Le plus dur quand on écrit, c’est de monter des personnages crédibles. Pour raconter une histoire, il faut l’incarner et, selon notre bagage culturel, on va taper dans des stéréotypes. Oui, désolée mais un personnage de fiction ne peut être que la somme de certaines caractéristiques. A moins d’écrire un roman de 5000 pages sur la journée d’un personnage (même James Joyce n’a pas fait autant alors que son Ulysse… bref), on ne peut décrire la nuance d’une personne dans une fiction. Et on se retrouve parfois avec des personnages clichés INSUPPORTABLES. Et parfois, on se retrouve avec de sacrées pépites. Comme dans la série Dirk Gently.

Une réflexion sur “La bonne balance des personnages : le cas Dirk Gently”