Sous-titre : maintenant que j’ai 42 ans, je fais bien ce que je veux. Récemment, je suis retombée dans ma passion pour Jorane. De réécouter cette musique qui a été fort présente dans ma vie aux alentours de mes 23 ans, ça m’a rappelé un truc. L’époque où je pensais que je serai vraiment écrivaine quand je serai grande et qu’il me semblait essentiel de vivre pour écrire. J’écoutais Jorane et j’imaginais une histoire de violoncelliste et de robot géant, extraterrestres… J’ai gardé la violoncelliste pour une autre histoire que je n’ai jamais finie. A peine commencé, plutôt. Mais pour écrire la vie d’une violoncelliste, il me paraissait essentiel… de savoir jouer.
