Nina, l’’idole de vos jours (et de vos nuits, aussi)

Petit à petit, je deviens une star, hé oui. Vous êtes près de 800 à venir tous les jours suivre ma petite vie et celle de mes amis, certains rêvent même de moi la nuit (n’est-ce pas oui-oui !). Ainsi, toute star modeste que je suis, je dois me plier à l’incontournable exercice : l’interview.
 
Ma première interview, je l’ai subie alors que je n’étais pas encore Nina mais une simple étudiante en journalisme. En fait, dans le cadre de notre master, nous avons crée un journal dont je ne donnerai pas le nom (ce n’est pas que j’en ai honte, juste pour pas qu’on retrouve mon nom). Le « numéro zéro » fut créé dans des conditions épiques : quinze jours avant les élections présidentielles américaines pour laquelle mon IEP organisait une soirée (youpi !), notre super directeur de master nous fait : « et si vous faisiez le premier numéro de votre journal pour l’occasion ! ». 12 personnes pour créer un journal dont nous n’avions même pas le nom à l’époque en quinze jours et le garnir, tout va bien ! Bon, la veille du jour J (jour de l’impression, pas des élections), nous finissons la mise en page et l’impression du modèle type à… 5 heures. Je reste dormir chez la camarade qui nous avait gentiment prêté son appart pour cette folle soirée. 8 heures, l’heure de se lever car nous avons cours. Toilette rapide, je ne mange rien (je n’ai jamais faim au réveil), direction la fac pour apprendre que, non, en fait, nous n’avions pas cours. Mais comme nous avions rendez-vous à midi pour discuter avec un stagiaire du canard local de notre merveilleux journal, impossible de rentrer dormir donc je vais prendre un café à la cafétéria avec mes camarades d’infortune mais je n’avale rien. Midi, on rejoint le stagiaire et on se pose dans un café où j’ai l’idée du siècle : commander un vin chaud (dégueulasse, au passage). Donc, pour l’interview, j’étais un peu saoule et, curieusement, aucun de mes propos n’est apparu dans l’article. En même temps, je ne sais même plus ce que j’avais dit si ce n’est : « moi, moi, moi, je ferai les pages sport, moi, moi, les pages sport ! ».
 
Une blog-interview
Après cette première tentative pour le moins ratée, je suis devenue Nina, cette star anonyme du net comme il en existe tant. A une époque, il était à la mode de se faire des interviews entre blogueurs, Banana m’en a parlé à plusieurs reprises mais j’étais un peu circonspecte. Oui, c’est une bonne idée sur le fond mais je ne suis pas la seule à officier sur mon blog. Quant à faire une auto-interview, mon égocentrisme a encore certaines limites. Ceci étant, je pense que je vais vous servir une interview de tous mes vingtenaires, n’est-ce pas une bonne idée ? Bref, passons.
 
Peu de temps après, je rencontre Bouc et Moustache, journaliste de son état. Bon, évidemment, dès que je sais ça, je lui « saute » virtuellement dessus en lui disant que j’aimerais bien qu’on discute ensemble de ce sujet. Un soir, il vient donc me cueillir chez moi et m’embarque sur les Champs pour faire une interview croisée. Je vous préviens, mesdemoiselles, ce garçon est un fin séducteur ! Regardez comme il m’a bien cernée : il me fait parler de moi, domaine dans lequel j’excelle. Donc on se pose chacun des questions, je suis restée assez sage dans les miennes (surtout qu’il ne m’avait pas du tout parlé de son idée et que je n’avais pas eu le temps de réfléchir), ne pensant pas qu’il me poserait des questions un peu poussées sur ma sexualité. (voir l’interview ici)
 
