Suite de mes chroniques du monde d’après, dirons-nous. Début de semaine, je vois une liste de sociétés en difficulté de type compagnies aériennes, fabricant d’avion et acteurs de la fast fashion. Et là, j’ai eu cette double réaction : tant mieux pour la planète mais merde pour les gens. Parce que, oui, les emplois supprimés, ils sont surtout à la base. Comme si les directeurs étaient capables de faire tourner la boîte. Lol comme on dit. Bref, me voici encore prise dans un dilemme émotionnel mais allons plus loin.
