La Fatalité est-elle destin des gens résignés ?

Par Lucas Happiness More or less It’s just a change in me: Something in my liberty… Comme le disait si bien Richard Ashcroft il y a 12 ans… (Purée, 12 ans.) (gueule de chien battu…) Pour ouvrir Lucky Man dans une fenêtre annexe et lire cette bafouille en musique, il suffit de cliquer sur cette longue phrase. (Vous revenez après, hein ? Promis ?) Peut-on être agnostique et croire que telle ou telle personne a « toujours de la chance » ? C’est la question que je me suis posée vendredi soir après un intermède iconoclaste et étonnant dans ma vie prévisible … Continuer de lire La Fatalité est-elle destin des gens résignés ?

Au dessus de l’équateur

Par Ella Sykes On est le mardi 25 novembre 2008, il est précisément 21h54. Ce matin, une épaisse couche de neige mousseuse recouvrait absolument tout. Mon colocataire est parti pour Montréal, me laissant tout le loisir d’être seule, à moitié nue devant la télévision en fond sonore. L’émission est trash à souhait comme on les aime pour mieux les mépriser. Les jours se succèdent et se ressemblent vaguement, je suis débordée de travail et c’est aujourd’hui la première soirée que je me consacre depuis plus d’un mois. Au fond, j’aime avoir l’esprit occupé au point de devoir réfléchir avant de … Continuer de lire Au dessus de l’équateur

Tous les soirs, je me fais une petite……

Mercredi soir, j’ai fait une soirée blog avec plein de gens connus : Gauthier (of course), 7h48, Cham, Wil, le Maniac et Eguemarine. En fin de repas, miss Rouquine est arrivée, accompagnée de Sylvain. On discute un peu de tout et à un moment, elle me dit : « en ce moment, sur ton blog, tu parles pas de toi. » Je lui fais remarquer que j’ai pas grand-chose à raconter de passionnant mais elle insiste. Donc si vous trouvez cet article chiant, vous savez à qui vous en prendre (quelle vilaine lâche, je suis !). Bon, que fait une Nina en ce moment ? Le … Continuer de lire Tous les soirs, je me fais une petite……

L’’amour, c’’est comme le travail

Comme je suis une intellectuelle qui cogite tout le temps, je ponds régulièrement de nouvelles théories qui ne servent à rien, si ce n’est à me rassurer. Samedi, en plein délirium tremens avec le Gauthier, j’ai donc eu une révélation. Pas un triptyque, non, non, une théorie que j’ai sortie à Gauthier d’une voix pâteuse avec un vocabulaire approximatif. Maintenant que j’ai décuvé, je développe. Bon, pour commencer, petit retour sur ma vie professionnelle. En octobre, me voilà diplômée de mon master 2 de journalisme avec une mention « assez bien », ce qui me fait chier, j’aurais mérité la mention supérieure … Continuer de lire L’’amour, c’’est comme le travail