L’avantage quand tu avales des quantités astronomiques de fictions, c’est que tu repères rapidement certains clichés qui t’exaspèrent afin de ne pas les glisser dans ta propre prose. Parmi ces clichés, il y en a un qui m’exaspère au plus haut point, essentiellement parce qu’il dégouline de misogynie : la dangerosité de la femme sexuelle. L’archétype Catherine Tramell, en un sens.
