Faut la faire tourner longtemps en bouche pour vérifier que ça reste bon. Il semble que plus je barbote dans le burn-out, plus mes métaphores sont bancales. Et en même temps, cette histoire de bonbon, elle marche bien avec ce que j’ai envie de vous raconter aujourd’hui. Ca aurait sans doute mieux marché avec un chewing-gum mais je n’aime ni l’aliment ni même le mot donc restons sur le bonbon. En résumé : l’autre jour, j’ai eu une idée de roman. Je la trouvais bien mais plus j’y pense… plus je doute.
