Colera, Colera !

Le week-end dernier, j’ai pris mon gros sac de plongée et je suis montée dans un bus direction Colera, une petite ville côtière espagnole, juste à côté de Port-Bou, en dessous de Perpignan. Un week-end de Pâques en Espagne, je pensais avoir droit au soleil, palmiers et mer délicieusement chaude (ou tout du moins tiède). Ô naïve que je fus ! Le mercredi avant le départ, Anaïs me confie ses craintes : “j’ai peur qu’on ait froid…”. Maaaaaaaais non, la rassurai-je. Ok, la météo est annoncée comme bien pourrie mais la mer a eu le temps d’un peu chauffer. Oui, dans mon … Continuer de lire Colera, Colera !

Le drame des sapins de Noël en entreprise

La semaine dernière, j’ai travaillé. Peu, 2 jours. Petite ambiance post apocalyptique avec, au max, un employé sur 3 à son poste. Pour vus dire, quand je suis arrivée jeudi matin à 9h20 (parce que j’avais dormi chez Vicky qui travaille tôt), c’est limite si j’ai pas été percutée par une botte de foin roulant par là. Mais surtout j’ai été accueillie par le sapin de Noël. Ou plutôt ce qu’il en reste. Jeudi soir, rendez-vous pro dans une boîte qui n’est pas mienne. En attendant mon rendez-vous, je zieute leur sapin. C’est marrant, on dirait le même que nous : en rouge … Continuer de lire Le drame des sapins de Noël en entreprise

Et soudain, l’inspiration

Je sais pas pourquoi mais ces derniers temps, niveau écriture, c’est moyen l’inspiration. Pourtant, il y en aurait des sujets à causer. Rien que l’actu, tiens… Mais sans doute que ça me déprime un peu trop, sans doute que j’estime que tout a été dit ailleurs, en mieux ou en pire, selon le média, et que ma pierre à l’édifice ne servirait pas à grand chose. Peut-être que je suis un peu désabusée, aussi, je sais pas. Puis j’ai un peu perdu de mon mordant et de mon cynisme ces derniers temps, je suis tellement Bisounours que je m’en effraie moi-même. Et hors … Continuer de lire Et soudain, l’inspiration

Une cure detox qui me fait bien flipper

J’ai décidé en mon âme et conscience que le samedi, s’il n’y avait pas de question love and sex (essentiellement parce que j’ai oublié de le faire, j’ai eu une semaine trop chargée, je m’excuse), j’allais parler télé. Parce que moi, j’aime ça la télé et plus un programme est merdique, plus je l’adore : je vais pouvoir le critiquer. Je suis un peu la Guy Carlier des blogs mais avec plein de kilos en moins (je sais pas combien, je sais plus où il en est parce qu’à un moment, il avait un peu maigri). Sauf qu’à la fin, je … Continuer de lire Une cure detox qui me fait bien flipper

Mais laissez-moi profiter de ma période autiste !

Chaque année, en novembre-décembre, je connais une petite baisse de régime. Rien de grave, juste qu’à l’arrivée de l’hiver, je n’ai que deux amours : ma bouillote et ma couverture en mohair magique, celle que je dois parfois disputer avec Kenya. Alors sortir, bof. Sauf avec mes amis proches, j’entends mais les grosses noubas, non, j’ai pas très envie.  Je suppose que biologiquement, mon corps a du mal à concevoir pourquoi je n’hiberne pas. Mais cher corps, j’hibernerais avec plaisir, vois-tu (comme ça, je me réveille direct en 2010 et j’ai dit que cette année-là, je l’aimerais d’amour) mais je n’ai que 5 semaines … Continuer de lire Mais laissez-moi profiter de ma période autiste !

Courrier des cœurs, réponse à Evelyne

Cette semaine, Evelyne nous a posé la question suivante : « Je ne sais pas pourquoi j’écris car je suis persuadée que tout le monde me dira de laisser tomber. Je suis amoureuse de mon voisin, qui lui en aime une autre et m’en veut parce que l’autre justement l’as relargué ou en tout cas n’as pas renoué avec lui à cause de moi. Mais, c’est plus fort que moi, je l’aime. Aujourd’hui, il est venu sonner chez moi sous prétexte qu’il avait prêté un truc à mon fils, mais renseignement pris, mon fils dit lui avoir rendu. Alors ou mon fils … Continuer de lire Courrier des cœurs, réponse à Evelyne

Et sinon, ce week-end à Marseille, c’était bien ?

Deux ans plus tard, je me penche enfin sur la question du week-end à Marseille mais je vais angler l’article différemment puisque pas mal d’articles ont été écrits sur le sujet. En quelques mots, je dirais que l’organisation fut au top, le parfum n’est pas dans mon style mais plutôt agréable. J’avoue que sur le coup, je craignais un peu que ça fasse un peu trop cocotte Eau jeune mais ça va. J’en ai profité pour me racheter du baume à la cerise et quelques petits produits, j’ai pris le soleil à Marseille. Chouette. Bien, voilà, en résumé, le soleil marseillais m’a … Continuer de lire Et sinon, ce week-end à Marseille, c’était bien ?

Dimanche pluvieux, dimanche foireux

J’avais déjà expliqué il y a quelques années que je n’aimais pas le dimanche, un non jour. Petite, c’était le jour des devoirs (oui, je suis de celles qui bossent toujours dans l’urgence). Adulte, c’est le jour du ménage vu qu’en temps normal, je ne suis jamais chez moi avant 20h ou plus tard et j’ose plus passer l’aspi après. Bref, dimanche, ça a toujours été corvée et déprime à l’idée que le week-end est fini. Le pire étant quand je suis en week-end chez mes parents (ce qui n’arrive plus beaucoup, merci la SNCF qui me coûte un bras), … Continuer de lire Dimanche pluvieux, dimanche foireux

Tsunami en la demeure

Aussi incroyable que ça puisse paraître, je ne suis pas morte. Personne de mon entourage n’a passé l’arme à gauche non plus. Ma petite absence en ces lieux s’explique par une déprime passagère qui me rend à peu près aussi drôle qu’un tableau de Munch et mon week-end à Marseille pour Buzz Paradise que je vous raconterai quand j’aurai retrouvé toute ma joie de vivre car ce week-end fut une belle réussite pour l’agence à mes yeux et je veux leur rendre hommage à juste titre. Et pour ceux qui en douteraient, non, je ne bosse pas chez eux. La preuve, je … Continuer de lire Tsunami en la demeure

La révélation du matin

Le matin et moi, c’est une histoire compliquée, torturée. J’appartiens à la race dite des noctambules. A mon époque chômagère (néologisme mon amour), je ne connaissais pas le matin, je me couchais à 6h pour me lever à 14h, profitant de la nuit pour écrire. J’ai l’inspiration nocturne, pour le boulot et les loisirs, c’est ainsi. Le matin, je ne l’aime pas trop trop et pourtant… Et pourtant, c’est un des moments où je suis le plus efficace. Mes plages d’efficacité sont 8h30-12h puis 18h-2h du mat. Dans mes années étudiantes, c’était dans ces créneaux que j’abattais le plus de boulot, l’après-midi … Continuer de lire La révélation du matin