Qui de la mode ou de moi ?

Ma vie manquant cruellement de légèreté et de superficialité ces derniers temps, samedi, j’ai profité d’une escapade dans mon pays chéri pour faire un peu de shopping avec ma maman. Alors que je me promène dans les rayons en pleurant sur la forme slim long très en vogue (alors même que je le déteste), je m’arrête devant les imprimés à pois, Liberty et même orange. Ce que je détestais quelques années auparavant. Notons que seuls les imbéciles nez changent pas d’avis, ok. Sauf qu’alors que je faisais ma crâneuse dans mon top liberté vert amande (il est sublime) dans ma … Continuer de lire Qui de la mode ou de moi ?

La minceur des people, tout est relatif

Régulièrement, je lis la presse féminine et depuis quelques temps, je constate un truc étrange… Les commentaires sur la sveltesse (ou non) des célébrités féminines. Bon, masculines aussi mais moins puisque qui dit magazine féminin dit lectRICE dit on se compare aux stars. Enfin, normalement.   Or, la majorité des stars sont belles et athlétiques. Forcément, moi, j’aurais 3h de sport par jour, je serais ultra goalée aussi. Mais voilà, ma profession ne m’impose pas d’être d’une sveltesse exemplaire et si je veux faire du sport, je suis priée de le faire hors heures de bureau. Je peux même pas négocier, je … Continuer de lire La minceur des people, tout est relatif

Il n’y a pas que le diable qui s’habille en Prada

Par Tatiana Retrouvez tous les lundi notre nouvelle série, L’enfer de la mode ! Ceci est le témoignage d’événements qui se sont passés entre avril et juin 2002, au cours d’un stage au sein d’une agence de relations presse dont je tairais le nom histoire de garder (un peu) son anonymat. Toute ressemblance avec des personnes réelles est (malheureusement) non fortuite. Cette agence n’avait comme budget que des marques connues de vêtements, bijoux, sacs… autant dire le rêve pour une fille. Moi je me voyais déjà copiner avec toutes les journalistes et les créateurs, lancer ma propre marque d’accessoires… Le rêve ? Hum… … Continuer de lire Il n’y a pas que le diable qui s’habille en Prada