Sur les prochaines semaines, je vous propose de vous présenter quelques dystopies de type “abrutissement de masses” dont Idiocracy est un parfait exemple. J’aborderai également Fahrenheit 451, 1984, le Meilleur des mondes… ou encore Un bonheur insoutenable d’Ira Levin que je n’ai pas encore lu. Mais avant de m’attaquer à ces monuments de littérature, commençons léger avec la dystopie Albator.

Une réflexion sur “Albator ou l’abrutissement des masses”