L’avantage pour lui, c’est que je suis une très bonne interviewée, je fournis de la matière. L’inconvénient pour moi c’est que, en tant que journaliste, je sais très bien comment ça marche et que je devrais être un peu plus prudente quand je parle avec un représentant de cette profession qui note avec frénésie ce que je raconte. Car je suis un peu trop spontanée, je réponds sans tourner sept fois ma langue dans ma bouche (ni dans la sienne… pardon, j’ai pas pu résister à ce jeu de mots débile) et me voilà à lui raconter ma première expérience sexuelle qui fut un peu traumatisante, à lui expliquer que je ne fais pas l’amour dans des lieux publics car je suis bien trop expressive dans ses moments-là. La question était juste : « as-tu déjà fait l’amour dans des lieux publics ? », j’aurais dû me contenter d’un « non », plutôt que d’un « non. Tu comprends, c’est pas possible, je suis très bruyante dans ses moments-là et on se ferait forcément attraper ». Heureusement « Bouki », comme on l’appelle désormais, n’est pas sadique, il a censuré nombre de conneries que j’ai dites et a respecté ma volonté de ne pas évoquer certaines histoires dont je ne veux plus entendre parler. Car Bouki aurait été journaliste à Voici, au lieu de ressortir la phrase « je suis bruyante quand je brouette », il aurait fait part à la France entière de mon aversion pour certaines personnes dont j’ai simplement refusé de parler.
 
Il faut savoir qu’un journaliste cherche la phrase choc, la déclaration qui tue et qui, mise en première page, va faire vendre. Tant pis si placée hors contexte, elle ne veut plus rien dire. On s’en fout, nous, on veut juste avoir une exclu, un scoop, faire vendre notre torchon pour avoir des sous pour partir en vacances. Donc cette interview avec Bouki aurait dû être un excellent entraînement pour m’apprendre à fermer un peu ma délicate bouche. Et bien, non.
 
Le début de la gloire !
Quelques temps plus tard, coup de téléphone : c’est mon ami Bouki, toujours. Il me laisse un message sur mon répondeur, mon téléphone n’ayant pas daigné sonner. En gros : « Nina, c’est Bouki, j’ai un truc qui pourrait t’intéresser, rappelle-moi ». Donc je rappelle pour les trois du fond qui n’ont pas suivi que ce jeune homme est journaliste et que je suis au chômage donc immédiatement : « super, il a entendu parler d’un poste pour moi ! ». Raté : une journaliste de Zurban l’a appelé. Elle prépare un papier sur les célibataires à Paris avec un encadré spécial sur les blogs. Elle l’a d’abord appelé lui puisqu’elle est tombée en premier sur son blog et, après avoir répondu à ses questions, l’a renvoyée vers moi qui suis une personne (je cite) « fortement intéressante ». Et je peux vous dire que la demoiselle n’a pas été déçue ! A la question : « le blog est-il un bon plan pour les célibataires ? », je me suis exclamée : « Ah ben j’ai jamais autant baisé que depuis que j’ai ce blog ! ». Bravo, très bien et ta langue dans ta bouche, tu l’as tournée ? Qu’est-ce que tu es allée raconter ça, triple nouille ! Je sais pas encore ce que ça a donné au final, le numéro de Zurban sort aujourd’hui et à l’heure où je tape cet article (dans le train), je l’ai pas encore  lu. Mais si elle retient ça, il va se passer que je vais avoir plein de jeunes hommes lubriques qui vont venir sur mon blog uniquement dans l’espoir de me brouetter. Youpi… (enfin, si l’un d’entre eux est Brad Pitt, là, je veux bien me sacrifier). En tout cas, over-blog risque de voir le nombre de blogs augmenter après une telle déclaration (vous avez vu, les gars, comme je bosse bien pour vous). Enfin, je vais lire l’article et voir s’il est besoin que j’écrive un article dessus pour réagir. Mais la journaliste était très sympa (trop), elle m’a mise en confiance et du coup, je me suis lâchée, omettant à la fin de la vouvoyer comme si je parlais à une copine. Note à moi-même : copiner avec les interviewés pour qu’ils se livrent (mais bon, ça, je le faisais déjà avant). En fait, j’ai lu l’article en question, depuis, et elle a rien retenu de ce que j’ai dit… Mais j’ai réussi mon défi : voir le mot brouette écrit dans un magazine !
 
