Je ne sais pas vraiment pourquoi j’écris. Un peu par thérapie, beaucoup par passion. Ca peut paraître curieux, je ne sais pas, mais j’aime tellement écrire. Tisser des histoires en tapant à toute vitesse sur mon clavier. Quitte à ne rien en faire. Mais depuis que j’ai ouvert ce blog et que je dissèque tout ce qui me tombe sous le nez, je réalise que j’ai un graal narratif : l’étincelle amoureuse. Alors que je suis en train de réécrire Technopolis*, je me rapproche de la grande histoire d’amour (alors que j’arrive à 230 pages, quel foutu pavé) et je me dis “est-ce que ça va marcher ou est-ce que ça va tomber comme un cheveu sur la soupe ? Meeeeh.
