gauthier, on avait prévu de se faire un petit pique-nique, balade sur les bords de Seine. 20h45, il pleut des cordes donc non. A 17h, Lucie m’avait appelée et m’avait demandé si Gauthier venait la chercher et je lui réponds que oui, sans doute, on irait tous les deux. 21h, j’arrive donc … Continuer de lire Le sushi échoué

Etre une femme libérée, quel cliché !

Samedi soir, malgré ma fièvre qui commence à baisser quand même, je vais boire un petit verre avec Gauthier, seule personne en chair et en os que j’ai vu de la semaine (avec les caissières du supermarché mais vu qu’elles m’adressent pas la parole, ça compte pas). En chemin, j’empoche mon nouveau bouquin « le journal d’Elsa Linux », présenté comme une parodie super trop hilarante de Bridget Jones. Comme c’est bientôt l’été, c’est parfait comme littérature. Au bout de quarante pages, j’ai envie de le brûler. Ce truc n’a pas pu être écrit par une femme, c’est pas possible, ça pue le sale film … Continuer de lire Etre une femme libérée, quel cliché !

La sève qui monte

Par Gauthier Je suis tout en poésie en ce moment, je m’émeus moi-même… Le printemps fut quand même très hivernal par chez nous. La semaine dernière encore, au lever, il ne faisait qu’un très tropical 6°C. Pas de quoi faire péter le tee-shirt moulant bleu ciel que je me suis offert en prévision du retour des beaux jours. Donc j’ai dû patienter, comme toute la région parisienne, pour voir le soleil, et surtout sentir sa douce chaleur printanière. Ben voilà, il est sorti de son trou ce week-end. Et quelle sortie!!! On passe de 12°C maximum à 26/28°C en l’espace … Continuer de lire La sève qui monte