Interview à trois
Jamais deux sans trois et voici ma dernière interview en date : re- Bouc et Moustache. Cet homme est fou de moi, ma parole ! Non, je plaisante, il a décidé de faire une interview croisée d’Alya, Banana et de votre dévouée. Nous voici donc rendus chez Alya (que je n’avais jamais physiquement rencontrée), il y a également « Lui », l’amoureux de Banana. Bon, au début, on discute de tout et de rien puis vient le moment de l’interview que je vous laisse découvrir sur le blog de Bouc et Moustache. Bon, ce genre d’interview convient mieux, je laisse échapper moins de conneries (il me semble) car, à trois, je n’ai pas le monopole de la parole. En même temps ça peut avoir un effet pervers puisqu’une va dire un truc et les deux autres peuvent s’exclamer : « ah ben tiens, c’est vrai. » Aurions-nous répondu la même chose individuellement ? Rien n’est moins sûr. Je ne dis pas que nous nous sommes influencées les unes les autres au point de répondre le contraire de ce que l’on pense mais que certaines réponses ne nous seraient peut-être pas venues à l’esprit. Au début, il y a eu un QCM et c’est franchement difficile d’y répondre. Par exemple, la question sur ma mère, « est-elle ma meilleure amie, un refuge, un hôtel trois étoiles ou une étrangère », aucun ne correspond vraiment… Il fallait que je donne une réponse donc j’ai choisi un refuge (ce qui n’est pas faux en soi) mais je n’avais pas le droit de donner une cinquième réponse. Pour info, vu que certains me l’auraient demandé en comm, je considère ma mère comme un modèle sur certains points, une bonne camarade avec qui je peux plaisanter mais une amie, c’est trop fort, je ne lui confie que peu de choses sur ma vie privée. Mais bon, c’est le jeu, je m’y prête de bonne grâce. A l’arrivée, je crois que Bouki était satisfait du résultat.
 
Bref, je suis à l’orée de ma vie de star (comme je me la joue) et déjà, je me rends compte qu’il est urgent d’arrêter de papoter comme je le fais si je ne veux pas détruire ma carrière avec une interview titrée : « Nina : le triolisme, ça me fait triper et j’emmerde la morale ! ».
(Pour la jouer encore plus star, j’ai mis une photo de moi où on ne voit rien!)

51 réflexions sur “Nina, l’’idole de vos jours (et de vos nuits, aussi)

  1. PREMS !!!! Oui c’est débile mais bon !
    Je fais partie des 800 qui suivent tes aventures jours apres jours. Ton blog est super, continue comme ca. Bisous

  2. on peut savoir pk ya une foto de toi?????????????????????????? tu peux dire ton prénom et ton nom, et pk pas ton adresse aussi!!! tu veux te faire harceler par tes fans en pleine rue, hein, avoue!!!!!!! pfffff

  3. Salut,
    Et oui tu es une grde star!!
    Moi perso si je te vois dans la rue je te reconnais et je rigole pas en plus… Si un jour j’ai la chance de te croiser tu verras…
    Au fait j’ai lu mon premier Amélie Nothomb « Anthécrista » et j’ai bien aimé, pour info c’est suite à ton article que j’ai eu envie d’essayer!!! Longue vie à ton blog et merci pour ces délicieux moments de lecture.

  4. J’ai découvert ton blog récement et j’ose poster un premier comm après plusieurs jours de lecture…Bref, j’ai épluché chaque article que tu as posté et je dois dire que tu as un vrai don pour le journalisme…Un style bien à toi, sans tabou ni interdit!!!Un blog « chic » et pour une fille « choc »!!!Impressionné et envieux de découvrir ta ptite vie et de décrire la sienne!!!(Tu vas susciter des vocations c’est sûr!!)…En tout cas j’adore et j’adhère à ton « journal » et je serai désormais un fidèle lecteur!!!Et sinon à quand une interview de tes lecteurs???

  5. ahh mais tu es toute nue sur la photo !!! Tu pourra effacer mon commentaire, mais on peux avoir la photo en grande resolution en relevant son adresse, et grace a un bon logiciel de retouche on peux desombrer la partie desirée, et desirable qui plus est ! Ouhh 🙂 Desolé jai pas pu m’empecher..

