Je n’ai pas attendu de m’intéresser sérieusement à l’univers dystopique pour lire des dystopies. Je l’ai lu à mon arrivée à Paris en 2005, grignotant quelques pages de Globalia à chaque voyage en métro. Et je pense que ce serait un roman qui mériterait une relecture avec mes opinions et connaissances d’aujourd’hui. Donc il est possible que je torde quelques trucs entre souvenirs et réinterprétation. Mais je vais tenter de rester fidèle à l’une des rares dystopies françaises.