  6. Attends, ça veut dire que si on « brouette » avec toi, non seulement on peut être célèbre sur internet, mais en plus on passe dans Zurban??? WOW, tu m’étonnes là la fréquentation va exploser!

  7. Je viens de lire les commentaires….en plus y’avait une photo de nu en ligne?
    Et dire que je dormais à point fermés, je suis maudit….bon roro faut qu’on se parle! 🙂

  8. C’est toujours un plaisir de lire tes articles Nina, ainsi que ceux des vingtenaires en général (quoique j’ai mes préférés quand même!!)

    J’avoue avoir un petit faibles pour les articles qui partent d’une de tes expériences et qui débouchent sur un fait de société, enfin disons, à notre échelle! Je suis pas sûr que tout le monde se retrouve dans chaque article, comme l’a d’ailleurs prouvé ton article sur la fidélité, mais là n’est pas la question, car, le ton sympatique rend le tout très agréable !
    De même, les lecteurs/commentateurs, respectent cette éthique tacite, et c’est preuve de l’intérêt qu’ils portent à ce blog.

    Bref, je te félicite à nouveau! (mais bon c’est la dernière fois, après ça va faire fayot 😉 )

    Malheureusement, je me vois dans l’obligation de vous quitter… durant un looonnnng mois, car je viens de me trouver une petite mission en intérim qui commence lundi! (il parait qu’on peut pas rester toute sa vie à bloguer… pfffff)
    Du coup, plus de PC, plus d’internet (au secours…), et par la force des choses, plus de vingtenaires non plus…
    Bon, par contre, je retourne dans ma très chère ville de Grenoble, et ça mes enfants, c’est Bien!

  9. « Nina : le triolisme, ça me fait triper et j’emmerde la morale ! »

    Autant les pratiques sexuelles de tout un chacun relèvent essentiellement de la vie privée, autant j’espère bien que tu emmerdes la morale, en tant que future journaliste. Sinon, je ne t’explique pas le peu de considération que je pourrai porter à tes articles « de fond ».
    Evidemment, s’ils ne passent que dans Zurban ou Cosmo, ça n’a peut-être pas grande importance ?

    ;->

  10. tu les as déjà les pervers lubriques en visiteur, ils doivent tomber par ici en recherchant certains mots clés dans google lol aujourd’hui tu as recolté les amateurs de triolisme xpdr
    sinon bon article comme d’hab :p

  11.  » Pour l’interview, je n’ai pas bien compris : tu veux que j’interviewe mes lecteurs ou que eux nous(ou me) posent des questions? Parce que je suis en train d’y penser, en fait… « 

    Et pourquoi pas une interview croisée???(langage technique de journaliste!!!Hé oui je m’intéresse de plus près à ce domaine depuis mes quelques jours de lecture ici).
    Tes lecteurs te posent des questions, et tu prépares également un questionnaire pour Nous!Chacun répond…Ensuite, tu pourrai également mettre en place une « weivertni seésiorc » (une interview croisée à l’envers, cad qu’on est obligé de répondre aux questions que l’on souhaitait poser à l’autre…comme ça on voit les ptits malins qui poseraient des questions auxquelles ils ne voudraient même pas répondre…Je m’emballe peut être un peu!!!). Qu’importe jsuis pleins d’idées et de bonne volonté…

    C’est plus clair comme ça…non??J’en étais sûr!!

  12. « Mais on voit rien sur cette photo! Si quelqu’un me reconnaît par rapport à c’te photo, il gagne une brouette »

    On mange toujours ensemble à Noel?
    Si je te reconnais je te brouette, si c’est toi qui me reconnais c’est toi ki me brouette oki?

    Bidou (c’est comme un bisou mais sur le ventre)

  13. non, mais avec cette photo, c’est absolument cetain que si je te croise, je te reconnais immediatement !

    bon, excuse moi, d’avoir revé de toi, je voulais pas que tu attrappes la grosse tete, pardon !

    « Bon, ce genre d’interview convient mieux, je laisse échapper moins de conneries (il me semble)  » apres lecture de l’interview, je dirais plutot qu’ a 3 vous dites 3 fois plus de conneries (la partie sur les hommes : terrible) mais c’est adorable !

  14. Brève de comptoir philosophique en matière d’interview :

    « Faut dire des conneries aux journalistes, comme ça après, tu lis tes conneries dans les journaux ! »

  15. ploum,ploum,… je bosse dans une entreprise geniale, le CE vienT d’organiser un « repas » pour le beaujolais nouveau : je suis défoncé : cet aprem’ ca va etre dur !

    « Au fait j’ai lu mon premier Amélie Nothomb « Anthécrista » et j’ai bien aimé » putain c’est le seul d’elle qu j’ai pas pu lire !! je savais ce qu’elle allait ecrire et j’avais pas envie de lire ca alors j’ai du arreter !

    je suis ivre au boulot, c’est dingue comme sensation, parcequ’il faut assurer,… j’adore !

  16. je savais que j’étais parfait mais ca fait du bien de te l’entendre dire (enfin de le voir ecrire lol)
    tu me prêtes quelques lecteurs stp ? 😉 (enfin si tu as des lectrices celibataires sous la main c mieux :p)

  17. Je n’ai pas « participé » au concours c’était un exercice de style.

    « sauf si tu es super mignon, là, je ferai exception ! » sache qu’on ne brouette pas comme ça je suis pas une bite de trottoir 😉

    « sache qu’une nuit de brouette avec moi, c’est chacun son tour, je ne suis pas 100% dominante ni 100% dominée » et quand bien m^me j’en serais une, je veux rien savoir avant ça gacherait le plaisir de la découverte 😉

  18. Je me permets de m’imicer dans la conversation. Je vous propose mes talents de commédiens hors-pair pour animer vos anniversaires, enterrements de vie de jeunes filles, mariages, barmitsva, pots de départ….
    Vivement demain!!

  19. Va y avoir de l’info demain apparement…En tout cas tu nous fais une bande annonce parfaite!!

    Pour l’interview, je me plierai volontiers à l’exercice si l’on m’y invite…et pour le record de comm, je pense que c’est envisageable!!!

  20. « quand je redescends à Toulouse, promis, on va boire un verre ou on se fait un resto »
    je veux pas attirer la pitié non plus.

    Pis l’autre Jedi il va me couper la tête avec son sabre laser!

  21. tu n’as pas pensé à incorporer les plans looses dont je t’avais fait part lors de nos premiers échanges épistolaires à ton concours?

  22. Yome, n’ait craintes mon sabre n’est pas assez long pour atteindre toulouse.
    Par contre grâce à la Force je pourrai te faire dire n’importe quoi. huhu^^

  23. ça pas mal peut être, mais étant donné que je n’ai pas participé au concours et que je ne suis pas attiré par les hommes pourquoi ferais-je partie des vingtenaires.
    PAs de traitements de faveur.

    (si jamais tu sêches un samedi et que tu n’as rien d’autre à publier, je te cède les droits au cas où. En plus il me semble que je ne cite aucun prénom)

  24. Même pas peur

    D’un autre coté comme je te l’ai ecrit c’est encore plus beau comme ça , je ne sais pas si notre rencontre ne gacherait pas tout , cela mettrait peutetre un terme à mon addiction

  25. huhu
    bon je relis l’histoire de la piscine et je te dis si tu peux le publier.
    J’insiste si il doit apparaître sur ton blog c’est qu’il doit en valoir la peine. pas de favoritisme, hein.

  26. Je viens de la relire, et effectivement y a de la matière.
    En plus je trouve mon style pas trop mauvais.
    Donc je te laisse en faire ce que tu veux.^^
    Et il n’y a aucun prénom dedans donc pas de prise de tête pour trouver des pseudos.

  27. si on gene, vous le dites, on degage …

    où en bretagne que vous etes ce week end ? nord, sud, finistere, mor-bihan (seul departement francais d’appelation local, un peu de culture generale pour tes lecteurs, Nina) , cotes d’armor, … ?

    juste pour que les chasseurs d’autographe de la star internationnale sache dans quelle region zoner ce week end !!

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